a u t o n o m i e ,   a u t a r c i e ,   s u r v i e
t o u t   f a i r e   s o i - m ê m e

Savoir / Connaître

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caractéristiques et utilisations


Dernières plantes ajoutées :

486 plantes décrites avec photo.

02 09 2021 à 12 h 15 : staphylea colchica

03 09 2021 à 7 h 25 : vigne vierge à fruits bleus

03 09 2021 à 18 h 55 : viorne de Bodnant, viorne d'hiver

04 09 2021 à 2 h 25 : héliotrope d'hiver, pétasite odorant, pétasite des Pyrénées

04 09 2021 à 18 h 30 : genêt ananas, genêt de l'Atlas

20 09 2021 à 22 h 20 : arbre à savon, savonnier d'Inde, noix de lavage (sapindus mukorossi)

25 09 2021 à 22 h 10 : pyrèthre

05 10 2021 à 9 h 15 : alisier de Suède

06 10 2021 à 15 h 15 : fausse viorne

06 10 2021 à 20 h 55 : alangium, alangium de Chine, alangier


Quelques caractéristiques principales et toutes les utilisations et les avantages pratiques qui peuvent être nécessaires en permaculture et en survivalisme dans un terrain argileux (j'ai ajouté beaucoup d'exceptions) et froid et humide en hiver (jusqu'à –15°C) : mellifère, comestible, toxique, médicinale, aromatique, tinctoriale, fruits, écorce, feuilles, sève, ombre, azote, haie brise-vent, haie défensive, fourrage, compost, faune sauvage pollinisatrice et insecticide, vannerie, tannage, utilisation du bois (chauffage, construction, barrières, tuteurs...), fibres, stabilisation des sols, phytoépuration, etc.

Il n'y aura que quelques rares exceptions avec des plantes un peu moins rustiques (parce que très utiles ou parce que je les aime beaucoup) ; et beaucoup d'exceptions avec des plantes qui poussent dans des terrains autres qu'argileux, parce qu'il est facile d'améliorer la structure d'un sol en y ajoutant du sable, du gravier, du fumier, des feuilles mortes, de la paille, du BRF, etc.


Mes aloé véra.

Mes aloé véra.

Ce n'est qu'une liste

Attention : ça ne sera jamais une encyclopédie complète et détaillée des plantes et de leur culture, ça restera une liste des plantes pouvant vivre dans un terrain argileux ou amélioré et rustiques jusqu'à –15°C minimum.

Revenez-y régulièrement, je l'enrichirai au fur et à mesure de mes achats, de mes récoltes, et de mes recherches sur l'internet.

Vous pouvez aussi me suggérer des plantes qui n'y figurent pas.

Haies

A propos des haies : je conçois ces haies avec des arbustes d'une hauteur moyenne de 2 à 3 m (principe de base : on ne peut pas voir par dessus en se tenant debout).

Je commence à envisager une deuxième sorte de haie : la « haie moyenne Â» ou « haie haute Â», qui sera faite d'arbustes entre 3 et 6 m environ, du style noisetiers, sureaux, etc.

On peut aussi adopter une troisième sorte de haie : la « haie basse Â» (principe de base : on peut voir par dessus en se tenant debout), avec des plantes d'une hauteur de 50 cm à 1,50 m et qui seront destinées à enrichir le jardin sous forme de plate-bande, du style aromatiques, rosiers, petits fruitiers, arbrisseaux fixateurs d'azote, etc.

Sources

Je consulte obligatoirement une page entière de Google (réglée sur 100 sites), ce qui donne un total de cinq à quinze sources (sites) consultées pour chaque plante (beaucoup de sites n'étant pas crédibles ou provenant de l'étranger). Je note et compare chaque caractéristique de la plante, les mixe en une phrase claire et courte résumant bien toutes les sources consultées, en ajoutant des détails si les sources se contredisent. Théoriquement, vous ne devriez trouver guère plus de renseignements que tous ceux que j'ai compilés ici (je ne consulte plus Wikipédia, n'ayant plus confiance car, d'une part il est bourré d'analphabètes anglolâtres qui transforment un « av. J.-C. Â» en un incompréhensible et absurde « BC Â» qui ne veut strictement rien dire dans la version française de Wikipédia et qui n'a rien à y faire ; d'autre part parce qu'ils ont supprimé la page de Pierre Jovanovic).

Quelquefois les infos sont contradictoires, c'est parce que les sources étaient très contradictoires elles aussi. A tel point que, certaines fois, on en arrive à se demander si ces imbéciles parlent vraiment de la même plante !

Orthographe

J'emploie le masculin et le féminin pour la même plante parce que ça vient de ma façon de parler des plantes : « médicinale Â» comme « plante médi­cinale Â», mais « caduc Â» ou « persis­tant Â» comme « arbre, arbuste ou feuillage caduc ou persis­tant Â».

Il doit aussi rester quelques fautes d'orthographe non corrigées parce que je n'ai pas toujours relu en détail les notes que j'ai copiées-collées.

Classique

Si je ne précise pas certaines choses, c'est parce qu'elles ont une forme ou un comportement classique, courant : feuillage généralement caduc, crois­sance moyenne, terre classique humifère et drainante, etc.

Cultivars

Les cultivars ne donnent pas de bons résultats à partir de graines.

Mellifère

J'ai eu le tort de qualifier de mellifère toutes les plantes qui attirent les insectes pollinisateurs, même celles qui ne produisent pas de nectar, seule substance avec laquelle les abeilles produisent le miel. La lettre M jaune est aussi inscrite en conséquence. Maintenant, j'ajoute chaque fois le ou les matières produites par les fleurs :

Fleurs simples ou doubles ?

En ce qui concerne les plantes aux fleurs attirant les abeilles et les insectes pollinisateurs, choisissez principalement des fleurs dites « simples Â» plutôt que « doubles Â» ou « semi-doubles Â», car l'accès au pollen et au nectar par les insectes est toujours plus facile avec des fleurs simples. Les plantes aux fleurs doubles et semi-doubles pourront être plantées de préférence si elles ne sont ni mellifères ni nectarifères mais avec d'autres utilités.

Pas toutes les plantes

Attention : je ne note ici que les plantes que je trouve dans les jardineries (et les pépinières) et celles dont j'ai récolté des graines ou des boutures. C'est pourquoi certaines plantes pourtant très connues et très utiles ne figureront pas pour l'instant. Mais je commence à les ajouter petit à petit...

Doute sur le nom d'une plante

En cas de doute sur le nom d'une plante, fiez-vous au nom latin : j'indique les noms communs les plus courants d'une plante, mais c'est sur le nom latin que je me base pour faire la liste des caractéristiques et utilisations de chaque plante.

Les petits « plus » ()

Ce sont des notes personnelles pour les plantations dans mon terrain. Elles ne vous concernent pas. Vous pouvez toujours les consulter mais elles ne vous apporteront pas forcément quelque chose parce qu'elles sont faites pour chez moi. Ça m'est plus facile de les consulter ici que sur mes différentes notes éparpillées un peu partout.

Je commence à en ajouter aussi pour les semis.

Symboles

Je prévois de mettre des symboles de couleur pour les utilisations les plus recherchées. Voici les symboles auxquels je pense pour l'instant :

M : mellifère (le seul ajouté actuellement aux plantes concernées).

P : feuillage persistant (je pense que ce P vert fait probablement l'unanimité et je l'ajouterai bientôt).

: croissance rapide.

: comestible.

: exposition plein soleil.

: exposition mi-ombre.

: exposition ombre.

× ou T : plante toxique.

A : sol argileux et lourd accepté.

Ca : sol calcaire nécessaire.

: médicinale.

: plante de terrain humide ou marécageux ou aquatique.




A

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Abelia grandiflora.

Photo du domaine public.

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

En haie, côté sud.

Et en attendant ?... Comme j'en ai 4 et qu'il n'est pas question de gaspiller autant d'arbustes et d'argent, je propose de les mettre dans des pots plus grands et d'attendre d'avoir une haie capable de les protéger des vents froids du nord...

Sur la terrasse, ils sont persistants (–15°C), ils devraient donc le rester une fois en terre.

Une fois rempotés, essayer de mettre un pot à son emplacement futur (haie en haut des agrandissement avec le miscanthus, et bien calé !). S'il tient le coup cet hiver 2020, je planterai les autres. Sans doute 2 dans cette haie, et les 2 autres dans la haie partant de l'épingle à cheveux côté moutons...

EMPLACEMENT : haies côté sud (2,50 m de haut).

Famille des caprifoliacées.

Rusticité : –15°C.

Croissance moyenne à rapide.

Mellifère.

Floraison : blanche à blanc-rosé, juin à octobre.

Redoute les vents froids en hiver.

Résiste aux embruns.

Repart facilement de la souche en cas de gel.

Semi-persistant.

Sol bien drainé, riche et léger, sec.

Déteste les terres lourdes, collantes et humides.

Peut craindre un peu le calcaire.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Hauteur moyenne : 1,50 m à 2,50 m. Largeur moyenne : 1 m à 1,50 m.

Abélia à grandes fleurs "Semperflorens" (abelia x grandiflora "Semperflorens")

Amélioration parfumée de abelia x grandiflora.

Excellente sélection très florifère et parfumée.

Floraison : blanc-rosé, juin à octobre [aucune différence avec l'espèce type !].

Les abélias rustiques

Plusieurs espèces sont assez rustiques pour toute la France, ce sont : abelia biflora, abelia engleriana, abelia schumanii, abelia zanderi, tous les quatre de rusticité –23°C ; et abelia chinensis, abelia serrata, abelia triflora, abelia umbellata, abelia uniflora, tous les cinq de rusticité –12°C.

Haut. Page ou article précédent. M Abricotier (prunus armeniaca)

Abricotier.

Photo de Karunakar Rayker (CC BY 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Mes 3 abricotiers achetés : un "bergeron", (autofertile, maturité tardive, mort), un "luizet" (ou "suchet") (autofertile, floraison tardive, maturité précoce, largeur pas mort), un "oranger de Provence" (ou "polonais") (floraison tardive, maturité précoce, largeur 3 m ou 4 m maximum, pas mort).

J'avais commencé à creuser un trou en contrebas du jeu de boules, mais suis tombé sur un tuyau ! Qui alimente probablement la source. Ça aurait été l'idéal, mais les racines ont beaucoup trop de risque d'abîmer le tuyau et de détruire l'arrivée d'eau de la source.

En bas des cerisiers, mais ça commence à être complètement envahi. Et il y aura trop d'ombre en dehors de l'été.

MON CHOIX : A l'emplacement des pommiers indiqués par le voisin (ouest agrandissements). Semble très bien, surtout après avoir abattu les deux frênes.

Sinon y aurait toujours devant les houx à côté de la bergerie.

Ou mieux : devant la bergerie, mais à éviter fortement car ils se verraient depuis la route et inciteraient bien trop facilement le vol et attireraient l'attention du voisinage autour de chez moi. Et s'ils viennent voler des abricots, un jour ils s'approcheront de la maison.

« Au nord, on déjouera une bonne partie des gelées matinales en évitant les expositions à l'est ». Malheureusement, la pente à l'ouest des agrandissements est orientée sud-est...

Pour un sol lourd comme chez moi, il faut un abricotier greffé sur un prunier. Trop tard car je les ai déjà achetés. Mais les suivant, s'il y en a, devront avoir cette caractéristique.

EMPLACEMENT : sud forêt comestible, devant un mur sud de la maison, à l'abri des vents froids.

Famille des rosacées.

Comestible.

Mellifère.

Floraison entre février et avril en fonction des régions et des variétés.

A planter au soleil et à l'abri des vents froids.

Floraison et début de fructification très sensibles aux gelées (–2°C).

Bois utilisé (marqueterie).

De son noyau, on tire des liqueurs comme le noyau de Poissy ou l'amaretto.

Hauteur : guère plus de 6 m.

Généralement autofertile.

Médicinale.

Ne supporte pas les excès d'humidité et les sols lourds.

Aime les sols légers et sablonneux, même calcaires.

A besoin d'un sol bien drainé.

L'abricot augmenterait la durée de vie : il entrait dans la composition d'un élixir de longévité chinois légendaire. Un médecin du 16e siècle fait également allusion à sa longévité, attribuée aux abricots que lui apportait son père. Fontenelle, dont la grand-mère, morte centenaire, avait mangé beaucoup d'abricots cuits, en confiture, en pâte, les considérait lui aussi comme l'aliment de la longévité. Le peuple des Hunzas, au Pakistan, peuple célèbre pour ses centenaires, consomme quotidiennement beaucoup d'abricots, surnommés l'or des Hunzas. Ils les consomment secs après séchage au soleil, et les femmes extraient l'huile des amandes du noyau. Comme aliment, ils en font des glaces en les mélangeant à la neige pilée, de l'huile, l'utilisent comme carburant, huile d'éclairage, ingrédient culinaire (vinaigrette), lotion pour le visage. Selon les chercheurs et les médecins qui ont étudié les Hunzas dans les années 1950 et 60, 100 % de la population avait une vision parfaite ; le cancer, les maladies coronariennes, l'hypertension artérielle, l'hypercholes­té­ro­lémie, l'appendicite et la goutte étaient des maladies inconnues. L'huile d'amande des abricots des Hunzas est aujourd'hui commercialisée dans le monde entier en raison de sa teneur en [vitamine ?] B17.

Haut. Page ou article précédent. Absinthe (artemisia absinthium)

Absinthe.

Photo de Karelj (CC BY-SA 3.0).

EMPLACEMENT : jardin, bord du jardin.

Famille des astéracées.

Médicinale.

Fort effet allélopathique (atténue la pousse des plantes voisines).

Plante compagne (feuilles).

Propriétés insecticides, fongicides, et répulsives contre limaces et escargots, et les mites à la maison.

Anti-puces du chien.

Hauteur : environ 1 m, jusqu'à 1,50 m.

Comestible (boisson alcoolisée, tisane).

Persistant.

Aromatique (feuilles à faible dose).

Propriétés abortives.

Aime les terres incultes et les pentes rocailleuses.

Plante à rhizome.

Haut. Page ou article précédent. Absinthe romaine (artemisia pontica)

Absinthe romaine.

Photo de Stefan.lefnaer (CC BY-SA 3.0 AT).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

J'en n'ai pas.

Jardin, zone des aromatiques...

Ou petite absinthe, armoise romaine.

EMPLACEMENT : jardin, zone des aromatiques, rocaille.

Peu de sources.

Famille des astéracées.

Vivace.

Rusticité : –15 à –34°C, avec les rares sources trouvées tournant plutôt autour de –16°C.

Comestible : feuillage aromatique (goût amer). Tisane, thé.

Floraison : insignifiantes, blanc-crème ; jaune, juin à juillet.

Sol léger, drainant, pauvre, sec.

Résiste à un sol sec.

Exposition : soleil.

Caduc. Semi-persistant...

Médicinale : vermifuge, tonique, digestive, apéritive, antispasmodique. Emménagogue, coliques intestinales.

Hauteur : 50 à 60 cm (largeur : 60 à 80 cm).

Multiplication : division.

Drageonne vigoureusement.

Forme un bon couvre-sol en sol pauvre et sec.

Feuillage argenté très décoratif.

Purin contre les insectes.

Haut. Page ou article précédent. Abutilon (abutilon...)

Non : rusticité : –5°C.

Haut. Page ou article précédent. M Acacia (robinier) (robinia pseudoacacia)

Acacia (robinier).

Photo du domaine public.

EMPLACEMENT : entre forêt comestible et forêt, faire des essais en haie défensive très serrés (drageons épineux).

Famille des fabacées.

Mellifère.

Floraison : mai-juin.

Croissance rapide.

Epineux (drageons et jeunes branches uniquement).

Rejette de souche, drageonne.

Bois utilisé (durable, imputrescible et de très longue durée, dur). Adapté aux ouvrages extérieurs soumis à des humidifications fréquentes ou permanentes (clôtures, caillebotis, plages de piscine, mobilier de jardin, pergolas, mobilier urbain, piquets de vigne, barreaux d'échelle, rayons de roues de charrettes, barrières...).

Peut remplacer le bois exotique à l'extérieur sans traitement.

Excellent bois de chauffage (mais projette beaucoup : à brûler dans un appareil fermé).

Tinctoriale : bois trituré (jaune).

Parfumerie : (fleurs).

Médicinale : écorce, feuilles, fleurs.

Fourrage en cas de disette (feuilles fraîches). Les feuilles étant toxiques, il ne faut probablement pas en abuser (les feuilles sont toxiques pour les ruminants : vaches, chèvres, moutons). Je pense qu'il vaut mieux éviter de s'en servir comme fourrage, c'est plus sûr... Le frêne est excellent à la place.

Toxique pour chevaux et poules.

Comestible (fleurs uniquement, excellentes en beignets). Le reste de la plante est toxique. La sève semble aussi comestible puisqu'il est dit qu'elle a une saveur sucrée rappelant la réglisse... Mais une source précise que « la sève de l'écorce contient des substances toxiques qui sont néfastes pour la santé de vos animaux Â». Boisson (fleurs : 15 à 20 g à macérer dans 1 litre de vin rouge ; ou dans un litre de lait pour le parfumer). Les Amérindiens consommaient les graines bouillies.

Hauteur : de 10 à 15 m, de 25 à 35 m...

Ne pas le confondre avec le cytise dont les fleurs sont jaunes et toxiques.

N'aime pas les terrains humides et les terres argileuses et compactes.

Craint l'ombre et les vents forts.

Fixe l'azote dans le sol.

Permet de fixer les terrains menacés d'affaissement. Utilisé pour fixer talus, remblais, sables mouvants.

Souvent invasif (peut être remplacé par des sorbiers).

Densité du bois : 0,65 à 0,90.

Racines pivotantes et traçantes.

Les cendres de son bois sont riches en potasse et serviraient à éloigner les limaces...

La meilleure source abondante de biomasse raméale à égalité avec l'olivier d'automne (elæeagnus umbellata).

Acacia doré (robinia pseudoacacia "frisia") : son grand avantage : feuilles jaune d'or au printemps, jaune-vert en été et jaune orangé en automne. Mais il fleurit peu.

Haut. Page ou article précédent. Acajou de Chine "flamingo", toona, cédrèle de Chine "flamingo" (cedrela sinensis "flamingo" ou toona sinensis "flamingo")

Acajou de Chine "flamingo".

Photo de Leonora (Ellie) Enking, sur Flickr (CC BY-SA 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Isolé pour profiter de la beauté de son feuillage coloré (caduc).

Et quelques-uns dans la forêt comestible (feuillage comestible) parce qu'ils sont à peine assez rustiques (–10 à –15°C).

EMPLACEMENT : isolé pour profiter de la beauté de son feuillage coloré.

Famille des méliacées.

Caduc.

Hauteur : 5 à 18 m avec une moyenne autour de 10 m, l'inévitable source différente (il y en a une à chaque recherche) monte jusqu'à 30 m !

Largeur : un tiers de la hauteur.

Arbre très ornemental.

Intéressant principalement pour son feuillage très coloré : rose au prin­temps, puis jaune-crème, puis vert brillant en été, puis jaune d'or ou jaune orangé en automne.

Ecorce décorative en hiver.

Exposition : soleil de préférence, accepte la mi-ombre.

Eviter de l'exposer aux vents trop froids.

Tout sol frais, riche en humus, draine, pas trop sec en été.

Supporte un sol médiocre, même un peu calcaire.

Comestible : jeunes pousses (comme légume). Ecorce aromatique [?]...

Mellifère ? (« attire les abeilles ») (une seule source)...

Floraison (sur les vieux sujets) : blanche, jaune-vert, juin à juillet, voire jusqu'à octobre si l'été est chaud.

Attire les papillons.

Rusticité : –10 à –15°C.

Résiste à la pollution.

Croissance rapide.

Tailler court en fin d'hiver, il produira de vigoureuses pousses florifères par la suite.

S'étend en formant des rejets, donnant un buisson de tiges dressées.

Les Asiatiques le taillent en trogne pour obtenir un grand nombre de pousses comestible à hauteur d'homme facilement récoltable. Mais peut-être vaut-il mieux cultiver la variété type toona sinensis pour la consommation ?...

Haut. Page ou article précédent. M Acanthe (acanthus mollis)

Acanthe.

Photo de Karelj (CC BY-SA 3.0).

EMPLACEMENT : jardin, autour du jardin, arbres fruitiers, forêt comestible, racines ou arbustes morts.

Famille des acanthacées.

Mellifère.

Floraison : de mai-juin-juillet à août-septembre. Semble pouvoir fleurir au printemps aussi...

Médicinale.

Hauteur : semble mesurer environ 80 cm, mais jusqu'à 1,50 m voire 2 m avec ses hampes florales.

Tinctoriale (jaune).

Pousse très bien sous les chênes et les pins.

Supporte de pousser entre les racines d'arbres.

Pousse bien sur terrain en pente.

Croissance rapide.

Peut se montrer envahissante.

Accepte les sols calcaires.

Rusticité moyenne : –10, –15, –20°C...

Attire escargots et limaces.

Peut se reproduire par drageons.

Vit principalement dans les zones méditerranéennes et en dessous de 300 à 500 m d'altitude, une source indique 1000 m...

Plante rhizomateuse.

Les racines servaient à faire des brosses « à chiendent » (les déterrer au printemps, les nettoyer, les blanchir, les couper en brins de même longueur et les clouer sur une planchette).

Semble apprécier l'ombre...

Haut. Page ou article précédent. M Achillée filipendule, achillée eupatoire (achillea filipendulina)

Achillée filipendule.

Photo de Alberto Salguero (CC BY-SA 3.0).

EMPLACEMENT : au jardin.

Famille des astéracées.

Médicinale.

Comestible.

Aromatique.

Appréciée par les dindes.

Mellifère.

Floraison : de mai à août, de juillet à septembre...

Purin.

Plante rhizomateuse.

Croissance rapide.

Hauteur : 80 cm à 1,50 m.

Haut. Page ou article précédent. M Achillée millefeuille (achillea millefolium)

Achillée millefeuille.

Photo de MarkusHagenlocher (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

J'ai la chance d'en avoir pas mal qui poussent naturellement. Les installer petit à petit dans des endroits choisis : jardin et agrandissements principalement.

EMPLACEMENT : jardin, zone des médicinales, jardin sauvage.

Ou herbe à la coupure ou herbe aux coupures, herbe militaire ou herbe aux militaires ou herbe au soldat, herbe aux charpentiers, herbe à dindes ou herbe à dindons, saigne-nez, herbe aux cochers, herbe de la Saint-Jean, herbe de Saint-Joseph, millefeuilles, sourcil de Vénus, herbe d'Achille.

Famille des astéracées.

Appréciée par les dindes.

L'achillée rentre dans la composition d'un foin de qualité pour les animaux.

Un sachet de ses graines était jadis placé dans les tonneaux de vin pour aider à le conserver.

Mellifère.

Floraison : blanche, parfois blanc-rosé, rose, jaunâtre, rougeâtre, mai à novembre, avec une moyenne généralement indiquée de juin à sep­tembre-octobre.

Couper à la base les tiges florales fanées pour prolonger la floraison en automne.

Récolte des fleurs : pendant toute la floraison.

Les feuilles écrasées dans la main dégagent une odeur forte et agréable.

Odeur aromatique.

Vivace.

Altitudes : jusqu'à 2500 à 2800 m.

Hauteur : 15 à 80 cm, avec une moyenne légèrement supérieure indiquant 40 à 60-70 cm. Largeur : 50 cm et plus.

Caduc ; persistant...

Exposition : soleil, tolère la mi-ombre.

Sol : sec, frais, bien drainé, léger, ameubli, calcaire ou argileux.

Supporte un sol argileux.

Supporte très bien la sécheresse.

Supporte un piétinement moyen.

Souche rhizomateuse.

Racines traçantes.

Plante drageonnante.

Plante stolonifère.

Se ressème spontanément.

Peut devenir envahissante.

Excellent auxiliaire au jardin : couvre-sol, supporte le piétinement, donne de la vigueur aux plantes, repousse de nombreux prédateurs, attire les pollinisateurs (abeilles et papillons), attire les syrphes (redoutables prédateurs des pucerons), lutte contre les champignons (en décoction : 100 g de fleurs pour 1 litre d'eau), accélère la formation du compost.

Plante couvre-sol.

Plante allélopathique (gêne le développement des autres plantes).

Comestible : jeunes pousses, fleurs, feuilles (saveur amère et intense ; condiment dans les salades, les soupes ou les omelettes).

Médicinale : hémostatique (arrête les saignements légers), anti-inflam­matoire et cicatrisante, douleurs menstruelles, douleurs abdo­mi­nales digestives, infections des voies respi­ra­toires (rhumes, maux de gorge...). Anti­spas­mo­dique, emménagogue, tonique.

Le suc qu'elle contient peut être irritant pour les peaux sensibles.

Habitat naturel : pelouses, prairies, pâturages, cultures, terrains incultes, terrains vagues, friches, terrils, landes, haies, bord des chemins et des routes.

Rusticité : –15 à –35°C, avec une moyenne généralement indiquée de –15 à –20°C.

Supporte bien la concurrence racinaire au pied des arbres et des arbustes à feuilles caduques.

Croissance rapide.

On peut les planter au pied des arbres fruitiers pour atténuer la pousse des mauvaises herbes et pour repousser les insectes nuisibles.

Peut remplacer le houblon pour la fabrication de la bière.

Autrefois, on utilisait les feuilles, qui ont une odeur âcre et forte, pour parfumer certaines liqueurs.

Multiplication : semis, division.

Une division des touffes (au printemps) est conseillée tous les trois ans pour rajeunir la plante.

Maladies et parasites : pucerons noirs.

Ne pas confondre

Sans les fleurs, on peut la confondre avec des apiacées (ombellifères) toxiques.

Quelques variétés

• Achillée millefeuille "Apricot Beauty" : fleurs orangées.

• Achillée millefeuille "Coronation Gold" : fleurs jaunes.

• Achillée millefeuille "Cerise Queen" : fleurs rouges. Résistante en terre argileuse.

• Achillée millefeuille "Fire King" : fleurs rouges.

• Achillée millefeuille "Lilac beauty" : fleurs lilas.

• Achillée millefeuille "Moonshine" : fleurs jaunes.

• Achillée millefeuille "Terra Cotta" : fleurs jaune ocré. Exige un sol bien drainé surtout en hiver.

Semis

Semis

La germination est lente et souvent irrégulière. Le semis donne ainsi souvent des résultats décevants parce que les adventices germent en général plus vite que l'achillée.

1

Semis direct au printemps ou à l'automne. Maintenir le semis humide.

2

Semis de mars à juin. Semez dès le mois de mars en caissette ou en pot et début avril en place. La plantation peut alors se faire à tous moments. Evitez les arrosages abondants.

3

Semer en pépinière ou en pleine terre du mois d'avril au mois de juin. 1 cm de recouvrement du semis avec de la terre affinée. Repiquage de plants en mai après les gelées.

Division

Division des touffes (séparation des rhizomes) en fin d'été.

Haut. Page ou article précédent. Acnistus australis (acnistus australis) : à voir...

Famille des solanacées. Hauteur 1 à 2 m. Caduc ou semi-persistant. Floraison bleue juin à septembre, très florifère. Rusticité –13 à –14°C.

Haut. Page ou article précédent. Agave (...) Ã  voir...

Dont agave ovatifolia, agave à feuilles ovales : résiste au froid, à la chaleur, à l'humidité. Sol pauvre, sableux, caillouteux, sec, drainé à léger. Un sol humide amoindrit sa résistance au froid. Exposition soleil. Rusticité –15 à –17°C. Hauteur 80 cm jusqu'à 1 m, largeur 1,20 m jusqu'à 2 m. Floraison juillet à août au bout de 15 à 20 et faisant mourir la plante ensuite mais des rejets auront déjà poussé depuis longtemps. Persistant.

Haut. Page ou article précédent. M Agripaume, agripaume cardiaque (leonurus cardiaca)

Agripaume cardiaque.

Photo de Teun Spaans (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Vu l'enfer que ceux qui dirigent réellement le monde nous réservent, cette plante risque d'être très utile à partir de fin 2021...

Peu de sources : comme toujours, dès qu'il s'agit d'une plante principalement médicinale, les sources décrivent en long, en large et en travers les caractéristiques médicinales de la plante, mais très peu la plante elle-même !

EMPLACEMENT : jardin, zone des médicinales.

Ou queue de lion, cardiaire, herbe aux tonneliers.

Famille des lamiacées.

Médicinale : sommités fleuries, feuilles (problèmes cardiaques, palpitations, stress, anxiosité, antispasmodique, sédative, expectorante, tonique, astringente, légèrement tonicardiaque, hypotensive, antiarythmique, utérotonique, ocytocique, néphroprotectrice, sédative, hypotensive, antibactérienne, antioxydante, anti-inflammatoire, antalgique). Les sommités fleuries sont très piquantes : les ramasser avec des gants. Les feuilles peuvent se récolter toute l'année, même sous la neige. En teinture (la plus efficace, l'infusion est très amère). Tonique cardiaque (palpitations, stress, régularité du cœur, hypertension), relaxant (nervosité, angoisses, irritations), tonique utérin (crampes du syndrome prémenstruel, aide à déclencher les règles principalement si elles sont retardées pour des raisons émotionnelles).

Elle est traditionnellement considérée comme un des grands remèdes du cœur, en particulier des palpitations.

Plante connue pour son action calmante sur le système nerveux et les troubles cardiaques.

Utilisée comme tonique cardiaque, régulateur d'anxiété, de stress, de peurs, et pour les problèmes féminins.

Vu l'enfer que ceux qui dirigent réellement le monde nous réservent, cette plante risque d'être très utile à partir de fin 2021...

Vivace.

Floraison : rose (une seule source la décrit comme soit-disant blanche...), juin à août ou juin à septembre.

Tige carrée.

Altitude : 0 à 1300 m.

Habitat naturel : décombres, haies, pied des murs des villages, lieux incultes, le long des chemins.

Hauteur : 50 cm à 1,50 m ; 1,50 m à 2 m pour une largeur de 60 cm.

Exposition : soleil, accepte la mi-ombre.

Rusticité : –15°C ; –29°C.

Sol : tout sol drainé, humide, neutre ou calcaire, sec, argileux, pauvre...

Caduc.

Attire abeilles et papillons.

Se cultive très bien en pot.

Semis

Semis

Les graines peuvent être semées à l’automne ou en début de printemps. Si vous semez à l’automne et que la graine germe, la petite pousse survivra les températures froides [malgré les températures froides ?].

Semer en bac. Les graines germent en général au bout de 2 à 3 semaines. Garder la surface du bac humide.

Transplanter ensuite en godets puis plus tard en pleine terre.

Haut. Page ou article précédent. M Aigremoine eupatoire (agrimonia eupatoria) : à voir...

Floraison : jaune, juin à septembre. Médicinale. Tinctoriale : jaune. Mellifère. Comestible en boisson. Hauteur : 30 cm à 1 m. Rusticité : –25°C. Tous types de sols jusqu'à 1000 m.

Haut. Page ou article précédent. Ail géant... (allium giganteum) : à voir...

Ail d'ornement. Floraison violette juin à juillet. Vivace. Sol drainé. Exposition soleil à mi-ombre. Hauteur 1,50 cm. Rusticité –15°C.

Haut. Page ou article précédent. Ail éléphant (allium ampeloprasum var. ampeloprasum) : à voir...

Se distingue de l'ail classique par la grosseur de ses bulbes : jusqu'à 10 cm de diamètre, composés de 4 à 6 caïeux seulement. Se cultive de l'automne jusqu'en juillet de l'année suivante. Ne pas confondre avec le poireau perpétuel : allium ampeloprasum tout court. Goût moins prononcé que l'ail classique. Supporte les climats froids, mais n'aime pas un sol lourd ni un sol engorgé ni un hiver humide [le contraire de chez moi/nous...].

Haut. Page ou article précédent. M Ailante (ou ailanthe), faux vernis du Japon (ailanthus altissima)

Ailante.

Photo du domaine public.

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

NON : aime les sols argileux et humides, mais beaucoup trop invasif. Il y a d'autres arbres non invasifs et qui poussent très vite et que j'aime beaucoup aussi, comme les acacias (robiniers) (invasif aussi mais qui ne me fait pas peur) ou les sureaux noirs... Les noyers noirs ont le même genre de feuilles...

EMPLACEMENT : NON : je vous le déconseille très fortement : il est plein de qualités, dont l'acceptation des sols argileux et humides (sols par défaut dans cette page), mais il a un gros défaut qui surpasse toutes ses qualités : il est très invasif.

Ou ailante glanduleux, vernis de Chine, frêne puant.

Famille des simaroubacées [drôle de nom pas crédible, hein !].

Mellifère.

Floraison : mai-juin à juillet ; et, comme à chaque plante, l'éternelle excep­tion habituelle : juillet à septembre.

Fructification : samares plus ou moins torsadées avec une graine centrale.

De nombreux insectes profitent de la floraison.

Certains oiseaux consomment les graines.

Feuilles toxiques pour les animaux domestiques.

Croissance très rapide.

Jeunes rameaux à écorce duveteuse.

Caduc.

Bois cassant : à planter dans des lieux non ventés. Mais de toutes façons, il pousse tellement vite que ce n'est pas forcément gênant si la cime casse au bout de quelques années...

Plante fortement invasive. Je vous déconseille très fortement de le planter chez vous.

Drageonnant après coupe (de nombreux rejets peuvent apparaître, même à plus de 20 m).

L'arbre est capable de propager de nombreux rejets ou de se cloner depuis un fragment de racine (reproduction végétative). Fauché à la base du tronc, il drageonne et repart de plus belle, se multipliant, telle une hydre !

Hauteur : 15 à 30 m.

S'accommode de tous les terrains et de tous les climats.

Préfère les sols humides et argileux.

Aime les milieux perturbés (friches, terrains vagues, bords de routes, voies ferrées...).

Habitat naturel : ripisylves, terrains sablonneux littoraux, trouées fores­tières, friches industrielles, terrains vagues, anciennes mines, etc.

Résistant à la sécheresse.

Bois utilisé : construction, meubles, emballages, pâte à papier, menuiserie, placage et ébénisterie...

Bois facile à travailler, mais se casse facilement, il n'est donc pas durable.

Bois de chauffage : brûle bien mais en projetant un grand nombre d'étin­celles.

Plante dioïque (fleurs mâle et femelle sur des plants différents).

Rusticité : –13 à –35°C...

Médicinale : racines (épilepsie, asthme). Ecorce (diarrhée, fièvre, parasites intestinaux, asthme, hémorroïdes, problèmes gastriques). Anti-paludéen, antiulcéreux, astringente, vermifuge, antispasmodique, antiseptique, béchique, émétique, fébrifuge.

Les racines et les feuilles contiennent des composés herbicides [pourrait-on en faire du purin, par exemple ?]...

Absence de ravageurs et de maladies.

Racines : racine pivotante et réseau très étendu de racines traçantes, pouvant causer de nombreux dégâts aux routes et aux constructions.

L'écorce et les feuilles peuvent provoquer de fortes irritations cutanées.

Tolérant aux sols salés.

Altitude : jusqu'à 1100 m...

Produit des substances toxiques puissantes qui inhibent le développement des autres espèces.

Haut. Page ou article précédent. Airelle... (vaccinium vitis-idæa) : à voir...

Famille des éricacées. Plante tapissante. Habitat naturel : tourbières alpines. Hauteur : 30 cm. Rusticité : –20°C. Floraison : blanche ou rosée, été. Fructification : baies rondes rouges de 1 à 1,5 cm. Sol drainant, aéré, acide, terre de bruyère. Exposition : mi-ombre. Multiplication : division de touffe ou marcottage.

Comestible : acidulé, cru ou cuit. Récolte après les premières gelées.

Médicinale : désagréments de la ménopause.

Haut. Page ou article précédent. Ajania (ajania pacifica) : à voir...

Floraison jaune clair, octobre à novembre. Hauteur : 30 cm. Largeur : 50 cm. Semi-persistant. Feuillage aromatique gris vert, marginé d'argent. Rusticité : –10 à –15°C sur de courtes durées et en sol drainé. Accepte la sécheresse et les embruns.

• Ajania pacifica "Atlanticum". Feuillage vert foncé marginé de blanc.

• Ajania pacifica "Bellania Bea". Floraison en pompons jaunes.

• Ajania pacifica "Bellania Bengo Rosa". Floraison en petites marguerites roses.

• Ajania pacifica "Bellania Bengo Weiss". Floraison en marguerites crème à cœur vert.

• Ajania pacifica "Pink Ice". Floraison à pétales blanc-rosé.

Haut. Page ou article précédent. M Ajonc (ulex europæus)

Ajonc.

Photo de Evelyn Simak (CC BY-SA 2.0).

EMPLACEMENT : haie défensive (jusqu'à 2,50 m de haut), mais se dégarnit rapidement du pied.

Famille des fabacées.

Mellifère.

Floraison : de mars à juin-juillet. Semble pouvoir fleurir en hiver aussi...

Très épineux.

Les boutons floraux macérés dans du vinaigre blanc ont été employés comme condiment pour remplacer les câpres.

Colorant jaune (fleurs).

Médicinale.

Excellent abri pour les oiseaux et les petits mammifères.

Protège les talus et les pentes de l'érosion.

Excellent « bois » de chauffage (haute température).

Servait autrefois à beaucoup de choses : nourriture pour le bétail (écrasé avec un appareil spécial) mais à donner avant l'apparition des fleurs et semble-t-il surtout des graines, qui sont toxiques ; protection au sol pour conserver les bûches ; torchis (mélangé à de l'argile) ; engrais (en le laissant pourrir dans l'eau) ; fumier (mélangé aux crottes du bétail) ; boucher les brèches dans les haies ; hérisson (mélangé au houx pour le ramonage) ; protéger les greffes et les semis des attaques des oiseaux.

Aime les terrains sablonneux, pierreux et secs.

Croissance rapide.

Persistant.

Aime le soleil.

Résiste au vent.

Hauteur : de 1 m à 2,50 m.

Se plait dans les sols arides, sableux et pauvres.

Les lapins sont très friands des jeunes pousses.

Rusticité moyenne : jusqu'à –12 à –15°C.

Semis

Semis

Avril à mai. Terre fraiche à légèrement humide. Faire tremper dans l'eau tiède pendant 24 h. Se contenter d'« imprimer Â» la graine dans la terre en tassant un peu.

2 cm de recouvrement des graines avec de la terre affinée.

Au printemps. Plonger les graines dans de l'eau bouillante pendant 5 secondes puis les refroidir dans de l'eau glacée. Trempage ensuite pendant 48 h.

Semer sous abri après trempage des graines dans l'eau pendant 48 h.

Haut. Page ou article précédent. Akébie, akébie à cinq feuilles (akebia quinata)

Akébia quinata.

Photo de monado (CC BY-SA 2.5).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Pergolas, murs, arbres... Les munir de supports pour qu'elle grimpe en s'enroulant.

Pas besoin de deux plantes pour une reproduction puisque les fruits ne mûriront pas chez moi.

EMPLACEMENT : pergolas, murs, arbres...

Ou liane chocolat, vigne chocolat.

Famille des lardizabalacées.

Plante grimpante volubile (les tiges s'accrochent au support en tournant, il lui faut donc un support : fil, grillage, tonnelle...).

Plante grimpante ou couvre-sol.

Hauteur (longueur) : 6 à 10 m. Largeur moyenne : 4 à 7 m (2 sources...).

Comme cette plante supporte mal la taille, prévoyez un espace suffisamment grand en prévision de son développement futur.

Feuillage teinté de pourpre en hiver. Feuillage teinté de rouge violacé à l'automne...

Semi-persistant (perd ses feuilles à partir de –10°C).

Ne semble pas mellifère, malgré un « nectarifère » et un « pollinisée par les abeilles »)...

Floraison : parfumée (vanille), violette, pourpre, bordeaux, mars-avril à mai.

Fructification : en climat doux, elle donne des fruits sucrés comestibles mais insipides (septembre à octobre).

Comestible : fruit (s'ils murissent).

Habitat naturel : fourrés et haies de montagne, lisières de forêts.

Sol léger, frais, acide [?], riche (fertile), bien drainé.

N'aime pas du tout les sols compacts, fortement argileux.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Rusticité : –15 à –20°C (les parties aériennes peuvent être atteintes dès –5°C).

Taille légère permise mais éviter de la rabattre sévèrement.

Multiplication : boutures.

Vivace.

Croissance rapide.

Abriter des courants d'air.

Pour fructifier, les fleurs ont besoin d'une pollinisation croisée de deux variétés. Akebia quinata "alba" est un bon pollinisateur.

Racines traçantes.

Vannerie ? (une source...) : Les tiges s'utilisent facilement en vannerie.

Quelques variétés

• Akebia quinata "Alba" : fleurs blanches violacées au centre.

• Akebia quinata "Amethyst Glow" : boutons blanc rosé, fleurs rouges.

• Akebia quinata "Bookside Variegata" : feuillage panaché de jaune.

• Akebia quinata "Cream Form" : fleurs blanc crème au cœur violet.

• Akebia quinata "Purple Bouquet" : feuillage plus compact et plus foncé que l'espèce type, fleurs violet foncé.

• Akebia quinata var. rosea : fleurs roses très parfumées.

• Akebia quinata "Silver Bells" : grandes feuilles aux reflets argentés, floraison rose à rouge violacé ; fleurs bicolores, mauve pâle et blanc argenté, parfum vanillé...

D'autres espèces

• Akebia pentaphylla : hybride de Akebia quinata et Akebia trifoliata. Floraison rouge pourpre et parfumée.

• Akebia trifoliata : variété à 3 feuilles. Floraison couleur chocolat.

• Akebia trifoliata "Big Fruit" : hauteur jusqu'à 6 m. Floraison violet foncé, mai... Fruits jusqu'à 15 cm de long au parfum de vanille et de chocolat.

Haut. Page ou article précédent. Alangium, alangium de Chine, alangier (alangium chinense)

Alangium de Chine.

Photo de Denis.prévôt (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Croissance très rapide ou lente selon les sources !...

EMPLACEMENT : isolé...

Presque aucune source !

Croissance très rapide (6 à 10 m en 4 ou 5 ans seulement).

Floraison : blanche, parfumée, juillet à août.

Fructification : petit fruit ovoïde noir.

Hauteur : 3 à 8 m...

Exposition : soleil, mi-ombre.

Rusticité : –18°C.

Sol : bien drainé.

Caduc.

Médicinale : tonique, contraceptif.

Autres sources peu crédibles ou douteuses

Ou alangium begoniæfolium.

Famille des alangiacées ou des cornacées.

Vivace.

Caduc.

Floraison : blanche, ou blanche à étamines jaunes, parfumée ; parfumée (et plus loin : non parfumée), juillet à août.

Fructification : drupe violet foncé.

Feuillage vert puis jaune...

Feuillage décoratif.

Exposition : soleil, mi-ombre (2 sources). Soleil, ombre [mais pas mi-ombre ?]. « Mi-ombre, lumière Â» [?]...

Rusticité : –7°C ; –15°C ; jusqu'à –15°C.

Croissance rapide.

Sol : bien drainé, riche, frais, humifère.

Maladies et parasites : aucun ; très résistant.

Taille conseillée, d'avril à novembre. Taille : de février à avril !...

Hauteur : 3 à 8 m ; 5 m. Largeur : 4 m ; 5 à 6 m.

Multiplication : bouture, rejet, et à la ligne suivante : « Boutures. Pré­lè­ve­ment de drageons. Â»...

Ce qu'en dit Wikipédia

Famille des alangiacées, et plus loin : famille des alangiacées ou des cor­na­cées.

Floraison : blanche, parfumée.

Fructification : ovoïde, 1 à 1,5 cm, côtelée.

Habitat naturel : « essence forestière »...

Sol : bien drainé.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Plante ornementale.

Bois utilisé : menuiserie, mais sa croissance est lente...

Huile des graines utilisée pour l'éclairage.

Médicinale : racines (pharmacopée chinoise traditionnelle)...

Quelques pépiniéristes en proposent à la vente : Jardiland, Plantes et Jar­din...

Densité du bois : « relativement faible Â»...

Haut. Page ou article précédent. M Albizia "rosea", arbre à soie, acacia ou mimosa de Constantinople (albizia julibrissin "rosea")

Feuilles et fleur d'albizia.

Photo du domaine public.

EMPLACEMENT : isolé.

Je mets cette plante parce que j'en ai vu une en fleurs (août) à seulement quelques kilomètres de chez moi, en gros à la même altitude (environ 750 m), donc qui devrait probablement pouvoir vivre et fleurir chez moi...

J'avais pris les notes sur cette variété avant de découvrir la "Ernest Wilson" (ou "E.H. Wilson"), beaucoup plus rustique ; mais il semblerait que les variétés "Ernest Wilson" et "rosea" ne soient qu'une seule et même variété portant deux noms différents ; du coup, j'ai supprimé les notes sur "Ernest Wilson"...

Famille des fabacées, anciennement famille des mimosacées.

Mellifère (abeilles et papillons).

Floraison rose, rouge, juillet à septembre.

Ses fleurs sont plus rouges que albizia julibrissin.

Fructification : gousses brunes pendantes de 10 à 12 cm.

Ça semble être la variété la plus rustique...

Rusticité : les sources indiquent de –5 à –22°C dont deux qui disent –7°C...

Ne supporte que des gelées courtes, et en tout cas jamais plus froides que –15°C.

Supporte la sécheresse.

Les étés chauds [mais probablement secs, non ?] des climats continentaux permettent [la vie de] l'albizia jusqu'en Asie centrale où les –20°C sont fréquents.

Bonne résistance à la fusariose.

Croissance : lente les premières années ; assez rapide ; rapide...

Caduc.

Les feuilles se ferment la nuit.

Port étalé jusqu'à 7 m de haut sur 10 m de large.

Hauteur : 4 à 5 m ; 5 à 10 m ; avec une moyenne générale autour de 5 à 7 m.

Largeur : à peu près aussi large que haut ; de 7 à 10 m...

Doit être en situation bien ensoleillée et la plus abritée possible des vents froids d'hiver.

Déteste les sols lourds et argileux.

Accepte parfaitement les sols caillouteux ou calcaires.

Sol : bien drainé, profond.

Exposition : soleil.

Cultivable en pot.

Si vous habitez une région au climat rigoureux, préférez planter l'albizia en bac pour les premières années, et le rentrer sous serre pour l'hiver. Vous pourrez l'installer en pleine terre au bout de quelques années.

Les premières années, l'albizia est sensible aux fortes gelées. Une astuce consiste à protéger le tronc avec une mousse pour tuyaux de chauffage.

Vivace.

Port en forme de parasol.

Ne vit pas très longtemps, dépassant rarement les 25 ou 30 ans.

Ne pas le planter trop près des constructions car ses racines s'étalent.

Bois utilisé : menuiserie, ébénisterie.

Médicinale : écorce (ecchymoses, vermifuge, diurétique, diges­tive, anti-in­flam­ma­toire). Fleurs (dépression, insomnie, anxiété).

Racines traçantes.

Notes sur les albizias en général

Extrait d'un forum : Un pépiniériste m'a mise en garde : c'est une crasse : les racines se propagent loin, font sauter les petites maçonneries, les graines se répandent partout et ça repousse partout... bref, la description parfaite de l'invasive. Plusieurs réponses disent que c'est faux, aucun site internet ne le confirme non plus. Et puis, chez moi, ça ne craint sans doute rien...

Haut. Page ou article précédent. Alcathæa, alcalthæa (x alcalthæa suffrutescens)

Alcalthæa.

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Semble très bien, mais caduc.

EMPLACEMENT : isolé, haie...

Ou rosemauve, mauve.

Hybride entre un hibiscus et une rose trémière.

Très peu de sources crédibles. Peu de sources parlent de Alcalthæa suffrutescens, elles parlent presque toutes d'une des trois variété ci-dessous, je mets dont ici à la fois les rares sources crédibles parlant de Alcalthæa suffrutescens et les rares sources crédibles parlant d'une des trois variétés citées ci-dessous.

Trois variétés

• Alcalthæa suffrutescens "Parkallee". Floraison ivoire teinté d’abricot et de framboise.

• Alcalthæa suffrutescens "Parkfrieden". Floraison rose pâle et prune.

• Alcalthæa suffrutescens "Parkrondell". Floraison rose-mauve.

Familla des malvacées.

Floraison : "Parkallee" : orange. "Parkfrieden" : [trop peu de sources crédibles !]. "Parkrondell" : rose, ou rose à étamines violettes...

Floraison : semi-double, juin à septembre, voire jusqu'à octobre.

Hauteur : 1,20 m à 2 m. Largeur : 50 à 80 cm.

Vivace.

Caduc.

Exposition : soleil.

Sol : sec, profond, bien drainé...

Rusticité : –18°C...

Ce qu'en dit Ooréka

Alcathea [Alcathéa ?].

Semi-persistant.

Hauteur : 1 à 5 m. Et un peu plus loin : 1,50 m à 3 m ! Largeur : 70 à 80 cm.

Croissance moyenne.

Multiplication : bouturage.

Mellifère.

Floraison : juin à octobre.

Comestible : fleurs (salade ou décoration de plat).

Sol : riche, drainé.

Tailler de moitié pour lui donner son port arbustif et pour qu'elle soit plus florifère.

Maladies et parasites : aucun, n’est pas atteinte par la rouille contrairement aux roses trémières.

Multiplication : bouturage d'avril à septembre.

Multiplication

Bouturage

Prélever des tiges et les couper en morceaux de 15 à 20 cm. Supprimer les feuilles du bas sur toute la partie à enterrer : les futures racines partiront de ces « blessures Â». Couper les feuilles restantes en deux pour éviter trop de transpiration. Planter ces boutures, espacées de 10 cm, dans un substrat moitié terreau moitié sable, à placer à mi-ombre. Arroser. Conserver le substrat humide. L'enracinement a lieu au bout de trois mois « Ã  la belle saison Â» [en clair : il faut faire le bouturage fin du printemps / début de l'été]. Une fois les racines « bien fournies Â», les rempoter en pot individuel. Les installer au jardin au printemps. Les mettre sous châssis en hiver [donc si j'ai bien compris, les mettre d'abord sous châssis pour passer l'hiver, puis les installer ensuite au jardin au printemps... Pourquoi dois-je toujours tout traduire ?!].

Pour les boutures faites en deuxième partie d'été [d'où mon commentaire précédent sur la période de bouturage], « oubliez-les Â» [tout l'hiver] en protégeant le pot sous châssis dès octobre. Les rempoter en pot individuel en mars. Les installer au jardin en juin.

Haut. Page ou article précédent. Alchémille (alchemilla vulgaris)

Alchémille.

Photo de Stéphane TASSON, sous licence libre GNU.

L'alchémille semble avoir plusieurs aspects différents...

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

...

Ou alchémille commune, alchemille vulgaire, patte de lapin, pied de lion, manteau ou herbe de Notre-Dame, porte-rosée.

EMPLACEMENT : zone des médicinales, jardin...

Famille des rosacées.

Vivace.

Médicinale : feuilles (calmant). Astringente (resserre les tissus corporels), tonique (fortifie et stimule), vulnéraire (favorise la guérison des plaies, des blessures et des brûlures), digestive (combat les troubles de la digestion, stimule la digestion), anti-diarrhéique (élimine les problèmes de diarrhée), diurétique (aide à l'élimination des liquides et agit sur les troubles urinaires), hémostatique (aide à stopper les petites hémor­ra­gies). Anti-inflammatoire.

Floraison : vert-jaune, mai à août.

Feuillage odorant.

Feuillage jaune en automne.

Les fleurs peuvent être séchées pour faire des décoration florale en hiver.

Sol frais à humide, drainant (ou léger), humifère, plutôt sec...

Rusticité : –20 à –26°C.

Hauteur : 10 à 30 cm (largeur : 40 à 80 cm).

Plante couvre-sol.

Croissance moyenne.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Caduc ou semi-persistant...

Comestible : jeunes feuilles (légèrement amères, très riches en vitamines C) (en tisane, ajoutés aux salades).

Altitude : jusqu'à 2600 m.

Habitat naturel : lisières et haies forestières, prairies à hautes herbes, forêts ouvertes ou pâturées, sources.

Plante rhizomateuse.

Se ressème spontanément.

Multiplication : semis, division.

Maladies et parasites : limaces et escargots.

Pour rajeunir les pieds, il est préférable de faire une division de touffe tous les quatre ans au printemps.

Semis

Semis

Semis au printemps sous abri à environ 15°C. Ou en pleine terre d'avril à mai. Graines recouvertes de 1 cm de terre affinée. Repiquages et plantations en pleine terre en mai.

Haut. Page ou article précédent. Alchornea davidii (alchornea davidii) : à voir...

Rusticité –25°C. Accepte le calcaire. Caduc. Jeune feuillage rouge ou rose très décoratif au printemps. Floraison rouge, été. Feuillage aux très belles couleurs en automne. Hauteur 2 m.

Haut. Page ou article précédent. Alisier blanc, allouchier (sorbus aria)

Alisier blanc.

Photo de Echte Mehlbeere - Whitebeam (Flickr) (CC BY-SA 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

A planter chez moi. Le mieux serait sur des pentes, peut-être, ça lui éviterait d'avoir un sol trop humide...

Ou alouchier, allouche de Bourgogne, sorbier des Alpes.

EMPLACEMENT : pergolas, murs, arbres...

Famille des rosacées.

Hauteur : 3 à 20 m !, avec une moyenne généralement indiquée entre 10 et 15 m. Largeur : 4 à 10 m.

Mellifère.

Floraison : blanche, mai à juin.

Fructification : rouge, rouge-orangé, orange, très décorative, maturité en octobre.

Fruits consommés par les oiseaux.

Comestible : fruits (« alises », farineux, fades, goût acidulé, confiture, excellente eau-de-vie). Très riche en vitamines C. Crus : à consommer blets. En Scandinavie, on en faisait une sorte de cidre.

Altitude : jusqu'à 1700 m, voire 2300 m.

Caduc.

Habitat naturel : milieux secs et chauds, surtout sur sol calcaire, bois secs, pentes rocailleuses. Pousse souvent en compagnie du chêne pubescent.

Tous sols acceptés. Préfère un sol sec, profond, calcaire. Mais supporte un sol acide.

Rusticité : –20°C ; –35°C...

Aime la chaleur.

Exposition : soleil, accepte la mi-ombre.

Feuilles décoratives : blanc argenté pubescent dessous.

Feuillage jaune ou orange ou rouge en automne.

Croissance rapide ; moyenne ; lente ; très lente ! Que de contradictions permanentes dans les sources ! Je ne m'y ferai jamais !

Racine pivotante profonde.

Multiplication : semis.

Plante monoïque (hermaphrodite) (fleurs mâles et femelles sur le même plant).

Maladies et parasites : feu bactérien.

Bois utilisé : dur et dense, homogène, grain très fin, objets résistants, forte résistance mécanique (décoration, tournage, pièces de machines (vis de pressoir, timons et moyeux de roues de chariot, rouages), chevilles, manches d'outils ; instruments de musique (flûtes, pièces d'orgues, instruments de musiques à cordes) ; queues de billard ; instruments de mesure.

Densité du bois : 0,8 à 0,9.

Médicinale : fruits (antidiarrhéique, cicatrisant, anti­hé­mor­ra­gique, vei­no­to­nique, anti-athé­ro­ma­teux, diuré­tique, anti­li­thique, emmé­na­gogue, cho­la­gogue, anti­tus­sif).

Supporte la sécheresse.

Supporte le plein vent. Abriter des vents froids...

Supporte la pollution.

Supporte un sol acide.

Dans le passé, on l'appelait l'arbre du temps car, si le revers blanc de son feuillage était apparent, cela signifiait qu'il allait bientôt pleuvoir.

En temps de disette, le fruit était séché, broyé et mélangé à la farine pour faire du pain.

On en fait une boisson et des compotes (à condition d'y adjoindre des fruits plus savoureux).

Bon bois de chauffage...

Ce serait un mauvais bois de chauffage. En principe, les bois durs et denses sont pourtant de bons bois de chauffage...

Teinture : noir (rameaux prélevés en automne).

Haut. Page ou article précédent. Alisier de Suède (sorbus intermedia)

Alisier de Suède.

Photo de MPF (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Semble être (à moins que ce soit le Fontainebleau) les boutures qui poussent dans le grand bac allongé (4e).

Presque aucune source !

Famille des rosacées.

Hauteur : 10 à 15 m. Largeur : jusqu'à 5 m ; 12 m...

Caduc.

Sol : tout sol.

Rusticité : –20°C...

Exposition : soleil.

Floraison : blanche, mai à juin.

Feuillage très épais vert foncé au revers poilu.

Feuillage orangé en automne...

Fructification : petits fruits rouges (10 à 13 mm) à chair jaune. Maturité : septembre à octobre.

Comestible : fruits.

Récolte des fruits : bien mûrs, après les premières gelées.

Rameaux très noueux...

Ce qu'en dit Wikipédia

Ou sorbier de Scandinavie, sorbier intermédiaire.

FeuiIlage : blanc dessous.

Fructification : fruits rouges de 15 mm, riches en vitamine C, acide malique et acide citrique.

Ne pas confondre avec l'alisier blanc dont les feuilles sont peu ou pas lobées ; ni avec l'alisier de Fontainebleau dont les feuilles sont moins blanches dessous et avec des lobes plus pointus à la base, moins arrondis, et des nervures plus serrées, et dont les fruits sont brun-rouge terne.

Autres sources pas crédibles à mes yeux, que je ne consulte jamais habituellement (analphabètes, étrangers au français mal traduit, québécois, particuliers, associations, mairies ou départements, sites sans rapport avec les plantes, etc.)

Ou alisier du nord...

Mellifère (nectar et pollen)...

Floraison : avril à mai ; mai...

Fruits orangés ou plutôt rouge-orangé, de 15 mm, qui seraient non comestibles ; mûrissant fin septembre...

Feuillage tomenteux ou très velu dessous.

Jeunes rameaux velus...

Comestible : fruits après une première gelée. On les utilise pour acidifier des gelées, marmelades et jus...

Hauteur : 10 m.

Sol : frais, sableux ou limoneux, neutre ou calcaire...

Résiste au vent...

Un cultivar

Sorbus intermedia "Brouwers". Port un peu plus compact et élancé. Plus fructifère que sorbus intermedia ; très fructifère ; un peu moins fructifère que sorbus intermedia. Croissance plus lente. Non mellifère. Floraison mai à novembre ! (et fructification août à octobre !)...

Semis

Semis

Stratifier les graines à froid à 3 à 5°C pendant 5 à 7 mois !, puis semer au printemps.

Haut. Page ou article précédent. Alisier torminal, alisier, sorbier torminal (sorbus torminalis)

Alisier torminal.

Photo du domaine public.

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Je crois bien que j'en ai un chez moi : coin sud-ouest au bord du bois, en haut de la pente (livre de jardin, 6 octobre 2018). Je n'ai vu ni fleurs ni fruits en octobre alors qu'il devrait en avoir à cette période.

Aller vérifier ses floraison et fructification régulièrement.

Prélever des fruits et les semer.

A mettre en forêt comestible.

EMPLACEMENT : forêt comestible.

Ou alisier des bois, sorbier, sorbier des bois.

Famille des rosacées.

Rusticité : –20 à –25°C.

Hauteur : de « jusqu'à 10 m » à 25 m. Largeur : 5 à 8 m.

Croissance rapide ; moyenne ; assez lente ; lente !...

Habitat naturel : clairières, lisières des bois, en terrain argileux et calcaire, généralement associé aux hêtres, aux frênes et aux chênes.

Altitude : jusqu'à 800 à 1000 m.

Sol frais à humide, léger (drainant), acide.

Aime les terrains argileux et calcaires [« et » ou « ou » ?].

Aime les sols riches en calcaire.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Mellifère.

Floraison : blanche, mai à juin.

Vivace.

Caduc.

Feuillage d'automne rouge, orange, jaune.

Comestible : fruits (alises, 1,5 cm, septembre à novembre, se mangent blets).

Fruits très appréciés des oiseaux.

Fruits utilisés en distillerie (eau-de-vie).

Bois lourd, homogène, très élastique.

Bois utilisé : très dur de première qualité, outils, armes, gravure sur bois, sculpture, ébénisterie, engrenages en bois, instruments de mesure, lutherie, pièces de machines. Débité en feuilles ou en placage, il habille de grands panneaux décoratifs.

Racines fasciculées. « S'enracine profondément »...

Médicinale : fruit (astringeant, anti-dysentérique, antidiarrhéique).

Drageonne (rejets s'élevant des racines).

Haut. Page ou article précédent. Aloé véra (aloe vera, ou aloe barbadensis)

Aloé véra.

Mes aloé véra.

EMPLACEMENT : à l'intérieur (non rustique), en véranda, ne mettre dehors qu'en été.

Famille des liliacées.

Médicinale, « une plante qui guérit presque tout, des pieds à la tête ! », soigne ou entretient un très grand nombre de choses : propriétés antibactériennes, anti-virus, antifongiques, analgésiques, anti-inflamma­toires, apaisantes, hémostatiques, cicatrisantes, hydratantes. Riche en acides aminés, vitamines, sels minéraux, oligoéléments, polysaccharides, enzymes.

Ses propriétés naturelles sans transformation restent l'apai­sement cutané suite à des brûlures, et l'accélération de la cicatrisation.

Persistant.

Absorbe facilement tous les polluants intérieurs, n'est donc pas conseillé pour les soins médicinaux... alors comment faire !?...

Hauteur : 50 à 80 cm.

Floraison : fleurit rarement en appartement...

Non rustique : températures supérieures à +10°C [chez moi, à 750 m d'altitude dans le Tarn, il survit sans problème à 0°C et sous un peu de neige].

En pot : le mettre dans un récipient large car ses racines s'étendent horizontalement.

A l'intérieur : arroser quand la terre est bien sèche. En automne et en hiver, une à deux fois par mois est suffisant, avec une eau à température ambiante et non calcaire.

Haut. Page ou article précédent. Alstrœmère (alstrœmeria aurantiaca, alstrœmeria aurea)

Alstrœmère.

Photo de Wernerluis (CC BY-SA 4.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

...

Ou lis des Incas, lis du Pérou.

EMPLACEMENT : jardin, parterres, devant la maison.

Peu de sources.

Famille des alstromériacées et/ou des amaryllidacées...

Le plus rustique de tous les alstrœmères.

Vivace.

Plante toxique. Sève allergisante.

Rusticité : –10°C voire plus bas avec une protection ; –15°C.

Caduc.

Multiplication : semis, division.

Sol : riche (humifère), profond, perméable, drainé, frais.

Eviter un sol calcaire.

Exposition : soleil, mi-ombre acceptée.

Abriter du vent.

Hauteur : 70 cm à 1 m. Largeur : 50 cm à 1 m).

Mellifère.

Floraison : abondante, grandes fleurs blanches, orange, jaunes, juin-juillet à août-septembre.

Couper régulièrement les fleurs fanées pour favoriser la floraison.

Maladies et parasites : pourriture en cas d'excès d'eau, araignées rouges (si cultivé en serre), escargots et limaces.

Croissance rapide.

Excellente fleur coupée qui tient longtemps en vase si on ne laisse pas ses feuilles tremper dans l'eau.

Protéger la souche contre les fortes gelées, surtout les premières années.

Le bulbe de plusieurs espèces d’Alstroemères (dont alstrœmeria ligtu) est consommé sous forme de fécule, le reste de la plante est toxique.

Bulbe apprécié des sangliers.

Multiplication

Semis

Les semis sont difficiles à réussir et ne reproduisent pas fidèlement les espèces. Semer sous abri chaud, en août, de préférence avec des graines fraîches.

Division

1

Le plus simple est la division des tubercules, à faire d'août à octobre. Attention aux racines qui sont très fragiles.

2

Division des racines au début du printemps.

Haut. Page ou article précédent. M Alysse corbeille d'or (alyssum saxatile, ou aurinia saxatilis)

Alysse corbeille d'or.

Photo de Prazak (CC BY-SA 3.0).

EMPLACEMENT : jardin, rocaille, mur de pierres sèches.

Famille des brassicacées (anciennement crucifères).

Mellifère, très appréciée des abeilles et autres insectes pollinisateurs.

Floraison : de mars-avril à juin.

Hauteur : de 15 à 30-40 cm.

Exposition au soleil.

Persistant.

Haut. Page ou article précédent. Amarante, queue de renard (amaranthus caudatus)

Amarante queue de renard.

Photo de Tubifex (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

J'en n'ai pas encore.

Jardin ou zone des céréales.

Ou amarante caudée, blé des Incas.

EMPLACEMENT : jardin, massifs, zone des céréales.

Famille des amaranthacées.

Floraison : rouge-pourpre ; vert [probablement pour le cultivar amaranthus caudatus "viridis"...], juin-juillet à septembre-octobre.

Vivace, généralement cultivée en annuelle (et rentrée en hiver).

Persistant.

Hauteur (unanime pour une fois !) : 1 m à 1,50 m (largeur : 50 cm).

Rusticité : gélive (0°C).

Exposition : soleil.

Abriter du vent. On peut butter le pied pour les aider à résister au vent.

Tous types de sols, y compris calcaires.

Sol riche en humus, humifère, fertile, léger, bien drainé, frais.

Multiplication : semis.

Maladies et parasites : pucerons, araignées rouges, limaces, escargots.

Comestible : graines (grillées, bouillies, réduites en farine très nutritive, graines germées). Feuilles (cuites comme les épinards, crues ajoutées aux salades). L'amarante est très riche en vitamines A, B, C, calcium, fer, magnésium, et contient des protéines.

On distingue les amarantes à feuilles et les amarantes à graines. Des premières, on consomme essentiellement les feuilles, façon épinard. Des secondes, on consomme les graines (blanches, roses ou jaunes), façon quinoa. La queue de renard fait partie de ce [deuxième] groupe et est très productive.

Récolte [des graines, je suppose...] : au fur et à mesure des besoins.

Récolte des rosettes (feuilles) : septembre à avril.

Peut se cultiver en pot.

Se ressème spontanément.

Les fleurs séchées se conservent pendant tout l'hiver.

Racine pivotante.

Croissance rapide.

Quelques cultivars

• Amaranthus caudatus "viridis". Hauteur : environ 1,20 m. Floraison vert-jaune.

• Amaranthus caudatus "red cathedral". Hauteur : environ 1 m. Floraison rouge intense.

Semis

Semis

Semis sur un sol réchauffé (deuxième moitié de mai), ou plutôt [plus tôt ?] dans la saison, en godet et à l'abri. Les semences sont très petites, aussi semez clair le plus possible. L'éclaircissage est incontournable, gardez un plant tous les 60 cm.

Semer en terrine ou en godet. Installer en mini-serre ou recouvrir de plastique. Entreposer à 20°C minimum. Maintenir humide mais non détrempé. Repiquer les plants. Ou semer en place en mai puis éclaircir tous les 60 cm. Durée de germination : quelques semaines.

Semer en mars ou en avril sous abri, ou directement en pleine terre de fin avril à début mai. 1 cm de recouvrement des graines avec de la terre affinée. Les plants seront installés en pleine terre en mai lorsque les risques de gelées seront passés. Les graines conservent leurs facultés germinatives pendant 3 ans.

Semer en mai-juin directement en place, en ligne ou à la volée. Eclaircir à 30 cm d'intervalle. Pour une floraison plus précoce et pour avoir plus de plantes, semer de mars à avril sous abri, mettre en place à 40 cm d'intervalle dès que les plants sont assez forts.

Haut. Page ou article précédent. Amarante tricolore (amaranthus tricolor) : à voir...

Hauteur jusqu'à 1 m. Feuillage en trois couleurs panaché de rouge, de jaune-vert, de vanille, de corail. Exposition soleil. Sol riche. Pour éviter l’envahissement, il faudra couper les fleurs avant qu’elles ne montent à graine. En situation venteuse, mettre des tuteurs. Floraison juin à octobre.

Il y a plusieurs variétés dont 3 prises au hasard ci-dessous

p>• Amaranthus tricolor "Aurora" : feuilage vert et jaune pâle.

• Amaranthus tricolor "Illumination" : certainement la plus belle, flamboyante, avec ses feuilles jaunes, rouges et orangées.

• Amaranthus tricolor "Splendens Perfecta" : extraordinaire feuillage multicolore rouge, vert et jaune.

Haut. Page ou article précédent. M Amélanchier du Canada (amelanchier canadensis)

Amélanchier du Canada.

Photo de David J. Stang (CC BY-SA 4.0).

EMPLACEMENT : forêt comestible.

Famille des rosacées.

Mellifère.

Floraison : de mars-avril à mai.

Attire les oiseaux qui viennent souvent nicher dans ses branches et manger ses fruits.

Comestible (fruits).

Bois utilisé (manches d'outils, cannes à pêche).

Médicinale (écorce et racine).

Ses fruits contiennent de la pectine qui aide à gélifier les confitures.

Hauteur : de 2 à 6 m, 5 m, de 5 à 10 m...

Racine pivotante (verticale).

Croissance rapide.

Haut. Page ou article précédent. Amélanchier à feuilles d'aulne (amelanchier alnifolia)

Amélanchier à feuilles d'aulne.

Photo de USFWS - Pacific Region (photo du domaine public).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Comme les autres amélanchiers, probablement...

EMPLACEMENT : forêt comestible, haies...

Presque aucune source et beaucoup d'analphabètes !

Famille des rosacées...

Supporte un sol humide...

Accepte le calcaire...

Mellifère...

Floraison blanche, parfumée, fin du printemps...

Feuillage jaune orangé en automne...

Rusticité : –25°C...

Sol frais...

Exposition : soleil, mi-ombre, ombre...

Caduc...

Comestible : baies...

D'après Wikipédia

Fruits consommés frais, séchés, cuits.

Sol bien drainé, accepte un sol pauvre.

Supporte les étés chauds et secs.

Se reproduit facilement par semis et commence à fructifier entre 2 et 4 ans. On peut également le bouturer au milieu du printemps en prélevant des pousses herbacées de l'année de moins de 10 cm de long.

Maladies et parasites : feu bactérien.

Il existe de nombreuses variétés de cette espèce [Je n'ai pas pu les noter ici car le texte de Wikipédia est bourré de grossières fautes d'orthographe qui ne le rendent pas crédible !].

C'est tout ce que j'ai pu trouver de crédible sur l'amélanchier à feuilles d'aulne. Ne vous fiez pas à ces notes (c'est quand même incroyable d'en arriver à de telles aberrations : prendre des notes et ne même pas pouvoir s'y fier !).

Il existe plusieurs cultivars d'amélanchier à feuilles d'aulne. Je les mettrai en ligne ci-dessous un jour. Si j'y pense, comme toujours !

Haut. Page ou article précédent. Amélanchier à feuilles ovales (amelanchier ovalis ou amelanchier rotondifolia) : à voir...

3-4 m, rustique, caduc, petits fruits comestibles en septembre-octobre, semble accepter le vent...

L'amélanchier ovalys ne produit pas grand chose alors que les variétés américaines d'amélanchier smoky ou martin sont très productives.

Haut. Page ou article précédent. M Amélanchier de Lamarck (amelanchier lamarckii)

Amélanchier de Lamarck.

Photo de Rasbak (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Sud (ou sud-est ou sud-ouest) de la forêt comestible. Je peux le planter tout de suite car il résiste au vent.

EMPLACEMENT : entre forêt et forêt comestible.

Famille des rosacées.

Mellifère.

Floraison : blanche, avril à mai ; avril ou mai selon la région.

Fructification : juillet à août, voire jusqu'à septembre.

Fruits appréciés par les oiseaux et les petits mammifères.

Comestible : fruits juteux et sucrés riches en vitamine C.

Croissance moyenne ; rapide ; d'abord lente puis rapide.

Hauteur : 4 à 8 m, avec une moyenne de 5-6 m à 8 m.

Largeur : 2 à 8 m, avec une moyenne de 2 à 4 m.

Feuillage bronze en avril-mai, vert en été, rouge-orangé en automne.

Tous sols frais et bien drainés. Tolère un sol légèrement calcaire.

Tolère ou aime l'humidité, tolère les innondations temporaires.

Craint les terres qui sèchent facilement en été.

Exposition : soleil ou mi-ombre.

Caduc.

Rusticité : –15 à –20°C.

Drageonnant.

Peut être victime du redoutable feu bactérien.

Résiste au vent et aux embruns.

Son port le plus naturel est la cépée (bouquet de troncs).

Haut. Page ou article précédent. Amicie à fleurs jaunes (amicia zygomeris) : à voir...

Vivace. Caduc. « Se renouvelle chaque année si le climat est froid (–7 à –10°C) ». Rusticité –10°C. Croissance rapide. Floraison jaune orangé sur presque toute la longeur des tiges, août à octobre. Exposition soleil. Sol bien drainé. Abriter du vent. Hauteur 1,50 m à 2 m, largeur 1,50 m.

Haut. Page ou article précédent. Amour en cage, ou alkékenge, ou lanterne japonaise (physalis alkekengi var. "franchetii")

Amour en cage franchetii.

Photo de Tubifex (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Jardin, petits fruitiers. Et/ou planche dans un agrandissement.

Et si les fruits sont bons et pas si acides que ça, les laisser se reproduire un peu partout (bonne compagne avec toutes les autres plantes).

Si les fruits sont bons, se procurer le cultivar "gigantea" qui est plus haut et aux fruits plus gros...

EMPLACEMENT : petits fruitiers, jardin, début forêt fruitière.

Famille des solanacées.

"Franchetii" est un cultivar plus grand que l'espèce type.

Racine pivotante (verticale).

S'étend rapidement grâce à ses rhizomes traçants.

Hauteur : 60 à 80 cm. Largeur : 40 à 60 cm.

Floraison : blanche, insignifiante, mai-juin à septembre-octobre.

Plante toxique en dehors des fruits.

Fruits comestibles à parfaite maturité (quand son enveloppe s'ouvre) sinon ils sont toxiques. Fruits sucrés et acides (très riches en vitamine C), proches du goût de la tomate ; goût de mandarine...

Rusticité : –10 à –15°C.

Croissance moyenne ; rapide.

Aime un sol frais et riche en matière organique.

S'accommode parfaitement d'un sol calcaire, sec ou pierreux.

Exposition : soleil et chaleur.

Peut se cultiver en pot.

Parfait en bouquet sec qui se conservera plusieurs années.

Les principaux cultivars

Physalis alkekengi "franchetii", variété plus haute que l'espèce type, fruits plus pointus.

Physalis alkekengi "gigantea", 1 m, fruits assez gros.

Physalis alkekengi "zwerg", forme naine ne dépassant pas 30 cm et moins envahissante.

Le nom latin correct et précis semble être : genre : physalis - espèce : alkekengi - variété : var. franchetii - cultivar : "gigantea"... Donc : physalis alkekengi var. franchetii, et physalis alkekengi var. franchetii "gigantea".

Ne pas confondre avec :

• Coqueret du Pérou ou groseillier du Cap (physalis peruviana). Non rustique. Le plus connu et le plus consommé. Très semblable à la cerise de terre et il y a beaucoup de confusion entre les deux. C'est une plante plus grande (90 cm et parfois même 1,80 m) à maturation plus lente qui donne des fruits similaires, mais plus gros.

• Cerise de terre ou groseille du Cap (physalis pruinosa ou physalis pubescens). Rustique. Baie plus petite que le coqueret du Pérou. Se reproduit très facilement.

• Tomatille ou tomatillo (physalis ixocarpa et physalis philadelphica). Non rustique. Deux espèces différentes mais très apparentées portent le nom de tomatille. Physalis ixocarpa donne des fruits jaune pâle ; physalis philadelphica donne des fruits pourpre. C'est l'ingrédient principal de la célèbre « salsa verde Â» mexicaine. Le fruit de la tomatille ressemble beacoup à une petite tomate verte de 2,5 à 5 cm de diamètre.

Haut. Page ou article précédent. Amourette... (...) : A FAIRE

Briza media (vivace) et/ou Briza maxima (annuelle).

Haut. Page ou article précédent. Anaphalis margaritacea "Neuschnee" (Anaphalis margaritacea "Neuschnee") : à voir...

Famille des astéracées. Sol drainant, acide. Exposition soleil. Rusticité –16°C. Feuillage semi-persistant. Hauteur 60 cm. Largeur 50 cm. Floraison blanche, juin à septembre...

Haut. Page ou article précédent. M Ancolie bleue "blue star" (aquilegia cærulea (ou vulgaris ou hybrida ou cultorum ?) "blue star")

Ancolie "blue star".

EMPLACEMENT : jardin.

Famille des renonculacées.

Mellifère.

Floraison d'avril-mai à juin-juillet.

Toxique.

Hauteur : 40 cm et 60 cm en fleurs.

Supporte le calcaire.

Haut. Page ou article précédent. M Ancolie rouge "crimson star" (aquilegia cærulea (ou vulgaris ou hybrida ou cultorum ?) "crimson star")

Ancolie "crimson star".

EMPLACEMENT : jardin.

Famille des renonculacées.

Mellifère.

Floraison d'avril-mai à juin-juillet.

Toxique.

Hauteur : 40 cm et 60 cm en fleurs.

Supporte le calcaire.

Haut. Page ou article précédent. M Andromède en arbre (oxydendrum arboreum)

Andromède en arbre.

Photo de Berean Hunter (CC BY-SA 2.5).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

NON : trop peu de sources, et autant d'analphabètes !

EMPLACEMENT : ...

Ou oseille en arbre.

Très peu de sources : ne vous fiez pas aux chiffres ! Quant à Ooreka, ils en disent tellement long par rapport aux autres sources qu'ils en perdent toute crédibilité !...

Famille des éricacées.

Mellifère ?...

Floraison : blanche, mai à juin.

Floraison attrayante en forme de petites clochettes blanches retombantes.

Feuillage : belle couleur rouge pourpre à l'automne.

Hauteur : 3 à 4 m [mais peut-être jusqu'à 10 ou 12 m...] (largeur : 2 m [mais peut-être jusqu'à 6 ou 7 m...])...

Rusticité : –20°C ?...

Exposition : soleil, supporte la mi-ombre.

Sol acide, humifère, frais, bien drainé.

Ne supporte pas la sécheresse ?...

Abriter des vents forts ?...

Haut. Page ou article précédent. Andromède campanulé (enkianthus campanulatus) : à voir...

Arbuste caduc de 2 m à 2,50 m de haut, terre de bruyère (acide), feuillage orange à pourpre en automne, abriter des vents froids, racines superficielles, croissance lente, rusticité –25°C, floraison blanc crème, d'autres variétés ont des fleurs orange, roses, rouges...

Enkianthus chinensis. Hauteur 3 à 8 m. Caduc. Floraison jaune veiné de rose, mai à juin. Semble avoir du rouge en automne... Pousse en altitude.

Haut. Page ou article précédent. Androsace (androsace sarmentosa) : à voir...

Hauteur 10 cm ! Floraison rose, mai à juin. Exposition soleil. Très rustique. Beau feuillage persistant.

Haut. Page ou article précédent. Androsème officinale, millepertuis androsème (hypericum androsæmum) : à voir...

Semi-persistant. Floraison jaune d'or, juin à août. Médicinale. Hauteur 40 cm à 1 m. Comestible. Plante d'ombre à mi-ombre. Tout sol frais. Rusticité –12°C. Altitude jusqu'à 1600 m.

Haut. Page ou article précédent. Angélique en arbre d'Amérique (aralia spinosa) : à voir...

Très mellifère. Caduc. Tous sols. Epineux. Soleil. Ne supporte pas le plein vent. –15°C. 2 m x 2 m...

Haut. Page ou article précédent. Angélique des bois (Angelica sylvestris)

Angélique des bois.

Photo du domaine public.

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

J'en n'ai pas...

Encore une plante d'ombre, mais comestible...

EMPLACEMENT : sous-bois, ombre ou mi-ombre, nord de haies...

Ou angélique sauvage, angélique sylvestre, impératoire sauvage, herbe à la fièvre, herbe aux anges ou herbe des anges.

Famille des apiacées.

Habitat naturel : endroits humides et ombragés, forêts humides sur sols acides, prairies et forêts humides de montagne, fossés.

Hauteur : 50 cm à 2 m, voire 3 m, avec une généralité indiquée entre 1 m et 1,80 m.

Vivace ou bisannuelle.

Mellifère.

Floraison : blanche à rose, juillet à septembre-octobre.

Exposition : mi-ombre, ombre.

Racine pivotante.

Aime un sol acide.

Aime avoir la tête au soleil et les pieds dans une terre riche et profonde.

Déteste la sécheresse.

Toute la plante a une forte odeur aromatique (douce, épicée et légèrement amère).

Comestible : pétioles et jeunes tiges (confites au sucre : confitures, pâtisseries... ; liqueurs et apéritifs ; jeunes tiges pelées (crues ajoutées aux salades, cuites en soupe ou comme les asperges). Jeunes feuilles et bourgeons (ajoutées aux salades).

Les jeunes pousses servent souvent de condiment et de légume cuit ou cru.

Les feuilles développées doivent être cuites dans plusieurs eaux pour atténuer leur saveur puissante. On peut aussi les ajouter en petites quantités dans les soupes.

Les jeunes tiges (riches en vitamine C) crues, juteuses et aromatiques, sont pelées et coupées en petits morceaux dans les salades. Cuites à l'eau, on les sert comme les asperges. Il est possible de les confire au sucre comme celles de l'angélique officinale.

Les fleurs parfument boissons et desserts.

Les fruits (graines ?), très piquants, peuvent être utilisés comme épice.

Epice : graines et feuilles (goût piquant).

Boisson : pétioles et tiges (liqueurs et apéritifs) ; racines (liqueur digestive ou apéritive).

Récolte : jeunes pousses, avril à mai avant floraison. Feuilles, mai à août. Jeunes tiges, mai à juin avant floraison. Fleurs, juillet à septembre. Fruits (graines ?), août à septembre, frais ou secs.

Tige rougeâtre, glabre, striée, creuse, rameuse dans le [haut, d'après les photos !].

Floraison : blanche, verdâtre, rosée, juillet à octobre.

Médicinale : la plante est stimulante, apéritive, digestive et carminative. La racine est la partie la plus active. Une infusion de feuilles additionnée de miel aide à soulager les maux de ventre et à prévenir les flatulences.

Shampoing : broyer finement 2 beaux morceaux de racines d'environ 15 cm. Saupoudrer la chevelure de cette poudre, puis brosser les cheveux pour éliminer cette poudre qui entraînera avec elle salissures et sébum.

La sève peut être irritante et photosensibilisante.

Rusticité : –15°C et plus bas.

Altitude : jusqu'à 1700 à 1800 m.

Multiplication : semis.

Héberge la chenille du grand machaon.

Se ressème spontanément.

Ne pas confondre

• Berce commune (heracleum sphondylium) : feuilles de forme variable mais toujours très velue, comme la tige. Comestible aussi.

• Berce du Caucase (heracleum mantegazzianum) : plante de grande taille à tige tachée de rouge. Présence de grandes bractées à la base des ombelles.

• Egopode podagraire (ægopodium podagraria) : ses feuilles caulinaires à 3 lobes et sa souche rampante permettent de distinguer l'égopode podagraire de l'angélique. Section du pétiole en V, en gouttière par-dessous. Comestible aussi.

• Grande cigüe (conium maculatum) : très toxique. Les feuilles de ces deux plantes [lesquelles ?] sont très différentes et les fruits de la cigüe sont petits et sans ailes.

• Panais commun (pastinaca sativa) : apprécie des lieux secs. Feuilles poilues, principalement dessous. Fleurs jaune-verdâtre.

Haut. Page ou article précédent. M Angélique du Japon (aralia elata)

Angélique du Japon.

Photo du domaine public.

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Essayer en haie défensive malgré sa crainte du vent (multitroncs épineux).

Intéressant en forêt comestible (les photos montrent de grosses rations faites avec les jeunes pousses).

EMPLACEMENT : haie, haie défensive, isolé, forêt comestible.

Ou angélique en arbre du Japon, angélique de Chine, aralie japonaise, bâton du diable.

Famille des araliacées.

Mellifère (« nectarifère »).

Floraison : blanc crème, juin à septembre, ou plus probablement août à septembre.

Fructification : automne...

Baies appréciées des oiseaux.

Vivace.

Caduc.

Hauteur : 2,50 m à 7 m (largeur : 3 m), une source allant de 6 à 12 m...

C'est un arbuste haut de 2 à 4 m ou un arbre haut de 9 à 12 m [Incroyable de contradiction !].

Rusticité : –34°C.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Tous sols acceptés, profonds.

Supporte mal un sol trop compact.

Sol assez humifère et frais en été.

Sensible à l'excès d'humidité.

Multiplication : rejets à transplanter au printemps (le printemps est toujours préférable dans une région à hiver pluvieux).

Habitat : zones ouvertes, pentes, sol riche et frais.

Tronc et rameaux épineux, « l'écorce est couverte d'épines robustes Â».

Troncs multiples. Peut être cultivée sur un seul tronc en coupant les rejets ou drageons.

Les feuilles peuvent comporter quelques épines au niveau des nervures.

Feuillage jaune à violacé (ou jaune orangé ou jaune et rouge) tôt en automne.

Croissance moyenne à lente.

Planté en isolé, les drageons peuvent être envahissants vis-à-vis des arbustes ou des vivaces qui l'accompagnent.

Ses grandes feuilles peuvent être abîmées par les vents violents.

Doit être impérativement abrité des vents froids.

On peut couper quelques tiges les plus hautes au ras du sol pour le densifier et pour stimuler la pousse d'autres drageons.

Cosmétique : jeunes pousses...

Comestible : jeunes pousses (cuites comme des asperges ou blanchies en salade).

Multiplication : semis ou division des rejets.

Le caractère drageonnant de l'aralia permet de créer rapidement des haies denses pouvant abriter la faune utile.

Deux variétés

• Aralia elata "variegata", aux feuilles panachées de blanc crème.

• Aralia elata "aureovariegata", aux feuilles irrégulièrement marginées de jaune.

Haut. Page ou article précédent. Anthémis des teinturiers, camomille des teinturiers (cota tinctoria)

Anthémis des teinturiers.

Photo du domaine public.

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Pas adapté pour chez moi à la base : sol pauvre et sec...

Mais 3 mois environ de floraison, ça peut être intéressant. D'autant que la plante semble persistante ou semi-persistante et qu'elle est mellifère.

EMPLACEMENT : jardin, zones des tinctoriales.

Anciennement anthemis tinctoria.

Ou œil de bœuf.

Pas beaucoup de sources.

Famille des astéracées.

Hauteur : 20 cm à 1 m, avec une moyenne généralement indiquée de 40 à 60 cm, et un moyenne encore plus nombreuses à 50 cm.

Mellifère.

Floraison : jaune d'or, juin à août-septembre.

Exposition : soleil.

Sol bien drainé, léger, pas trop riche voire pauvre, sec.

Accepte un sol caillouteux.

N'aime pas un sol lourd, humide et froid.

Habitat naturel : prairies maigres, jachères, friches, rocailles, coteaux pier­reux, lieux incultes.

Rusticité : –10°C ; –15°C ; –20°C ; –34°C !...

Semi-persistant ; persistant...

Vivace.

Rabattre la touffe à 10 cm du sol après floraison pour l'aider à se regarnir de la base.

Multiplication : semis, bouture de rameau, division du pied (printemps).

Tinctoriale : fleurs séchées (jaune pour les tissus).

Altitude : jusqu'à 1600 m.

Récolte des capitules floraux pour la teinture : mai à octobre [ou, en clair, pendant toute la floraison ?].

Se ressème spontanément.

Semis

Semis et multiplication

1

Semis en serre, en terrine ou en godet à 20°C de février à mars, mise en place en mai.

Ou plus simple : directement en place sur un sol bien drainé, au soleil, d'avril à mai. Laisser 15 cm entre les plants. Plusieurs pincements permettront d'obtenir une bonne ramification.

2

Semis en pleine terre, en pépinière, de mars à mai (et de septembre à octobre en climat doux). Semer au printemps, en pépinière, en maintenant le substrat humide et frais le temps de la germination. Repiquer au jardin, à 40 cm en tous sens, lorsque les risques de gelée sont écartés.

3

Semis en mars, sous abri. Repiquer en pleine terre au soleil.

Haut. Page ou article précédent. M Arabette de Californie (arabis blepharophylla)

Arabette de Californie.

EMPLACEMENT : rocaille, mur de pierre, bord de massif, jardin.

Famille des brassicacées.

Aime les rocailles, murs de pierre et similaire.

Mellifère.

Floraison de mars-avril à mai-juin.

Persistant.

Ne supporte pas l'humidité hivernale.

Hauteur : 10 à 20 cm.

Exposition : soleil.

FLORAISON
JANFEVMARSAVRMAIJUINJUILAOUTSEPTOCTNOVDEC

Haut. Page ou article précédent. M Aralie, aralia (aralia cordata)

Aralia.

Photo de Qwert1234 (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Très mellifère en été.

Comestible, mais il se peut que ce soit encore une plante qui pue la menthe ou similaire !...

EMPLACEMENT : forêt comestible, haie (caduc), jardin, jardin sauvage.

Très peu de sources.

Famille des araliacées.

Caduc.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Mellifère (très mellifère).

Floraison : blanche, parfumée, août à septembre.

Fructification : noire.

Feuillage coloré en automne...

Hauteur : 1,50 m à 2 m. Largeur : 1,50 m à 2 m.

Rusticité : –35°C...

Sol : tout sol. N'aime pas un sol humide.

Comestible : jeunes pousses cuites. En mettant des grands seaux à l'envers sur la masse racinaire, vous pouvez récolter des jeunes pousses blanchies d'avril à fin octobre. Les jeunes pousses vertes sont également comestibles mais plus prononcées en goût.

Semblerait accepter le plein vent...

Médicinale : racines (« anti-cancérogène » [semble-t-il : lutte contre la prolifération cancéreuse...])...

Haut. Page ou article précédent. Aralie, aralie dorée, aralia, aralia doré (aralia cordata "Sun King")

Aralia doré.

Photo de F. D. Richards (Flickr) (CC BY-SA 2.0)

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Probablement très mellifère aussi mais y a tellement peu de sources qu'aucune ne le dit...

Comestible, mais il se peut que ce soit encore une plante qui pue la menthe ou similaire !...

EMPLACEMENT : forêt comestible, haie (caduc), jardin, jardin sauvage.

Pas beaucoup de sources.

Famille des araliacées.

Vivace.

Caduc.

Exposition : mi-ombre.

Floraison : blanc-crème ou blanche, août à septembre.

Fructification : baies noires...

Feuillage doré lumineux ou vert-doré lumineux. C'est le soleil qui lui donnera sa couleur dorée.

Hauteur : 80 cm à 1 m. Largeur : 80 cm.

Rusticité : très rustique...

Sol : tout type, frais.

Comestible : jeunes pousses (goût citronné, consommées comme les asperges). Ce légume dont on mange les feuilles, les pousses et les racines cuites comme des scorsonères, est aussi utilisé en Chine comme substitut du ginseng.

Protéger du vent et des gelées...

Haut. Page ou article précédent. Araucaria (...) : à voir...

Deux espèces supportent nos climats (jusqu'à –15°C).

• Araucaria angustifolia, pin du Parana, arbre candélabre. Petit arbre à feuilles en écailles serrées et au port étalé. Très décoratif. Résiste mieux au froid que l'araucaria araucana et peut survivre à –15°C [contradictoire car l'araucaria araucana est indiqué à –15 à –20°C, ou plus probablement –12°C...]. Aime soleil et un sol drainant sinon la stagnation d'eau pourrait abîmer ses racines au cours des fortes gelées. Croissance moins lente rapide que l'araucaria araucana. Taille adulte de 15 m au bout de 80 ans.

• Araucaria araucana, désespoir des singes. Le plus connu. Taille adulte de 6 à 7 m en Europe (30 à 50 m dans son aire d'origine au Chili). La disposition régulière des branches et des feuilles rigides et triangulaire lui donne un aspect étonnant. Rusticité : –15 à –20°C à l'âge adulte. Il semble que ce soit plus probablement –15°C, et même –12°C dans sa jeunesse. Craint les été très secs et chauds.

Haut. Page ou article précédent. M Arbousier, arbre aux fraises (arbutus unedo)

Arbousier, arbre aux fraises.

Photo de Daniel Capilla from Málaga, España (CC BY-SA 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

A bien abriter des vents froids. A planter en plein soleil. Donc bien abrité au sud d'une haie ou ailleurs. Ou peut-être à côté de la bergerie si les houx font suffisamment barrière au vent.

EMPLACEMENT : forêt fruitière, isolé si votre climat le permet.

Ne pas confondre avec l'argousier (hippophæ rhamnoides).

L'un des trois arbres fruitiers persistants qui peuvent pousser en France (avec l'éléagnus et le néflier du Japon).

Famille des éricacées.

Persistant.

Exposition : soleil.

Bien abriter des vents froids.

Sol léger, riche (humifère), fertile, bien drainé, plutôt acide et peu calcaire, même sec en été.

Il s'acclimate facilement sous un climat continental en exposition ensoleillée et abritée.

Résiste à la sécheresse.

Aime particulièrement l'humidité de l'air.

Très décoratif.

Comestible : fruits (« arbouse », cru ou cuit, riche en vitamine C, peu de goût : confiture, sirop, liqueur, pâtisserie). Le fruit est plein de toutes petites graines qui peuvent s'avaler sans problème mais qui sont très pénibles (à mon goût) sous la dent ; je préfère en faire des jus. Eau-de-vie (fruits fermentés puis distillés).

Le fruit consommé cru en grande quantité peut provoquer de faibles coliques.

Hauteur : deux groupes de sources en gros : un groupe indiquant de 3 à 5 m, l'autre de 5 à 8 m !...

Largeur : un peu moins ou égale à la hauteur.

Plante ornementale.

Pailler au pied les 3 premières années (protection hivernale).

A besoin de douceur à l'automne et au printemps pour fructifier cor­rec­te­ment.

Rusticité : –10°C avec semble-t-il jusqu'à –12 à –17°C maximum une fois adulte.

La rusticité des arbousiers leur permet de supporter des gelées relativement importantes sans subir de dommages.

Peut se planter en bac pour être rentré par grand froid.

Dans les régions froides, un paillage est nécessaire au pied pour protéger les racines du froid.

Croissance lente.

Mellifère (attire les abeilles).

Floraison : blanche, généralement indiquée de septembre à octobre, voire jusqu'à novembre ou décembre.

Fructification : maturité des fruits au bout d'un an (rouge) : octobre à novembre, voire jusqu'à décembre.

On voit souvent des fleurs et des fruits sur le même arbre au même moment.

Commentaire pour l'Ile-de-France : Après certaines années chaudes et ensoleillées, vous pourrez consommer ses fruits. En clair, l'arbousier pourra faire des fruits arrivant à maturité quelques rares fois en Ile-de-France.

C'est un des rares arbres à porter des fruits en hiver. Rien que pour ça il est indispensable.

Fruits appréciés des oiseaux, surtout à cette période de l'année.

Très résistant aux parasites et aux maladies.

Médicinale : racine (en décoction, hypertension artérielle) ; écorce (diu­ré­tique) ; feuilles (astringentes, antiseptiques, toniques digestives) ; feuilles et racines (antiseptiques, diurétiques, anti-inflammatoires). Rhumatismes. Dépuratif. Circulation sanguine. Feuilles et écorce (en décoction, troubles digestifs et rénaux, purifier le foie, diarrhées). Fruit : diurétique, anti-inflammatoire, antirhumatismal, astringent, anti­diar­rhéique...

Feuilles riches en tanins (mais rien n'est précisé sur son éventuelle utilité).

Partie supérieure du tronc rougeâtre. Avec l'âge, l'écorce se détache par plaques, laissant apparaître un tronc lisse beige-rosé décoratif en automne et en hiver.

Aspect ornemental (tronc et écorce, mélange de fleurs blanches et de fruits rouges).

Plante souvent multicaule (plusieurs tronc).

Avec l'âge, les rameaux prennent souvent un aspect noueux, très pitto­resque.

Tronc et rameaux tortueux, écorce brun rouge très décorative.

Racine pivotante (jusqu'à plusieurs dizaines de mètres).

Bois de chauffage : excellent combustible.

Très bon charbon de bois.

Bois utilisé, bois fin : marqueterie, tabletterie, ébénisterie.

Apprécie assez peu la taille, seulement pour retirer le bois mort.

Les principales variétés

• Arbutus unedo "atlantic" : adapté aux petites espaces et à la culture en pot. Gros fruits jusqu'à 4 cm.

• Arbutus unedo "compacta" : nouvelle variété (OGM ?), 2 à 3 m de haut et de large, port trapu et compact, adapté à la culture en pot. Abondante floraison donnant une fructification très généreuse.

• Arbutus unedo "elfin king" : compact, dépasse rarement 1,50 m, abondamment florifère et fructifère. Amélioration (OGM ?) qui a la réputation d'être plus rustique [que l'espèce type je suppose].

• Arbutus unedo "rubra" : 2 à 3 m, fleurs roses ou rouges, petits fruits, compact, très résistant à la sécheresse, semble plus rustique que l'espèce type. Adapté aux petits espaces et à la culture en pot.

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux anémones (calycanthus floridus)

Arbre aux anémones.

Photo de KENPEI (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

...

Ou calycanthe, arbre Pompadour.

EMPLACEMENT : haies.

Famille des calycanthacées.

Floraison : rouge sombre, violette, mai à août.

Fleurs sensibles aux gelées printanières.

Jeunes rameaux à protéger des vents froids et des gelées.

Vivace.

Caduc.

Hauteur : 2 à 3 m (largeur : 1,50 m à 2 m).

Rusticité : –15 à –22°C.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Sol siliceux, frais, riche, profond, bien drainé et pas trop lourd, plutôt acide et pas calcaire.

Multiplication : marcottage (la plus simple).

Graines toxiques (influence sur le rythme cardiaque) pour les humains ainsi que pour les bovins et les moutons.

Croissance moyenne.

A besoin de chaleur.

Résistant aux maladies et aux parasites.

Feuillage jaune en automne.

Feuillage odorant, aromatique.

Ecorce aromatique (goût de cannelle et de camphre...). On en faisait autrefois des condiments, des produits cosmétiques et des liqueurs ; mais la préparation de ces produits demandait un dosage fin et une énorme attention car cet arbuste peut s'avérer toxique et ces utilisations furent abandonnées.

Plante drageonnante.

Arbuste de cours d'eau.

L'arbuste produit du camphre dans ses feuilles qui, froissées, peuvent servir à éloigner les insectes.

Servait, aux Indiens d'Amérique, de substitut de camphre (vertus du camphre : purifiant et assainissant : analgésique, antiseptique, tensions et douleurs musculaires, entorses, rhumatismes, piqures d'insectes, irri­ta­tions cutanées, anti-inflammatoire, rhume, toux, bronchite, circu­la­tion san­guine).

Habitat naturel : semble pousser dans les marécages...

Plante buissonnante.

Plante parfumée dégageant une odeur épicée (les sources indiquent d'innombrables odeurs différentes, de la fraise au poivre !...).

Préfère un climat chaud.

En dégageant un peu la base, il est possible de le former en petit arbre isolé.

Quelques cultivars

• Calycanthus floridus "Aphrodite" : reconnu pour ses grosses fleurs rouge lie-de-vin au fort parfum de fraise. Excellent choix pour attirer les papillons.

• Calycanthus floridus "Mrs Henry Type" : fleurs plus grandes que l'espèce type.

• Calycanthus floridus var. Glaucus "purpureus" : jeunes feuilles marron qui virent à l'orangé en automne, fleurs très sombres.

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux bonbons (callicarpa rubella) : à voir...

Feuillage rose en automne. Floraison printemps. Croissance rapide. Hauteur 1 m à 1,50 m, jusqu'à 3 m. Rusticité –12 à –14°C. Fruits roses.

Voir aussi callicarpa americana et ses dérivés...

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux bonbons "Profusion" (callicarpa bodinieri var. giraldii "Profusion")

Arbuste aux bonbons "Profusion".

Photo de onnola (Flickr) (CC BY-SA 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Ne sert à rien, à part la beauté de ses fruits violacés en fin d'automne et un feuillage plus ou moins jaune à rose en automne...

Couramment appelé callicarpa bodinieri "Profusion".

Ou arbuste à bonbons, callicarpe de Bodinier, callicarpe à fruits violets.

EMPLACEMENT : bord de forêt, isolé, devant la maison.

Famille des verbénacées.

Caduc.

Exposition : soleil, mi-ombre. Meilleure floraison donc meilleure fructification au soleil.

Sol frais, drainant, voire aussi léger, riche en humus.

S'adapte à tous sols s'ils sont frais.

Craint le calcaire.

Rusticité : –12 à –25°C, avec une grosse majorité de sources indiquant de –20 à –25°C.

Hauteur : 1 à 4 m, avec une majorité de sources indiquant 2 à 3 m. Largeur : 1 à 3 m.

Mellifère ; non mellifère...

Floraison : rose, rose pâle, juin-juillet à août.

Fructification : abondantes baies mauves ou violettes (3-4 mm), septembre-octobre à décembre.

Une pollinisation croisée avec d'autres variétés (ou avec deux arbustes identiques semble suffire) favorise la fructification.

Non comestible.

Les baies attirent les oiseaux et les écureuils. D'autres sources disent que les baies attirent peu les oiseaux...

En permaculture, cet arbuste est prometteur car sa forte production de fruits fournit, une fois combiné avec la nourriture courante de votre basse-cour, un excellent surplus pour les volailles. Elles raffoleront de ces baies atypiques. Une autre source répond à une question en disant que oui, les volailles peuvent consommer les fruits...

Récolte [des baies ?...] : septembre à octobre.

Feuillage pourpre-bronze au printemps, se colorant de jaune, rouge, rose, pourpre en automne.

Vivace.

Maladies et parasites : résistant.

Peut se cultiver en pot.

Croissance assez rapide à moyenne.

Abriter des vents très froids. Son seul véritable ennemi, c'est le vent froid trop violent.

Tailler à la fin de l'hiver, en rabattant les rameaux à 10 cm de leur point de départ (ou en coupant les 2/3 de leur longueur), permet une belle fructification bien fournie.

Haut. Page ou article précédent. M Arbre à café, chicot du Canada (gymnocladus dioicus)

Arbre à café.

Photo de Cillas (CC BY-SA 4.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Non : sans intérêt : si c'est juste pour faire du café, il y a beaucoup d'autres plantes accessibles de nos régions, ne serait-ce que le pissenlit ou la chicorée. En plus, il en faut 2 pour avoir des fruits !

Ou gymnocladus dioica.

Ou arbre à café du Kentucky, caféier du Kentucky, bonduc, gros févier, arbre au bois de cerf.

EMPLACEMENT : n'importe où mais loin de toute construction (racines traçantes).

Famille des césalpiniacées.

Arbre d’Amérique du Nord.

Mellifère.

Floraison : décorative, blanche, juin.

Les fleurs (et gousses) ne se forment que dans les régions aux étés longs et chauds.

Fructification : décorative, épaisses gousses de 15 à 25 cm de long, brunes à maturité, en octobre, qui persistent tout l'hiver.

Feuillaison tardive.

Feuillage jaune d’or en automne.

Sol : frais et léger, bien drainé, riche.

Pousse mieux dans un sol humide et riche en humus, mais donne de mauvais résultats dans les sols argileux lourds.

Accepte un sol lourd.

Résiste à de longues inondations.

Supporte une humidité occasionnelle.

Ecorce décorative.

Croissance assez lente les premières années, plus rapide ensuite.

Racines traçantes et superficielles, à éloigner de toute construction.

Comestible : les graines (dans les gousses) peuvent remplacer les grains de café. On les grille. Mais les graines crues sont toxiques.

Les graines des arbres étaient utilisées autrefois pour remplacer le café mais cela n’est pas conseillé car elles sont toxiques si elles sont consommées en grandes quantités.

Hauteur : 10 à 30 m, avec une petite majorité indiquant de 18 à 25 m. Largeur : 15 m (pour une hauteur de 18 à 20 m).

Rusticité : –15 à –37°C, avec une majorité indiquant vers –25°C.

Préfère un climat continental : hivers froids et étés chauds.

Tolère la sécheresse. Supporte la sécheresse.

Exposition : soleil, tolère la mi-ombre.

Caduc.

Bois utilisé : dur, lourd, ébénisterie, poteaux de clôture, traverses de chemins de fer, il peut durer 50 à 80 ans en terre.

Plante dioïque (fleurs mâle et femelle sur des plants différents).

Maladies et parasites : résistant.

Semis

Semis

1

Entailler les téguments des graines au couteau. Semer en pots à l’automne et laisser à l’extérieur.

2

Il faut impérativement perforer l'enveloppe de la graine, car celle-ci est imperméable et fait pourrir la graine à tout coup lorsqu'on ne le fait pas. La perforation peut n'être qu'une simple incision dans l'enveloppe faite à l'aide d'un couteau par exemple. Mettre la graine dans l’eau une douzaine d’heures et semer à une profondeur d'environ 2,5 cm dans du terreau.

Haut. Page ou article précédent. M Arbre au caramel, arbre caramel (cercidiphyllum japonicum)

Arbre au caramel.

Photo de autan (CC BY-NC-ND 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Isolé. Proche de la maison ou du jardin (parfum des feuilles mortes).

EMPLACEMENT : isolé, devant la maison (parfum des feuilles mortes).

Ou arbre pain d'épices, arbre à gâteaux, katsura.

Famille des cercidiphyllacées.

Hauteurs indiquées : 5 à 25 m. Hauteur probable dans nos régions (France, Europe de l'ouest) : 5 à 10 m, voire jusqu'à 15 m (largeur : 3 à 5 m). Mais jusqu'à 30 m dans son habitat naturel. La moitié des sources indiquent 5 à 10 m voire 15 m. L'autre moitié des sources indique 20 à 25 m (largeur : 15 m), parlent-elle de son habitat naturel ?...

Caduc.

Le feuillage dégage une odeur de caramel (ou de sucre brûlé ou de biscuit ou de pain sortant du four ou de gâteau sortant du four...) quand il tombe, et encore plus quand il est froissé ou quand il est au soleil sur l'arbre. Laisser les feuilles mortes au sol pour profiter de leur parfum.

On peut ramasser les feuilles mortes odorantes et les conserver dans un sachet à l'intérieur pour parfumer pendant plusieurs mois.

Feuillage cuivré ou rose ou brun ou bronze au printemps, et rouge ou jaune-orangé ou rose ou pourpre en automne dans un sol acide.

Jeunes feuilles sensibles aux gelées tardives (abriter des vents froids). Des gelées tardives peuvent abîmer légèrement les premières feuilles.

Exposition : mi-ombre ; supporte le soleil, mais pas trop fort.

Sol fertile (humifère, riche), frais, bien drainé, profond, un peu acide (pour favoriser ses couleurs).

N'aime pas le calcaire.

Supporte mal la sécheresse.

Accepte d'être au bord de l'eau (besoin d'un sol frais en été).

Multiplication : semis, bouturage.

Pousse très souvent en cépée (plusieurs troncs).

Vivace.

Rusticité : –20°C.

Mellifère.

Floraison : rouge, rose, mars ou avril.

Plante dioïque (fleurs mâle et femelle sur des plants différents).

Les feuilles furent utilisées pour faire des bonbons grâce à leur goût de caramel, mais on a arrêté parce qu'elles contiennent une substance pouvant se révéler cancérigène.

Croissance rapide, bien qu'une source l'indique lente...

Résistant aux maladies et aux parasites.

Bois utilisé (ébénisterie).

Système racinaire assez superficiel.

Quelques variétés

• Cercidiphyllum japonicum "Chameleon". Feuillage panaché. Hauteur environ 4 m.

• Cercidiphyllum japonicum "Pendulum". Port pleureur. Hauteur 6 m. Largeur 6 m.

• Cercidiphyllum japonicum "Rotfuchs". Jeune feuillage pourpre. Hauteur environ 4 m. Hauteur 3 m. Largeur 2 m. Idéal pour cultiver en bac. Jeunes feuilles pourpre intense.

Semis

Semis et multiplication

Semis

1

Récoltez les graines et semez-les rapidement et sous abri (comme par exemple sous un châssis).

2

Semis dès la maturité des graines, en terrine et sous châssis froid.

3

Faire tremper les graines dans l'eau tiède pendant 24 à 48 h. Effectuer 3 mois de stratification à froid [il semblerait que ce soit trempage OU stratification...]. Semer à 8 mm de profondeur dans un terreau de jardin. Le sol doit rester humide mais pas détrempé. Conserver le pot à la lumière entre 20 et 24°C. Germination en 1 à 2 mois.

4

Semer les graines dans du terreau fin, à peine recouvertes, en caissettes ou en godets. Repiquer en pot ou à l'extérieur quand les plants sont bien racinés. Semis facile.

5

Au semis, les graines doivent être à peine recouvertes d'une fine couche de sable. Les semis s'effectuent en automne, sous châssis froid, dès que les graines sont arrives à maturité.

Bouturage

1

Bouturage de tige semi-ligneuse à l'étouffée, en août.

2

Bouturage à l'étouffée de tiges herbacées en été.

Haut. Page ou article précédent. M Arbre aux cloches d'argent (halesia carolina)

Arbre aux cloches d'argent.

Photo de David J. Stang (CC BY-SA 4.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Isolé ou forêt comestible (caduc et abriter du vent froid).

EMPLACEMENT : isolé, haies, forêt comestible...

Ou halesia tetraptera.

Ou perce-neige en arbre, arbre aux cloches d'argent de Caroline, halesier, halesier de Caroline.

Famille des styracacées (5 sources) ou des styracées (3 sources)...

Hauteur : 2 à 12 m, plus souvent indiqué de 3 à 10 m, avec une moyenne encore plus souvent indiquée de 6 à 8 m.

Largeur : 2 à 12 m, avec une petite moyenne indiquant de 2 à 8 m.

L'écorce se desquame au fil des ans.

Plante buissonnante.

On peut couper les branches de la base pour ne conserver qu'un seul tronc.

Les fruits restent accrochés aux branches jusqu'à la fin de l'hiver.

Vivace.

Caduc.

Rusticité : –14 à –28°C, avec une moyenne généralement indiquée à –20°C.

Mellifère.

Floraison : blanche, avril à mai, ou mai.

Fructification : gousses vertes ailées, maturité : septembre. A maturité, elles deviennent brunes et restent longtemps sur l'arbre.

Récolte : octobre.

Belle floraison en forme de petites cloches, comme le perce-neige.

Belle écorce gris clair et fissurée avec l'âge.

Feuillage jaune vif ; jaune ; jaune-bronze en automne.

Fructification décorative.

Ecorce décorative, qui s'exfolie avec l'âge.

Magnifique arbuste à la floraison spectaculaire.

Comestible : fruits. 1 : ses fruits étoilés sont d'un goût excellent et font penser à un mélange entre le concombre et les petits pois. 2 : les fleurs fécondées conduisent à des fruits quadri-ailés qui brunissent en séchant et ce sont justement ces fruits immatures (encore verts) qui se mangent croquants dès le mois de juin ; ils sont également utilisés en marinades, en pickles et leur goût rappelle le petit pois. 3 : ce sont les fruits immatures produits en nombre qui sont consommés marinés, comme des concombres.

Exposition : mi-ombre, accepte le soleil.

A protéger du vent et surtout du vent froid.

Sol : riche en matière organique (humifère), léger (drainant), de préférence frais, et aussi neutre à acide, profond, légèrement humide.

N'aime pas un sol calcaire.

N'aime pas un sol sec.

Son système racinaire fin et étendu ne supporte pas les sols tassés ou caillouteux.

Habitat d'origine : forêts humides du sud-est des Etats-Unis.

Croissance moyenne, ou moyenne à rapide.

Racines profondes et très dures.

Autre espèce à voir

• Halesia californica "Rosea". Fleurs rosées.

• Halesia diptera, différencié par son fruit.

• Halesia monticola, aux feuilles et fleurs légèrement plus grandes.

Reproduction

Semis

1

Les graines se sèment en automne. Elles demandent une période très humide pendant 2 à 3 mois, puis très froide pendant 3 mois [ce qui fait théoriquement 5 à 6 mois au total !...]. Le mieux est de les semer dans un pot laissé aux intempéries de l’hiver [à semer au milieu de l'automne pour la pluie d'automne suivie du froid de l'hiver].

2

Stratification de 3 mois dans du sable humide à 4°C. Semis au printemps sous abri à 15°C.

Bouturage

1

Le bouturage d'été ou d'automne semble être le moyen le plus sûr pour multiplier Halesia carolina.

2

Les boutures reprennent avec un assez bon taux de réussite, boutures d’été à l’étouffée ou boutures d’automne en bois dur.

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux épaulettes (pterostyrax hispida) : à voir...

Floraison blanche, parfumée, juin à juillet. Fructification originale persistant tout l'hiver... Feuillage jaune-vert en automne. Rusticité –20°C. Hauteur 6 m. Largeur 3,50 m. Caduc. Supporte un sol argileux. Supporte le vent mais pas les vents froids et desséchants de l'hiver.

Haut. Page ou article précédent. M Arbre aux faisans, chèvrefeuille de l'Himalaya (leycesteria formosa)

Arbre aux faisans.

Photo de Wouter Hagens (CC BY-SA 3.0).

EMPLACEMENT : entre jardin et forêt comestible, haies.

Famille des caprifoliacées.

Comestible (baies).

Croissance rapide.

Mellifère.

Floraison : de juin à septembre-octobre.

Hauteur : jusqu'à 2 m.

Dans les régions aux hivers froids, à planter à l'abri des vents froids et desséchants.

Tiges creuses, comme celles des bambous.

Ses baies attirent les oiseaux et particulièrement les faisans.

Localement, son bois creux est utilisé pour fabriquer de petits instruments à vent.

Rusticité moyenne : –10°C...

Haut. Page ou article précédent. Arbre de Franklin (franklinia alatamaha) : à voir...

Floraison blanche, parfumée, fin d'été, grandes fleurs de 8 cm. Feuillage rouge-orangé en automne. Caduc. Hauteur 2 à 5 m ; 4 à 6 m. Rusticité –15°C ; –19°C. Exposition soleil. Sol drainant, profond et fertile. Craint l’humidité. Croissance lente.

Haut. Page ou article précédent. Arbre à gutta-percha (eucommia ulmoides)

Croissance rapide. Contient du latex (caoutchouc). Médicinale. Hauteur 10 à 20 m. Rusticité –28°C. Exposition soleil. Caduc. Comestible : jeunes feuilles et jeunes pousses cuites.

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux haricots bleus, arbre aux saucisses bleues (decaisnea fargesii)

Arbre aux haricots bleus.

Photo de Agnieszka Kwiecień, Nova (CC BY-SA 4.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Beaux et gros fruits bleus et comestibles. Plante facile à cultiver.

Craint le vent froid. Feuillage et jeunes rameaux sensibles aux gelées tardives, mais ça ne semble pas très méchant pour la fructification puisqu'il fleurit de mai à juillet...

EMPLACEMENT : sud forêt comestible, zone fruitière, haie...

Ou arbre aux saucisses, arbre aux cornichons.

Famille des lardizabalacées.

Floraison : verte ou jaune-verdâtre ou jaune-crème, mai à juillet.

Fructification : haricots bleus de 10 cm de long et de 2 à 3 cm d'épaisseur. Décoratifs en août. Mûrs et à récolter de septembre-octobre à novembre.

Feuillage jaune tendre ou jaune ou jaune d'or en automne.

Caduc.

Hauteur : 3 à 6 m. Largeur 3 à 6 m.

Rusticité : –15 à –20°C, voire –25°C.

Exposition : soleil, mi-ombre. Accepte le soleil en sol humide.

Comestible : pulpe des fruits (goût de pastèque et de banane).

Multiplication : semis.

Habitat naturel : pentes montagneuses en milieu semi-ouvert, ouest de la Chine et Himalaya.

Aime les « lisières de sous-bois » [vu qu'il ne déteste pas être à l'abri des grands arbres, l'expression « lisière des sous-bois Â» doit probablement pouvoir être prises dans son sens littéral, c'est-à-dire à la fois à la lisière des bois, et sous les grands arbres].

Plante cespiteuse (pousse en touffe sans envahir autour de lui).

Port en éventail comme les noisetiers.

Peut vivre sous de très grands arbres.

Plante autofertile (la plante peut se polliniser elle-même).

Sol : riche (fertile), frais à humide, drainé, voire pas trop compact et neutre à légèrement calcaire.

Accepte un sol humide si bien drainé.

Accepte le calcaire.

Eviter la sécheresse. Eviter une sécheresse prolongée.

Préfère un climat pas trop chaud.

Abriter des vents froids. Abriter des vents glacés (feuillage et jeunes rameaux sensible aux gelées tardives).

Abriter des gelées tardives.

Culture très facile.

Maladies et parasites : peu sensible.

Croissance moyenne.

Une seule autre espèce

Decaisnea insignis, aux fruits (comestibles) jaunes et enroulés.

Semis

Semis

1

En automne et à l'extérieur, semer en pot les graines soigneusement nettoyées. Après avoir subi le froid de l’hiver, elles germeront en 1 à 3 mois dès que la température sera au-dessus de 18°C, souvent vers juin.

2

Faire tremper les graines dans de l'eau à température ambiante pendant 48 heures. Semer en petits pots dans du terreau et humidifier régulièrement. La température de germination est située entre 20 et 25°C. Replanter à l'extérieur au soleil ou à mi-ombre quand les plants ont de 15 à 20 cm de hauteur.

3

Récolter les fruits bien mûrs en novembre. Enlever les graines et nettoyer la pulper qui pourrait y adhérer. Conserver les graines dans un endroit sec et frais. Au printemps et sous châssis froid, semer plusieurs graines dans des godets remplis d’un bon terreau léger. Maintenir le terreau humide. Les graines mettront plusieurs semaines pour lever. Dès la levée, conserver un plant par godet. Cultiver ces jeunes plants deux [probablement deux mois, semble-t-il, vu les deux autres notes...] avant de les installer à leur place définitive.

Haut. Page ou article précédent. M Arbre de Judée, gainier (cercis silliquastrum)

Arbre de Judée.

Photo de JLPC (CC BY-SA 3.0).

EMPLACEMENT : limite entre forêt et forêt comestible, haies hautes.

Famille des fabacées.

Fixe l'azote dans le sol.

Comestible : fleurs (gelée, beignet, salades), jeunes gousses (cuites).

Bois utilisé, très solide (tournage, ébénisterie).

Lutte contre les psylles des pommiers et des poiriers (il est couramment parasité par les psylles, ces insectes attirent leurs prédateurs qui les dévorent et qui migrent ensuite sur les pommiers et les poiriers proches pour consommer leurs psylles).

Médicinale (les Amérindiens utilisaient son écorce et ses racines pour traiter, entre autres, les nausées et les vomissements).

Hauteur : de 6 à 8 m, voire jusqu'à 10 ou 15 m...

Mellifère.

Floraison : de mars-avril à mai.

Préfère les sols calcaires.

Préfère éviter les vents forts.

Ses gousses attirent les mésanges jusqu'en hiver.

Moyennement rustique : –10 à –17°C (planter au soleil et à l'abri des vents froids).

Tend naturellement vers un aspect buissonnant.

Racine pivotante (verticale).

Croissance assez rapide les premières années.

Plante hermaphrodite (organes mâles et femelles sur la même fleur).

Récolte des graines : novembre...

Multiplication

Semis

Faire tremper les graines dans l'eau chaude à environ 60°C puis laisser tremper à température ambiante pendant 1 à 3 jours. Puis stratification à froid pendant 3 mois. Semer au printemps à 18 à 25°C, à 5 mm de profondeur, en place ou dans un bac profond car sa racine ne supporte pas l'arrachage. Conserver humide. Mettre en pleine terre quand les plants mesureront 15 à 20 cm, ou 30 à 40 cm selon les sources.

Bouturage

En août et septembre avec des rameaux semi-aoûtés d'environ 30 cm.

Haut. Page ou article précédent. M Arbre au liège de l'Amour, phellodendron (phellodendron amurense)

Arbre au liège de l'Amour.

Photo de Wendy Cutler (Flickr) (CC BY-SA 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Tous sols, mellifère, caduc.

EMPLACEMENT : isolé, haies...

Ou phellodendron, phellodendron de l'amour, arbre liège de Chine, arbre liège, arbre à liège, arbre à liège de l'amour.

Famille des rutacées.

Vivace.

Caduc.

Hauteur : 5 à 15 m, avec une moyenne généralement indiquée de 10 à 15 m.

Largeur : 12 m pour une hauteur de 9 à 12 m.

Croissance rapide.

Multiplication : semis spontané, rejets naturels, division.

Rusticité : –20°C ; –30°C.

Sol : tout sol. Très tolérant.

Tolère ou accepte la sécheresse.

Exposition : soleil, accepte la mi-ombre voire l'ombre.

Mellifère.

Floraison : verte à jaune, de peu d'intérêt, mai-juin à juillet.

Ecorce très épaisse et liégeuse (semblable à celle du chêne-liège, mais peu exploitable [industriellement ?]).

Ecorce décorative.

Feuillage aromatique (térébenthine) au froissage.

Feuillage jaune en automne.

Fructification : très grande quantité de petits fruits (baies) bleu-noir, aromatiques, persistant tout l'hiver.

Ses fruits semblent peu appréciés des oiseaux...

L'arbre à liège fournit des baies sucrées qui sont plus faibles en valeur nutritive que les fruits des chênes (par exemple), mais restent toutefois intéressantes pour la faune en cas d'absence de grands feuillus.

Plants femelles très envahissants (semis spontanés et rejets, à arracher rapidement).

Protéger les jeunes arbres le premier hiver (paillage).

Maladies et parasites : aucun.

Huile : graine (insectifuge comme le pyrèthre).

Bois utilisé : solide, imputrescible (menuiserie : rampes, palissades, contrôle de l'érosion).

Médicinale : écorce et fruit (antiseptique, analgésique, anti-inflammatoire, antispasmodique, diurétique, cholagogue, diarrhée, fièvre, lumbago, infections urinaires, blessures).

Récolte : écorce au printemps, quand l'arbre a atteint 10 ans.

Tinctoriale : écorce jaune intérieure.

Papier (jaune) : écorce jaune intérieure.

Plante dioïque (fleurs mâle et femelle sur des plants différents).

Multiplication

Multiplication

Prélever et replanter des rejets d'une cinquantaine de centimètres de haut.

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux marguerites (montanoa bipinnatifida : à voir...

Ou arbre pain d'épices. Très peu de sources. Floraison blanche en hiver au parfum de biscuit ! Exposition soleil à mi-ombre. Caduc. Hauteur 3 m. Rusticité –4°C ; –10°C mais repart de la souche paraît-il très vigoureusement après un gel plus sévère.

Haut. Page ou article précédent. M Arbre à miel, arbre aux cent-mille fleurs, arbre aux abeilles (tetradium (ou euodia ou evodia) daniellii var. "hupehensis")

Arbre à miel.

Photo de Dalgial (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Arbre très mellifère et très nectarifère. A planter prioritairement près des ruches.

Nectar ou pollen ?

Le pollen et le nectar sont deux aliments nécessaires à l'abeille et ce sont les deux seules nourritures qu'elles rapportent à la ruche.

N = nectar, récolté par les abeilles pour faire le miel (4 sur 4, et 3 sur 4 pour l'autre source).

P = pollen, récolté par les abeilles pour se nourrir. Sert aussi à féconder la partie femelle des autres fleurs (4 sur 4, et 1 sur 4 pour l'autre source).

Le miel, riche en sucres, fournit chaleur et énergie au corps de l'abeille ; tandis que le pollen, par sa forte teneur en protéines, assure aux larves qui se développent des matières azotées indispensables.

Le miel est fabriqué à partir de nectar, alors que le pollen est utilisé principalement pour les protéines et comme nourriture pour les larves.

Notes pour tetradium daniellii (ou tetradium daniellii hupehense, ou euodia danielli, ou euodia daniellii var. hupehensis, ou evodia daniellii, ou euodium danielli var. hupehensis, ou xanthoxylum daniellii) Arbre à miel, tétradium de Daniel, arbre aux mille fleurs, arbre aux abeilles, arbre aux cent-mille fleurs, Tetradium de Daniel, euodie de Corée.

EMPLACEMENT : autour du jardin, proche des ruches.

Famille des rutacées.

Médicinale (écorce et jeunes racines en baume, vertus apaisantes), sous forme d'huile en Chine...

Croissance rapide.

Croissance rapide les premières années.

Fruits de septembre à octobre-novembre attirant les oiseaux.

Hauteur : 5 à 12 m, voire jusqu'à 15 m.

Caduc.

Tous sols, drainés, frais.

Craint l'excès d'humidité en hiver.

Exposition : soleil, voire mi-ombre.

Rusticité : –15 à –28°C.

Très mellilfère (abeilles).

Arbre très mellifère et très nectarifère, et ne montrant pas de phénomène d'alternance. A planter prioritairement près des ruches.

Floraison : blanche ; blanc crème, juin à août.

Attire les papillons.

Fructification rose ; rouge puis noire, décorative.

Fruits appréciés des oiseaux.

Ses fruits peuvent être transformé en huile pour traiter les cheveux.

On extrait de ses graines une huile comestible utilisée pour la cuisson.

Planter à l'abri des vents froids.

Craint les gelées tardives sur ses jeunes pousses.

Accepte le calcaire.

Peut se reproduire par semis.

Ne pas confondre avec le sophora (sophora japonica), appelé « arbre de miel Â». Je n'ai pas su différencier leurs feuilles ni leurs fleurs, qui se ressemblent beaucoup, mais on ne peut pas se tromper en comparant les fruits : ceux des arbres à miel (tetradium daniellii) sont de grosses agglomérations de petites baies rouge sombre ; ceux des sophoras sont des groupes de gousses pendantes vert-jaunâtre resserrées entre chaque graine.

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux mouchoirs (davidia involucrata)

Arbre aux mouchoirs.

Photo de Jill Catley (Flickr) (CC BY-NC-ND 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Peu adapté pour chez moi.

Ou arbre aux pochettes, arbre aux fantômes, arbre aux colombes.

EMPLACEMENT : bord de forêt, isolé.

Famille des nyssacées.

Hauteur : 8 à 20 m, avec une moyenne généralement indiquée de 10 à 15 m. Largeur : 10 m (pour une hauteur de 10 à 15 m).

Croissance assez lente à lente.

Il a naturellement plusieurs troncs et est donc très bien adapté à la culture en cépée.

Floraison : jaune, très grandes bractées blanches de 7 à 20 cm, mai, ou mai à juin.

Ne fleurit qu'au bout de 10 à 20 ans.

Fructification : comme une petite noix de 2 à 5 cm.

Comestible : fruits (blets, sans goût).

Rusticité : –15 à –20°C, voire –23°C.

Ne supporte pas les embruns.

Assez résistant au vent.

Abriter des vents forts.

Abriter des vents froids car sensible aux gelées printanières tardives, surtout dans sa jeunesse.

Craint les gelées printanières, les vents froids d'hiver, la sécheresse d'été, le calcaire, les sols trop humides ou détrempés !

Exposition : soleil, mi-ombre.

Sol plutôt humifère (riche, fertile), frais, bien drainé, pas trop calcaire, profond, léger.

Ne craint pas un sol acide.

Ne supporte pas l'humidité stagnante, même temporairement, ni un sol sec.

Multiplication : semis (après stratification hivernale), mais peut durer plus d'un an et demi ; bouturage semi-ligneux sous serre ; marcottage aérien ; greffage.

Donne une ombre dense.

Feuillage jaune en automne, voire rouge.

Vivace.

Caduc.

Habitat naturel : bois et forêts de feuillus humides entre 1000 et 2600 m d'altitude.

Maladies et ravageurs : aucun.

Acheter un arbre dont la tête n'a pas été taillée sinon il poussera mal toute sa vie. Un davidia sans tête ne deviendra jamais le bel arbre qu'il doit être.

Quelques variétés et cultivars

• Davidia involucrata "Lady Sunshine". Floraison rapide au bout de 2 à 3 ans. Feuillage vert largement bordé de jaune crème.

• Davidia involucrata "Sonoma". Floraison rapide au bout de 2 à 3 ans. Hauteur maximum 12 m. Conditions de culture identiques à davidia involucrata.

• Davidia involucrata var. vilmoriniana. Feuillage plus pâle et sans poils. Ce serait l'espèce la plus courante vendue en France.

Semis

Semis

1

Semis (après stratification hivernale), mais peut durer plus d'un an et demi.

2

Placer le fruit entier en pot sous châssis froid ou en pleine terre. Il faut attendre le printemps de la 2e année pour qu'il germe.

3

Semis au printemps, sous abri, à environ 21°C. Au bout de trois mois, sortir les pots à l'extérieur. La germination des graines est très longue et peut durer pas loin de deux ans, car elles ont un grand cycle de dormance.

Haut. Page ou article précédent. Arbre de neige, arbre à franges (chionanthus virginicus)

Arbre de neige

Photo de Salicyna (CC BY-SA 4.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Sans intérêt. Beau, médicinal, caduc.

Ou arbre à neige.

EMPLACEMENT : isolé, devant la maison, haie moyenne...

Famille des oléacées.

Caduc.

Floraison : blanche, parfumée, mai à juin.

Fructification : bleue ou bleu foncé, août à septembre-octobre.

Fruits (baies) très appréciés des oiseaux.

Feuillage jaune à jaune d'or en automne.

Ecorce brune teintée de rouge décorative en hiver.

Hauteur en Europe : 2 à 6 m, avec une grosse moyenne indiquée à 3 m. Largeur : 3 à 4 m.

Exposition : soleil, accepte la mi-ombre.

Sol riche (humifère), drainant, frais acide à légèrement acide, humide, profond, voire aussi léger. Les sols argilo-sableux leur conviennent le mieux.

Déteste un sol calcaire.

Déteste un sol sec.

Apprécie les rives des cours d'eau.

Plante de terre de bruyère.

Un défaut important : il doit être arrosé régulièrement en été. Un paillage permettra de l'arroser moins souvent.

Rusticité : –15 à –16°C (2 sources) ; –20 à –25°C (4 sources) ; –35°C (1 source).

Croissance lente à moyenne.

Médicinale : racine et écorce (inflammations cutanées, problèmes de foie et d'inflammation de la vésicule biliaire).

Multiplication : semis (automne, stratification à froid pendant 3 mois), bouturage (tiges semi-ligneuses en été).

Arbre greffé (2 sources le précisent) ; sur frêne (1 source) ; il s'adapte dont à tous les sols, comme les frênes [en tout cas, j'ai plein de frênes chez moi, qui poussent naturellement en sol argileux]. Mais les autres sources parlent (et/ou vendent) peut-être ou sans doute des arbres non greffés, qui doivent avoir besoin d'un sol comme indiqué dans ces notes...

Semble pousser naturellement en cépée (plusieurs troncs).

Plante généralement dioïque (fleurs mâle et femelle sur des plants différents). La belle floraison de neige est faite sur les plantes mâles.

Supporte le vent.

Une autre espèce

Chionanthus retusus, arbre à franges, redresse ses panicules blanches au-dessus du feuillage. Les feuilles font de 3 à 12 cm de long sur 2 à 6 cm de large et sont moins larges, moins longues et plus luisantes que chionanthus virginicus. Hauteur 5 à 7 m, largeur 3 à 4 m. Abondante floraison blanche en mai.

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux perles (exochorda...) : à voir...

• Exochorda giraldii. Considéré comme une variété d'exochorda racemosa. Hauteur 3 m. Jeunes feuilles et pousses rouges. Floraison blanche, abondante, légèrement parfumée, avril à mai.

• Exochorda giraldii "Wilsonii" (ou Exochorda giraldii var. wilsonii ?). Fleurs grandes, port dressé. Hauteur 3 m. Jeunes feuilles et pousses rouges. Floraison blanche, légèrement parfumée, avril à mai.

• Exochorda korolkowii. Hauteur 4 à 5 m. Port bien dressé. Moins florifère que les autres espèces. Accepte un sol légèrement calcaire. Port dressé.

• Exochorda x macrantha. Hauteur 3 à 4 m. Floraison blanche, très florifère. Très vigoureux.

• Exochorda x macrantha "Niagara". Hauteur : 3 m. Floraison « Ã©blouis­sante Â» avec une myriade de fleurettes blanches. Port très compact.

• Exochorda x macrantha "The Bride". Le plus courant. Hauteur 1,50 m à 2 m. Port buissonnant, compact. Floraison abondante de fleurs blanches en partie doubles, avril. Feuillage jaune d'or en automne.

• Exochorda racemosa ou exochorda grandiflora. Le plus rustique. Hauteur 3 à 4 m Port semi-dressé ou très arqué, arrondi et touffu. Floraison abondante blanche, fin avril. Ne supporte pas le calcaire.

• Exochorda serratifolia. Hauteur 2 à 3 m. Floraison blanche, avril.

• Exochorda serratifolia "Snow White". Hauteur jusqu'à 2 m. Port arrondi. Très touffu. Floraison abondante, mai. Pousse très bien en pot.

Haut. Page ou article précédent. Arbre parasol de Chine (sterculia simplex...) : à voir...

Famille des sterculiacées. Tronc lisse et vert. Feuilles de platane. Caduc. Floraison jaune-vert. Fructification rosâtre. Rusticité –15°C.

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux perles "The Bride" (exochorda x macrantha "The Bride")

Arbre aux perles "The Bride".

Photo de Wouter Hagens (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

...

EMPLACEMENT : isolé, haies...

Famille des rosacées.

Le plus courant.

Floraison : nombreuses fleurs doubles, blanches, recouvrant entièrement l'arbuste, avril à mai, voire jusqu'à juin.

Les boutons apparaissent en avril, et forment de petites billes blanches ressemblant à des perles.

Caduc.

Hauteur : 1,50 m à 3 m, avec une moyenne généralement indiquée de 1,50 m à 2 m. Largeur : 1,50 m à 3 m, avec une moyenne généralement indiquée à 2 m.

Rusticité : –14 à –15°C (3 sources) ; –20°C (2 sources) ; –25°C ; –28°C.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Sol : tous sols drainants.

N'aime pas un sol trop calcaire.

Supporte la sécheresse.

Abriter des vents forts.

Maladies et parasites : résistant.

Port arqué aux branches retombant jusqu'au sol.

Feuillage jaune ou jaune d'or en automne.

Croissance moyenne.

Racines profondes.

Tailler après la floraison pour l'empêcher de se dégarnir de la base et pour favoriser la floraison l'année suivante, en coupant d'un tiers les branches qui ont fleuri.

Multiplication : semis, bouturage, marcottage.

Peut se cultiver en bac.

Haut. Page ou article précédent. Arbre aux perruques (cotinus coggygria) : à voir...

Rusticité –20°C.

Les variétés à feuillage pourpre ont des fleurs moins plumeuses et de couleur rose plus foncé, mais leur feuillage est plus décoratif. Et comme le feuillage dure bien plus longtemps que la floraison, j'ai choisi des arbres à feuillage pourpre.

• Cotinus coggygria "Rubrifolius". Inflorescences rose foncé. Hauteur 3 m. Largeur 5 m. Feuillage pourpre spectaculaire, puis rouge vif en automne.

• Cotinus coggygria "Royal Purple". Inflorescences en plumeaux pourpre en été. Hauteur 4 à 6 m. Largeur 3 à 5 m. Très beau feuillage pourpre foncé à liséré rose qui vire à l’orange en automne.

• L'espèce type : cotinus coggygria. Inflorescences vertes devenant fauve. Hauteur 6 m. Largeur 5 m. Feuillage vert puis bronze en automne.

• Cotinus obovatus x "Grace". Inflorescences jaunes et petites. Hauteur 6 à 8 m. Largeur 4 à 6 m. Larges feuilles bronze-pourpre magnifiques puis rouge fluo en automne.

Haut. Page ou article précédent. M Arbre aux pois, caraganier, caraganier de Sibérie, acacia jaune (caragana arborescens)

Arbre aux pois, caraganier.

Photo de Sten (CC BY-SA 3.0).

EMPLACEMENT : jardin-forêt (azote), terrains en pente à stabiliser, haie défensive.

Famille des fabacées (anciennement légumineuses).

Fixe l'azote dans le sol.

Mellifère.

Floraison : mai ou mai-juin.

Comestible : fleurs (agrémenter une salade), jeunes gousses (crues ou cuites), pois (crus ?, cuits, séchés, huile).

Supporte l'ombre.

Préfère les sols riches et frais. Supporte mal les sols humides...

Hauteur : de 2 à 5-6 m.

Médicinale (plante entière).

Teinture.

Abrite de nombreux oiseaux (dont le colibri, ce qui fait supposer qu'il n'abrite peut-être pas tant d'oiseaux que ça s'ils sont tous tropicaux !).

Accueille la biodiversité : oiseaux et insectes pollinisateurs.

Son système racinaire traçant permet d'endiguer l'érosion des sols.

Fourrage : gousses et graines (pois) pour les poules.

Croissance moyenne à rapide.

Caduc.

Supporte très bien la taille.

Epineux.

Autofertile.

Résiste aux vents violents.

Pousse en tous sols.

Accueille les papillons (qui se raréfient partout).

Se plaît en terre argileuse.

Utile en haie brise-vent... mais son feuillage est caduc, ce qui supprime tout intérêt de jouer les brise-vents contre les grands vents froids du nord en hiver !

Haut. Page ou article précédent. M Arbre au poivre, gattilier, poivre des moines (vitex agnus-castus)

Arbre au poivre, gattilier.

Photo de Sten Porse (CC BY-SA 2.5).

EMPLACEMENT : sud des haies (2 à 5 m de haut), sud de la forêt comestible.

Famille des verbénacées.

Aromatique (graines au goût de poivre).

Mellifère.

Floraison : d'août à septembre (dès juillet dans le Midi).

Planter au soleil et à l'abri des vents froids.

Insectifuge (moustiques, pucerons).

Médicinale : baies (cycle menstruel, lactation).

Baies anaphrodisiaques (calment, voire inhibent les désirs sexuels).

Hauteur : de 2 à 5 m.

Repousse les insectes.

Tolère sécheresse et vent.

On utilisait les branches, à la fois souples et résistantes, des vitex pour fabriquer des clôtures tressées.

En vannerie, ses branches souples étaient utilisées à la manière du saule.

Liens avec les rameaux.

Croissance rapide.

Caduc.

Haut. Page ou article précédent. Arbre à savon, savonnier d'Inde, noix de lavage (sapindus mukorossi)

Arbre à savon.

Photo de Dinesh Valke (Flickr) (CC BY-SA 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Probablement pas assez rustiques ; ils ne feront peut-être même pas de noix !...

EMPLACEMENT : zone des médicinales, forêt comestible, isolé, forêt, haie...

Pas beaucoup de sources.

Famille des sapindacées.

Floraison : minuscule, jaune, mai à juin-juillet.

Fructification : nombreux fruits globuleux bruns-dorés d'environ 2 cm ; au bout d'une dizaine d'années environ, contenant une graine noire. Fruits très collants de par leur teneur en saponine. A maturité, les noix sont bien dorées, brun-roux et surtout collantes.

Une fois que l'arbre à savon commence à produire des noix, il peut en fournir pendant plus de 80 ans.

Feuillage jaune-orangé en automne.

Vivace.

Caduc.

Semi-persistant (persistant ou caduc selon le climat).

Hauteur : 10 à 15 m.

Rusticité : –5°C ; –8°C ; –8°C ; –12°C.

Peut être rustique jusqu'à –12°C voire –17°C s'il est protégé en hiver pendant ses premières années...

Les jeunes plants demandent une protection hivernale jusqu’à ce que leur tronc soit bien lignifié, y compris en climat doux. Donc à cultiver en pot 1 à 3 ans selon la région [afin de pouvoir les rentrer à l'intérieur en saison froide !].

Exposition : soleil.

Sol : tout sol, surtout bien drainé ; pauvre ou riche, normal à frais mais non détrempé.

Multiplication : semis, bouturage.

Maladies et parasites : résistant.

Croissance moyenne à rapide.

En Asie, on emploie les rameaux et les fruits pilés comme poison pour pêcher les poissons dans les cours d’eau.

Graines toxiques.

Comestible : fruits (riches en une huile extractible). En Asie, les graines, non-toxiques pour l’homme en petite quantité, sont utilisées bouillies dans des desserts.

Insecticide : après utilisation pour le lavage, les coques peuvent servir à fabriquer un insecticide pour les plantes.

D'après la version française de uses.plantnet-project.org

Colorant : « noix utilisées comme colorant de la soie ».

Bois utilisé : bois d'œuvre... bois de feu, charbon de bois.

Récolte et conservation

Récolte des noix de lavage : novembre à janvier, quand elles sont noirâtres et ridées. Les sécher, les casser, les décortiquer en enlevant les graines (car seules les coques ou coquilles contiennent la saponine et sont utilisées), et les ranger dans des sacs pour les protéger de l'humidité, à conserver dans un endroit sec à l'abri de la chaleur. Les noix exposées à l’humidité ont tendance à s’assouplir et à se coller entre elles. Elles sont plus difficiles à manipuler mais restent efficaces même si elles sont collantes et collées entre elles.

La saponine

Le savonnier d'Inde produit de la saponine, qui est un savon 100 % naturel qui dégraisse, nettoie et assainit.

Les saponines remplacent uniquement l’agent lavant et adoucissant. Elles ne contiennent ni agents anti-calcaire, ni agents blanchissants, ni parfums, comme dans les lessives industrielles. La noix de lavage ne peut donc pas remplacer toutes les fonctions d’une lessive classique. [Absurdité de ce monde de fous ! Aucun besoin d'agent anti-calcaire ni d'agent blanchissant, et encore moins de parfum pour faire sa lessive ! La saponine est faite pour laver et elle lave ! C'est tout ce dont on a besoin !]

Utilisation des noix de lavage

Pour faire une lessive, il suffit de mettre les coquilles dans une pochette fermant bien et pouvant aller dans la machine.

Convient parfaitement pour tout lavage allant de 30 à 90°C.

On peut les réutiliser environ 6 fois.

On peut les utiliser 3 fois à 30 ou 40°C ; 2 fois à 60°C ; 1 fois à 90°C.

On peut aussi utiliser ce savon naturel pour laver les mains, comme shampoing, pour astiquer l’argenterie, pour toiletter les animaux et comme produit phytosanitaire.

Dosage

Le dosage dépend de l'état de saleté du linge, la taille du tambour ou encore la qualité de l’eau. Il faut donc adapter la quantité de noix à utiliser.

• Dans le lave-linge : remplir la pochette avec 5 à 10 coquilles [coquilles du fruit entier ou demi-coquilles ?], le fermer et le mettre dans le tambour de la machine à laver. Ensuite, faire tourner la machine normalement.

Le sachet contenant les noix (les coquilles) doit pouvoir circuler librement dans le linge afin de libérer la saponine au mieux. Le tambour de la machine ne doit pas être trop peu rempli ni trop surchargé. Comme pour tout lavage, il vaut mieux traiter au préalable les grandes taches avec un détachant.

• Dans le lave-vaisselle : remplir la pochette avec 4 demi-coquilles et le mettre dans le panier à couverts, ou poser directement les coquilles dans le bac à vaisselle.

Les noix de lavage étant naturelles, elles sont non polluantes et on peut récupérer l’eau savonneuse après le lavage pour arroser les plantes ou le jardin. Une fois complètement vidées de leur contenu en saponine, on peut mettre les coquilles au compost.

• Comme eau savonneuse :

On peut aussi faire bouillir les noix de lavage (coquilles) dans de l'eau pour en extraire la saponine et ensuite utiliser l'eau savonneuse [dans laquelle se retrouve la saponine] comme une lessive liquide, un nettoyant ménager, un shampoing ou du liquide vaisselle.

Efficacité

Certaines personnes utilisent les noix de lavage de longue date et ne jurent que par elles. D’autres ne sont pas du tout convaincues. Deux études et des associations de défenses des consommateurs se sont penchés sur l’efficacité des noix de lavage. Les tests ont porté sur des textiles tachés de café, jus de fruit, graisse, chocolat, maquillage, vin, ketchup, sang, sébum... lavés à 20, 30, 40 ou 60°C. Le constat est qu’utiliser des noix de lavage se révèle aussi efficace que lessiver seulement avec de l’eau [donc, en clair, les noix de lavage ne servent absolument à rien !]. Ces résultats sont à mettre en perspective avec les recommandations des fabricants qui préconisent de détacher avant lavage et d’ajouter du bicarbonate de soude pour le linge de couleur et un blanchissant pour le linge blanc.

Exemples d'utilisation

• Nettoyage des bijoux

Faire bouillir 7 à 8 moitié de noix dans 100 ml d’eau pendant 5 minutes. Laisser refroidir et presser un demi-citron dans la décoction. Tremper une vieille brosse à dent dans le mélange et brosser les bijoux : ils retrouveront leur éclat.

• Toilette des animaux de compagnie

Utiliser une décoction de noix de lavage, sans citron ni huile essentielle. Asperger l’animal avec la décoction et masser pour que la solution pénètre bien l’épiderme. Eviter les yeux. Laisser agir quelques minutes et rincer.

Eloigne les parasites et sert d’insecticide (poux, puces, tiques...). Rend le pelage doux et soyeux.

• Nettoyant universel ménager

Utiliser une décoction de noix de lavage en remplacement des produits chimiques habituels dans la cuisine et la salle de bain, pour laver la voiture, les plans de travail et les sols. Une table nettoyée avec cette décoction éloigne les mouches et les moustiques.

• Savon liquide

Une décoction de noix de lavage très concentrée donne un savon liquide qui régénère la peau. On peut en remplir un distributeur à savon liquide.

Rend la peau douce et n’agresse pas. Elle repousse les moustiques si appliquée sur la peau sans rincer.

• Produit phytosanitaire

La saponine lutte contre les organismes nuisibles des plantes. Elle est insecticide, fongicide et stimulatrice de croissance pour les plantes du jardin. Elle combat efficacement et biologiquement les organismes nuisibles (comme les pucerons) sans nuire à la plante. Humidifier ou arroser les plantes, d'intérieur comme d'extérieur, avec la décoction de noix de lavage. La saponine protège l'arbre à savon des attaques parasitaires. Elle éloigne, entre autres, les insectes, dont les moustiques.

Semis

Semis

Les sources confondent souvent fruit et graine ! Ce qui n'a pourtant rien à voir !... Aussi il vous faudra vous faire votre propre opinion sur ce qu'ont vraiment voulu dire précisément ces imbéciles ! Moi, je n'ai pas su trancher ! Je suis contraint de vous livrer leur charabia tel quel ! A moins que ce soit moi qui me trompe et que, quand ils parlent des graines, ils parlent réellement des graines contenues dans les coques...

1

Les graines peuvent germer après une stratification froide de 2 mois à 4°C simulant un hiver doux.

2

Semer les graines fraîches au chaud (21°C) au printemps dans de la terre affinée, à 2 ou 3 cm de profondeur.

3

Semer à 18 à 20°C et maintenir le semis humide.

4

De par leur coque épaisse, il conviendra de scarifier les graines avec un couteau ou du papier de verre. Laisser tremper les semences [graines, semences, comment s'y retrouver ?!...] dans de l'eau chaude de 24 à 48 heures. Les placer ensuite dans des petits pots de tourbe à 1 cm de profondeur. Après un arrosage généreux, mettre les pots sous mini-serre, à une température proche des 30°C.

La germination commencera au bout de 2 à 4 semaines. Une fois que les plants feront 20 cm de hauteur, les cultiver en pot, ou directement en pleine terre sous climat doux.

Bouturage

Le bouturage de branche est complexe et long.

Le bouturage de tiges semi-ligneuses se fait de juillet à septembre.

Haut. Page ou article précédent. M Arbre aux 7 fleurs, heptacodion de Chine (heptacodium miconioides)

Arbre aux 7 fleurs.

Photo de peganum from Henfield, England (CC BY-SA 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Isolé.

Ou heptacodium jasminoides.

EMPLACEMENT : isolé, devant la maison.

Famille des caprifoliacées.

Hauteur : 2,50 m à 5 m, avec une moyenne généralement indiquée de 3 à 4-5 m (exceptionnellement jusqu'à 6 à 8 m, principalement dans son habitat d'origine). Largeur : 2,50 m à 4 m.

Mellifère.

Floraison : blanche, parfumée, août à octobre-novembre en comptant les calices rouges décoratifs ci-dessous qui viennent après les fleurs.

Calices rose-rouge décoratifs après floraison. Une fois fanées, les fleurs laissent la place aux calices d'un rose soutenu, décoratifs jusqu'en octobre ou novembre.

Fructification multicolore ; brune [aucune autre explication. Il se peut que ces imbéciles confondent avec les calices des fleurs qui rougissent après floraison !...]...

Feuillage jaune en automne.

Chute des feuilles tardives.

Ecorce décorative toute l'année, mais surtout en hiver après la chute des feuilles : beige-orangé, elle s'exfolie en prenant de l'âge.

Exposition : soleil (préférable), accepte la mi-ombre.

Sol indifférent.

Sol plutôt argileux ou sablonneux (1 source).

Sol frais, bien drainé, voire aussi fertile, humifère, léger, acide ou calcaire.

Aime peu le calcaire.

Vivace.

Rusticité : –20 à –25°C.

Multiplication : boutures de bois vert au printemps ou de bois mi-mûr en été. Semis (semer les graines immédiatement).

Croissance moyenne à rapide, voire très rapide.

Plante multicaule (plusieurs troncs).

Suppporte la sécheresse.

Caduc.

Attire les papillons.

Attire les oiseaux.

Supporte le vent et les embruns.

Supporte la taille, même sévère.

Une taille sévère est facultative mais permet d'obtenir un arbuste compact, portant de grandes grappes de fleurs et de mettre la structure de ses branches [et de ?] son écorce décorative en valeur.

Maladies et parasites : résistant.

Autre variété

Heptacodium miconioides "Tianshan", plus ramifié et plus compact.

Haut. Page ou article précédent. Argousier (hippophæ rhamnoides)

Argousier.

Argousier.

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Zone des médicinales, haie fruitière (2 à 4 m en moyenne), haie défensive (caduc)...

Ou saule épineux, argousier faux-nerprun, olivier de Sibérie, ananas de Sibérie, bourdaine marine, griset ou grisset, épine luisante.

EMPLACEMENT : zone des médicinales, haie fruitière, haie défensive.

Famille des éléagnacées.

Ne pas confondre avec l'arbousier (arbutus unedo).

Hauteur : 1 à 7 m, avec une moyenne généralement indiquée de 2 à 3-4 m.

Habitat naturel : zones montagneuses, dunes littorales, sols instables et dépôts alluvionnaires le long des rives des cours d'eau et de la mer.

Très épineux.

Haie défensive.

Mellifère.

Floraison : jaunâtre ou verdâtre, mars-avril à mai.

Fructification : septembre...

Plante dioïque (fleurs mâle et femelle sur des plants différents) : l'idéal est 1 mâle pour 5 à 6 femelles, espacés entre eux de 1,50 m, le minimum est 1 mâle pour 1 femelle ; 1 mâle pour 10 femelles à 50 m maximum pour une pollinisation efficace.

On peut déterminer le sexe sur les jeunes plantules : les mâles ont les bourgeons latéraux plus développés que les femelles. Plante décorative tout l'hiver grâce à ses fruits.

Comestible : fruit (argouse, très riche en vitamine C (20 à 30 fois plus qu'une orange) et en bêta-carotène ; acidulé ou même acide et astringent ; cru, confiture, compote, jus, pâte de fruits, barres de céréales, bonbons, pâtisseries ; servent de condiment dans les pays nordiques).

Récolte des baies : août à septembre, ou d'octobre-novembre à février... A récolter avec précaution car elles éclatent sous la pression.

Les baies se cueillent sur les rameaux épineux. Il existe une technique pour ne pas se blesser. Il faut couper les branches avec les fruits, puis mettre le tout au congélateur. Au bout de quelques heures, on frappe les branches congelées pour faire tomber les baies sans se piquer [on peut essayer d'attendre l'hiver et le premier gel et couper et frapper les branches à ce moment-là]. Ainsi, la taille s'effectue en même temps que la récolte. Les fruits apparaissant sur les rameaux de deux ans, pour assurer une récolte annuelle, mieux vaut prévoir deux pieds femelles ou autofertiles (ou un nombre pair) et récolter en alternance sur l'un et sur l'autre.

Ne craint pas l'humidité.

Ne craint pas la sécheresse. Supporte mal la sécheresse...

Ne craint pas les embruns.

Planter à distance des constructions.

Sol de gravier, sablonneux, assez pauvre, neutre à calcaire.

Accepte un sol pauvre, sableux, caillouteux.

Accepte un sol argileux.

Accepte un sol acide.

Aime le vent !

Ne tolère pas l'ombre.

Fixe l'azote dans le sol.

Exposition : soleil.

Rusticité : jusqu'à –30°C, voire –40°C.

N'est sujet à aucun parasite ni aucune maladie.

Supporte très bien la pollution.

Médicinale : prévention des états grippaux, tonifiant, anti-oxydant, stimule les défenses immunitaires, accélère la convalescence ; brûlures et blessures cutanées, affections de la peau et des muqueuses et des yeux, cicatrisation, fatigue, troubles cardio-vasculaires, règles douloureuses, inflammations des bronches, irritations de la peau (psoriasis, eczéma...), troubles gastro-intestinaux... Aucune précaution d'emploi, aucune contre-indication.

Vivace.

Caduc.

Altitude : jusqu'à 2000 m.

Stabilise les sols soumis à l'érosion.

Huile : graines (pressées à froid) et pulpe des baies, bonne pour la peau.

Cosmétique : baies (savon, huile de soin, lait corporel, crème pour les mains, crème solaire...).

Réseau racinaire traçant (horizontal). Lutte donc efficacement contre l'érosion et l'effritement des sols.

Fixe les talus grâce à ses racines traçantes.

Drageonnant.

Ses racines traçantes produisent de nombreux rejets, formant de larges fourrés.

Abrite et nourrit les oiseaux en hiver.

Croissance rapide.

Semble avoir besoin d'arrosage en été pour fructifier correctement.

Fourrage : feuillage.

Des cultivars

Il reste à vérifier si ce ne sont pas des OGM...

Variétés femelles

• Hippophæ rhamnoides "ARGALP 700". Argousier à forte teneur en vitamine C : 700 mg pour 100 g.

• Hippophæ rhamnoides "Ascola" est une nouvelle sélection d'argousier femelle vitaminé. Petits fruits orange très riche en vitamine et se récoltent pendant tout l'automne. 2 à 3 m.

• Hippophæ rhamnoides "Frugana". Argousier femelle précoce. Emet peu de drageons. Fructification dès mi-août. 2 à 3 m.

• Hippophæ rhamnoides "Gastinia moldovia".

• Hippophæ rhamnoides "Hergo". Argousier femelle. 2 à 3 m.

• Hippophæ rhamnoides "Indian-Summer". Une sélection canadienne récente (1996), résistante au froid ainsi qu'à la sécheresse. Très riche en vitamine C : 165 mg pour 100 g de fruits.

• Hippophæ rhamnoides "Inermis", très peu épineux. Taille inférieure au type.

• Hippophæ rhamnoides "Julia". Pollinisé par "Roméo" ou "Pollmix". 2 à 3 m.

• Hippophæ rhamnoides "Leikora", fruits assez gros, de fin août à début septembre. Buisson vigoureux. Peu traçant, port érigé, adapté aux zones côtières, battues par les embruns. Fécondée par "Pollmix". Très productif. 2 à 3 m.

• Hippophæ rhamnoides "Moldovia femelle".

• Hippophæ rhamnoides "Novostj Altaja". Peu épineux, productif. Les fruits sont moins acides que ceux du type. Une sélection résistante aux froids prolongés.

• Hippophæ rhamnoides "Otradnaya". Une variété hâtive, vigoureuse, résistante au froid.

• Hippophæ rhamnoides "Prevoshodnaya". Une sélection russe, aux fruits de meilleure qualité que ceux du type.

• Hippophæ rhamnoides "Rockorange", très productif.

• Hippophæ rhamnoides "Sirola", port colonnaire, adapté aux petits jardins. Ses baies moyennes et précoces se récoltent à la mi-août.

Variétés mâles.

• Hippophæ rhamnoides "Arborescent masculi". Jusqu'à 8 m de haut.

• Hippophæ rhamnoides "Moldovia mâle".

• Hippophæ rhamnoides "Pollmix". Fréquemment utilisé comme pollinisateur dans les vergers d'argousiers. Pollinisateur de nombreuses variétés : 'Leikora', 'Askola', 'Frugana', 'Hergo'. Longue floraison de petites fleurs jaune-brun. 2 à 3 m.

• Hippophæ rhamnoides "Sprite". Une sélection aux dimensions réduites, et au feuillage plus argenté que celui de l'espèce type. Fréquemment utilisé comme pollinisateur.

Variété autofertile.

• Hippophæ rhamnoides "Friesdorfer Orange". Excellent argousier autofertile. Peu épineux. Baies pratiquement sans noyau. 2 à 3 m.

• Hippophæ rhamnoides "Sandora".

• Hippophæ rhamnoides "Solo" (ou "Solo FO" ?)... 2 à 3 m.

Semis

Semis

Semez les graines dans une mini-serre ou en godet avec du terreau à semis. Enfoncez les graines à 5 mm de profondeur. Arrosez et gardez humide sans détremper. Les premières plantules apparaissent après 4 semaines environ. Repiquez dans des contenants plus grands lorsque les plants sont assez robustes, puis replantez en place au jardin au bout de quelques semaines.

Tremper les graines dans de l'eau à température ambiante pendant 24 h, semer en pots dans du terreau à 5 mm de profondeur, arroser régulièrement. La germination se produit aux alentours de la 4ème semaine. Replanter à l'extérieur quand les plants ont une quinzaine de centimètres de haut.

Stratification à froid pendant 3 mois. Semis en mars à partir de 4°C [pas en dessous de +4°C ?]. Conserver humide et à la lumière. Germination en quelques semaines.

Bouturage

Serait à faire fin mai avec des tiges semi-ligneuses...

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Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Cette plante n'est pas belle et est trop exotique pour chez moi.

Vu les hauteurs différentes et les photos, il semble que certaines sources indiquent la hauteur de la spathe, d'autres la hauteur de la tige feuillée...

Spathe : (nom féminin) grande membrane ressemblant à une feuille qui se dresse à côté de l'épi floral, comme chez les arums, comme une main verticale derrière une bougie.

• Arisæma amurense. Spathe dressée verte ou brune, rayée de blanc. Floraison juin. Hauteur 30 à 40 cm.

• Arisæma candidissimum. Spathe bien droite très blanche rayée de vert-olive et de rose. Floraison juin. Parfumée. Floraison estivale. Hauteur 25 à 40 cm ; 50 cm (largeur 30 cm).

• Arisæma ciliatum var. liubanense, arisème cilié. Spathe brune et blanche. Floraison juin à juillet. Exposition mi-ombre. Rusticité –16°C. Hauteur 80 cm.

• Arisæma consanguineum. Spathe vert pâle rayée de pourpre. Baies rouges. Hauteur jusqu'à 1 m (largeur 30 cm).

• Arisæma concinnum. Spathe très belle marron-mauve striée et tachée de vert. Floraison mai à juin. Feuilles vertes disposées comme des parasols. Soleil, mi-ombre. Hauteur 80 cm (largeur 60 cm). Rusticité –15°C ; –18 à –20°C.

• Arisæma costatum. Spathe pourpre foncé striée de blanc et se prolongeant par une fine pointe pourpre-noir. Floraison juin. Mi-ombre, ombre. Hauteur 90 cm (largeur 90 cm). Rusticité –15°C.

• Arisæma dracontium. Spathe vert chartreuse. Feuille découpée, en forme de parasol. Floraison mai à juin. Hauteur 40 cm à 1 m.

• Arisæma elephas. Spathe de grande taille (12 cm) violet sombre ou pourpre foncé, rayée de blanc à leur base, qui se recourbent jusqu'à toucher le sol. Floraison mai à juin. Grandes feuilles jusqu'à 15 cm. Moyennement rustique... Hauteur 30 à 50 cm.

• Arisæma exapendiculatum. Spathe vert pâle rayé de marron. Floraison mai à juin. Mi-ombre. Hauteur 1,20 m.

• Arisæma fargesii. Spathe marron foncé striée de blanc, s'élargissant spectaculairement. Belle inflorescence [spathe ?] pourpre striée de blanc. Floraison tardive juin à juillet. Grandes feuilles jusqu'à 50 cm. Mi-ombre, ombre. Hauteur 50 cm (largeur 40 cm). Rusticité –15°C.

• Arisæma flavum. Spathe petite en forme de coupe, rayée vert foncé et vert clair avec un capuchon jaune vif. Soleil, mi-ombre. Hauteur 40 à 50 cm (largeur 40 à 50 cm) ; 70 cm. Rusticité –15 à –16°C.

• Arisæma galeatum. Spathe vert foncé rayée de vert clair ou de blanc, tournée vers le bas. Floraison avril à mai. Spectaculaire feuillage trifolié. Mi-ombre. Hauteur 50 cm (largeur 40 cm) ; 1,40 m ; 1,40 m. Rusticité –15°C.

• Arisæma griffithii. Spathe verte veinée de pourpre évoquant un cobra ; spathe impressionnant violet sombre rayé de blanc. Grosses feuilles veinées de pourpre. Hauteur 60 cm. Rusticité –15°C.

• Arisæma heterophyllum. Spathe verte. Floraison mai à juin. Grandes feuilles faite de nombreuses et étroites folioles. Mi-ombre. Hauteur 60 à 80 cm ; 1 m (largeur 30 cm). Rusticité –20°C.

• Arisæma intermedium. Spathe verte veinée de lignes claires avec une longue langue. Beau feuillage vert foncé. Rusticité –15°C.

• Arisæma japonicum. Inflorescence [spathe ?] pourpre à vertes, striées de blanc. Hauteur environ 30 à 40 cm.

• Arisæma jacquemontii. Spathe étroite vert pâle rayée de blanc avec une pointe allongée et enroulée. Jolies feuilles palmées. Floraison été... Hauteur 70 à 80 cm. Soleil, mi-ombre. Rusticité —15 à –16°C.

• Arisæma kishidæ. Inflorescence [spathe ?] brun-marron striée de blanc. Feuilles souvent marbrées de gris au centre. Floraison début du printemps... Hauteur 30 à 50 cm.

• Arisæma kiushianum. Inflorescence [spathe ?] striée marron et jaunâtre. Très belle floraison au niveau du sol. Mi-ombre. Hauteur 30 à 40 cm. Rusticité –16°C.

• Arisæma nepenthoides. Très belle spathe striée de brun violet et de crème avec capuchon évasé sur les côtés. Floraison mai à juin. Feuille solitaire de 1 m [de haut ?]. Mi-ombre. Hauteur 80 cm (largeur 60 cm). Mi-ombre. Rusticité –15 à –16°C.

• Arisæma propinquum. Spathe recourbée violet profond rayé de blanc. Belle floraison mai à juin. Feuilles à grosses veines rougeâtres. Hauteur 30 à 50 cm ; 40 à 50 cm. Situation « ombragée Â» [mi-ombre ou ombre ?]. Rusticité –15°C ; —16°C.

• Arisæma ringens. Spathe fortement recourbée en haut, soit toute verte soit verte et marron. Mi-ombre, ombre.

• Arisæma sikokianum. Spathe dressée, très longue, chocolat à l'extérieur et vert veiné de blanc à l'intérieur, qui s'ouvre largement sur un spadice blanc et très large. Floraison mai à juin. Feuillage vert bronze. Hauteur 30 à 60 cm ; 50 cm.

• Arisæma speciosum. Spathe très allongée rouge sang strié de blanc. Soleil, mi-ombre ; mi-ombre. Hauteur 50 cm (largeur 60 cm). Rusticité —12°C ; –17°C. Feuilles aux pétioles fortement marbrés. Attention : sur willemsefrance.fr, la plante est cultivée en Thaïlande et est importée en France à votre demande, alors ne les commandez surtout pas chez eux : abstenez-vous de faire traverser la moitié de la planète à une simple plante !

• Arisæma speciosum var. magnificum. Grande spathe violet profond rayé de blanc. Grande tige mouchetée bronze et rouge. Mi-ombre. Hauteur 70 à 90 cm. Rusticité –15 à –16°C.

• Arisæma ternatipartitum. Inflorescence [spathe ?] pourpre à base blanche. Floraison avril à mai ; mai à juin. Hauteur 20 cm ; 30 à 40 cm. Mi-ombre, ombre. S'étend rapidement par ses stolons souterrains.

• Arisæma tortuosum. Grande inflorescence [spathe ?] verte. Ses feuilles vertes s'ouvrent et révèlent une très longue langue. Floraison juin. Mi-ombre. Hauteur 1 à 2 m. Rusticité –20°C.

• Arisæma tortuosum var. helleborifolium. Spathe vert pâle. Tige mouchetée. Hauteur plus de 1,50 m. Mi-ombre. Rusticité –15 à –16°C.

• Arisæma utile. Spathe violet foncé veiné de blanc, mai à juin. Grand feuillage vert bleuté. Mi-ombre. Rusticité –15 à –16°C. Hauteur 50 cm (largeur 30 cm).

Haut. Page ou article précédent. Aristoloche siphon (aristolochia durior) : à voir...

Source québécoise. Plante grimpante ligneuse, rusticité : zone 4..., grosses feuilles spectaculaires en forme de cœur de mai à juin, croissance rapide, exposition soleil ou mi-ombre, abriter du vent, maladies et parasites : non, bouturage difficle, semis facile (graines conservées dans l’eau chaude (Thermos) pendant 2 jours, semer à la surface sans recouvrir les graines, conserver à humidité constante et à 20°C).

Haut. Page ou article précédent. Armoise (artemisia vulgaris)

Armoise.

Photo de Christian Fischer (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Quelques plants sauvages à l'est agrandissement pour l'instant. Pas réussi à récolter des graines...

Ou armoise citronnelle, herbe aux cent goûts, herbe de feu, herbe royale, herbe de la saint-Jean, couronne de saint-Jean, tabac de saint-Pierre, artémise, remise.

EMPLACEMENT : jardin, zone des médicinales.

Famille des astéracées.

Médicinale : feuilles et tiges fleuries, racine (fortifiant, stimulant digestif, antispasmodique, anti-inflammatoire, diurétique, antifongique, anti­bac­té­rien, problèmes digestifs, rhumatismes, menstruation et méno­pause, tonique, vermifuge, cholagogue, emménagogue, fébrifuge, anti­spas­mo­dique, tonique, fébrifuge, digestion, règles douloureuses. Toxique et abortive à forte dose). Principalement troubles gynécologiques et digestifs. Fleur : antispasmodique, digestive, stimule la vésicule biliaire, emménagogue, cholagogue, digestive. Récolte du printemps au début de la floraison en juillet. A consommer en tisane. Peut être abortive.

Floraison : jaune ou brune, juillet à septembre voire octobre.

Vivace.

Tige rouge et feuillage très découpé.

Comestible (surtout aromatique) : feuilles ou jeunes pousses... (goût amer, éventuellement goût d'artichaut, arôme épicé). Jeunes tiges (goût d'artichaut). Fleurs (beignet, ajoutées aux salades). Jeunes pousses (ajoutées aux salades, cuites). Récolte : jeunes pousses : mars à avril. Graines [se mangent-elles aussi ? Dans ce cas, il faut le dire !...] : juin à juillet.

Ses jeunes pousses sont tendres et sucrées [elles semblent au contraire amères !...] et peuvent être utilisées dans des salades ou dans des apéritifs.

Facilite la digestion de plats gras. Convient particulièrement pour aromatiser des sauces mijotées.

Sol drainé, léger, sec, riche en azote.

Exposition : soleil.

Rusticité : –15 à –23°C.

Caduc.

Hauteur : 40-50 cm à 1,50 m (largeur : 80 cm).

Résiste à la sécheresse.

Peut être envahissante dans certains terrains [si elle se plaît là où elle est (voir "Habitat naturel" 4 paragraphes plus bas)].

Utilisée autrefois séchée en substitution du tabac.

On peut la mettre en sachets dans les armoires pour éloigner les mites.

Multiplication : semis.

Habitat naturel : lieux incultes, bords de chemins, remblais, décombres, terrains vagues, sols riches en azote.

Altitude : 0 à 1600 m.

Jardin : purin d'armoise efficace contre les insectes, les rongeurs, les escargots et les limaces.

Tinctoriale : jaune.

Confusion possible [je n'ai pas vérifié] avec d'autres artemisia, également consommées, dont artemisia verlotorum, artemisia genipi, artemisia campestris.

Haut. Page ou article précédent. Armoise arborescente (artemisia arborescens) : à voir...

Persistant. Feuillage argenté. Aromatique. Floraison jaune, été et automne. Hauteur 1 m, largeur 1,50 m. Exposition soleil. Rusticité –10°C.

Haut. Page ou article précédent. M Arnica des montagnes (arnica montana)

Arnica des montagnes.

Photo de Bernd Haynold (CC BY-SA 2.5).

EMPLACEMENT : jardin.

Famille des astéracées.

Médicinale (usage externe).

Mellifère.

Floraison : de mai-juin à août-septembre.

Une source l'indique comme tinctoriale...

A besoin d'un sol acide et pauvre. Ne supporte pas le calcaire.

Hauteur : de 20 à 60 cm.

Autrefois, on fumait son feuillage aromatique.

Très toxique.

A toujours l'air un peu fanée.

Haut. Page ou article précédent. Aronia (aronia...) : à voir...

2-3 m, mellifères, autofertiles, baies comestibles...

• Aronia arbutifolia, aronie rouge, aronie à feuilles d’arbousier. Hauteur 2 à 4 m, jusqu’à 6 m. Feuillage orange à rouge en automne. Floraison blanche à rose pâle, avril à mai. Fructification rouge, sucrée, 4 à 7 mm de diamètre, septembre à octobre. Rusticité –35°C. Invasif en France.

• Aronia arbutifolia "Brilliant". Floraison comme l'espèce type. Fructification comme l'espèce type, et tinctoriale. Rusticité –35°C. Le plus vendu. [Mais alors qu'est-ce qu'il a de différent ?]

• Aronia x prunifolia "Nero". Hauteur 2 m, largeur 2 m. Feuillage pourpre en automne. Floraison mars à avril. Fructification : gros fruits noirs luisants, septembre à octobre, restant longtemps sur l'arbre. Rusticité –37°C.

• Aronia x prunifolia "Viking". Hauteur 2 m, largeur 2 m. Feuillage rouge pourpre en automne. Floraison mai. Gros fruits noirs.

Haut. Page ou article précédent. M Aronia, aronie noire (aronia melanocarpa)

Aronia melanocarpa.

Photo de BotBln (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Pourquoi pas dans une haie de fruitiers moyens, avec argousiers, etc...

Pourquoi pas entre des plus grands comme noisetiers, sureaux noirs...

EMPLACEMENT : début forêt comestible, bord de jardin, haies.

Famille des rosacées.

Comestible : baies (cuites en confiture, jus de fruits, sirop, mais aussi pré­pa­rées en vin ou en liqueur, sèches, riches en vitamine C et en anti­oxy­dants).

Médicinale (baies).

Caduc.

Feuillage rouge en automne, surtout au soleil.

Mellifère.

Floraison : avril.

Rusticité : environ –28°C.

Drageonnant.

Attire les oiseaux (baies).

Hauteur : 1,50 m à 3 m.

Peut devenir plus large que haut.

Racines superficielles.

Plante autofertile (fleurs mâles et femelles sur le même plant).

Tinctoriale (baies, semble-t-il plutôt l'aronie rouge, aronia arbustifolia...) : en Espagne, on teint des vestes d'uniforme avec cette teinture. Le jus est utilisé pour colorer les yaourts.

Croissance : semble plutôt rapide...

Teneur élevée en pectine, qui permet à la confiture de s'épaissir à la cuisson.

Les auteurs d'un livre sur l'aronia recommandent les variétés aronia prunifolia "Nero" et aronia melanocarpa "viking", mettant en avant leur « assez bon rendement Â».

Haut. Page ou article précédent. Arum, calla (zantedeschia æthiopica) [parce qu'il y en a chez moi depuis mon arrivée]

Arum ou calla.

Photo de Manfred Heyde (CC BY-SA 4.0).

EMPLACEMENT : aucun intérêt, devant la maison (pour les fleurs), au bord d'une mare.

Famille des aracées.

Floraison : de juin à juillet, de juillet à octobre...

Assez rustique : –10°C. Peu rustique : protéger le pied à partir de –3°C...

Hauteur : de 50 cm à 1 m.

L'arum pousse très bien au bord d'une pièce d'eau, ce qui révèle ses grands besoins en eau.

Plante rhizomateuse.

Toxique.

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Couvre-sol de sous-bois persistant et médicinal.

Haut. Page ou article précédent. Asclépiade, herbe aux perruches, herbe à la ouate (asclepias syriaca) : A FAIRE

La plus connue pour ses fruits qui ressemblent à des perrruches. Peut devenir envahissante grâce ou à cause de ses racines deageonnantes ou ses semis spontanés. Floraison blanc rosé parfumée mai à juin. Fructification épineuse en automne. Comestible cuite (jeunes pousses, rhizomes). Hauteur 1,50 m. Touffe dressée. Racines charnues traçantes. Rusticité –30°C.

D'autres espèces à voir

• Asclepias fascicularis, asclépiade à feuilles fines : floraison rose tendre parfumée août à début septembre. Rusticité –15°C. Caduc.

• Asclepias incarnata : floraison rose vif à étamines blanches parfumée (vanille) juin à août. Caduc. Hauteur 70 à 80 cm. Vivace. Très touffue. Rusticité –15°C ; –25°C. Sol humide. Exposition soleil. Sol riche, léger, drainé.

• Asclepias incarnata "Ice Ballet" : floraison blanche parfumée (vanille) juillet à août. Sol riche et frais. Drageonnante. Hauteur 1 m, largeur 50 cm. Caduc. Rusticité –22°C.

• Peut-être asclepias incarnata "Milkmaid"... : floraison blanche.

• Peut-être asclepias incarnata "Soulmate"... : floraison rose vif parfumée (vanille). Enormes gousses.

• asclepias physocarpa, arbre à ballon : follicules (semblent être ses fruits en forme de perruche, tout simplement !...) gonflés. Floraison blanche.

• Asclepias tuberosa, asclépiade tubéreuse : mellifère (nectar). Floraison orange et jaune juillet à septembre. Hauteur 60 cm. Racine tubéreuse. Moyennememnt rustique (–6°C) en sol très bien drainé... Latex toxique par ingestion. Médicinale.

• Peut-être asclepias tuberosa "Gay Butterflies"... : floraison jaune, orange, rose.

• Asclepias sullivantii : hauteur jusqu'à 1,20 m. Floraison rose. « Très résistante au froid Â»...

• Asclepias verticillata : hauteur jusqu'à 50 cm. Floraison blanc-vert. Comestible (boutons floraux, gousses immatures). Médicinale chez les Amérindiens.

Haut. Page ou article précédent. Asiminier (asimina triloba)

Asiminier.

Photo de solylunafamilia (Flickr) (CC BY 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Forêt comestible.

Pourquoi pas dans une haie de fruitiers moyens, avec argousiers, etc...

Pourquoi pas entre des plus grands comme noisetiers, sureaux noirs...

Bien en isolé pour son port ornemental (il en faut au moins 2 pour une bonne fructification).

Ou asiminier trilobé, asiminier de Virginie, paw-paw, arbre à banane.

EMPLACEMENT : forêt comestible, isolés.

Famille des annonacées.

Hauteur : 3 à 15 m, avec une moyenne généralement indiquée de 5 m à 8-10 m.

Largeur : 2 à 3 m pour une hauteur de 3-5 m à 8-10 m.

Les racines peuvent former des rejets.

Jeunes rameaux pubescents.

Caduc (feuillage tardif en mai).

Feuillage tardif (mai) et ornemental : doré en automne.

Floraison : rouge lie-de-vin, pourpre, brune, fin mars à mai, sur les rameaux de l'année précédente. Une source dit de juin à août...

Floraison fin avril en Bretagne, donc probablement en mai chez moi.

Fleurs à odeur de charogne (de très près) qui attire les mouches et les coléoptères, permettant la fécondation. La présence de fumier à côté de l'arbre est donc très favorable !

Fructification : il faut au moins deux arbres pour une pollinisation correcte et pour une fructification abondante.

Il est préférable de planter plusieurs asiminiers d'origines différentes pour une importante production.

Comestible : fruits (asimines), fin d'été, automne, bon goût entre banane et mangue (chair crémeuse ; crue, jus, compote, sorbet, crème glacée, pâtisseries). Peau et graines non consommables).

Fruit très riche en oligo-éléments (calcium, fer, magnésium, phosphore, soufre) et en protéines.

Récolte : août-septembre à octobre. Il est temps de les cueillir quand ils sont moins fermes et qu'ils viennent tout seul dans la main. Il vaut mieux les cueillir juste avant qu'ils ne tombent car ils sont très fragiles. La peau ne doit pas devenir brune sinon le fruit n'est plus bon.

Habitat naturel : forêts, bord des rivières.

Sol profond, riche et drainé, toujours frais (qui ne sèche pas).

Déteste un sol caillouteux.

Craint le calcaire.

Semblerait accepter un sol argileux...

Besoins en eau importants...

Exposition : soleil (mi-ombre en région chaude).

Peut se cultiver en pot [il semble plutôt difficilement cultivable en pot à cause de sa racine pivotante profonde...].

Racines fragiles. A manipuler avec précautions au repiquage.

A besoin de froid.

N'aime pas les vents desséchants.

Peu ou pas sensible aux maladies et aux parasites.

Multiplication : semis (facile mais n'apporte aucune garantie sur la qualité des futurs fruits).

Rusticité : pour une fois les source sont toutes d'accord : soit –20°C, soit –25°C (les parties aériennes peuvent être atteintes dès 0°C).

Croissance très lente les 2-3 premières années pour installer sa racine pivot. Croissance lente les premières années puis rapide au bout de 3-4 ans.

Plante anti-insectes : moustiques, pucerons, mouches, doryphores... La graine a des propriétés insecticides et pesticides.

Anti-poux : graines séchées et réduites en poudre.

Peut être taillé pour favoriser les branches latérales. Facile à palisser. Culture en gobelet possible (arbre taillé pour réduire sa hauteur et faciliter la récolte des fruits).

Caduc.

Système racinaire puissant pivotant.

A cause de sa racine profonde, son emplacement sera définitif.

Bois classé comme semi-précieux.

A besoin d'une longue saison de croissance, d'un automne clément et d'un hiver froid pas trop long.

Supporte mal les étés trop chauds et secs.

Aime l'ombre durant ses premières année.

Médicinale : feuilles (diurétiques), appliquées extérieurement (ulcères, furoncles, abcès). Fruit (laxatif).

L'asiminier possède aussi des vertus anti-cancérigènes actuellement étu­diées par plusieurs laboratoires.

L'arbre attire fortement les gastéropodes, qui peuvent détruire les plantules et même les jeunes plants en un rien de temps.

Ecorce interne : fibre utilisée pour fabriquer une corde solide.

Colorant : jaune (chair du fruit mûr).

Quelques variétés

Aux USA, son habitat d'origine, on trouve de nombreux cultivars mais, en Europe, ils sont encore peu connus. Certaines des variétés décrites sont en fait presque introuvables.

De nombreux cultivars offrent des arbres autofertiles ou des fruits avec des graines plus petites et moins nombreuses.

Pour l'instant, ces notes sont brutes de copié-collé. Je n'ai encore ni rassemblé les notes sur le même cultivar, ni corrigé l'orthographe.

• Asimina triloba "Adam's Secret". Origine Pennsylvanie. Fruits grands, peu de graines, la peau reste verte même à maturité.

• Asimina triloba "Al Horn". Variété tardive originale car produisant des asimines à chair blanche (saveur plus douce que les variétés à chair jaune) pouvant offrir certaines années un arrière goût de noix de coco très agréable. Fruits de calibre moyen à petit. Variété non commerciale, à réserver aux particuliers car moyennement productive.

•

• Asimina triloba "Belle". Variété aux très gros fruits (jusqu’à 450 g) et au goût excellent.

• Asimina triloba "Belle". Gros fruit (250g-500g). Récolte septembre.

• Asimina triloba "Belle". Arbre trouvé au bord d’une rivière, sélectionné par Carol Friedman pour la taille et la qualité de ses fruits (pouvant aller jusqu’à 450g).

• Asimina triloba "belle". Gros fruits pouvant peser jusqu’à 450g. Excellente qualité gustative.

• Asimina triloba "Belle". gros fruit.

• Asimina triloba "Benny's favorite". Sélection de Jerry Lehman. Fruits de très gros calibre avec peu de graines, variété très productive. chair de couleur jaune, dense avec une excellente saveur. A obtenu la première place au concours du meilleur fruit au Ohio Pawpaw Festival en 2018.

• Asimina triloba "Blue Ridge". Sélectionné dans le Kentucky par Johnny Johnson ; pulpe blanche.

• Asimina triloba "Collins". Sélectionné en Géorgie.

• Asimina triloba "Convis". Sélectionné dans les vergers de Corwin Davis ; grands fruits, pulpe jaune.

• Asimina triloba "Convis". gros fruit.

• Asimina triloba "Davis". Variété précoce, et productive, elle donne de nombreux fruits de bon calibre, sucrés et de bonne qualité.

• Asimina triloba "Davis". Sélection à partir d’une plante sauvage dans le Michigan par Corwin Davis en 1959. Introduite en 1961 de Bellevue, Michigan. Productif ; fruit de volume moyen, long jusqu’à 12,5 cm, peau verte, pulpe jaune, grandes graines. Se conserve bien au réfrigérateur.

• Asimina triloba "Davis". Variété précoce. Fruit de taille moyenne à peau verte, la chair est jaune. Se conserve bien au frais. Récolte début septembre.

• Asimina triloba "Davis". fruit vert de calibre moyen à peau verte, chair jaune.

• Asimina triloba "Davis". Variété productive, fruit allongé à la peau verte et à la chair jaune qui a une bonne conservation au réfrigérateur.

• Asimina triloba "davis". Cultivar précoce. Fruits allongés pouvant mesurer jusqu’à 12cm, peau verte et chair jaune. Très bonne qualité gustative. Ils se conservent bien au réfrigérateur.

• Asimina triloba "Duckworth A". Cultivar pour climat chaud, sélectionné à San Mateo, Floride, par Eric Duckworth ; obtenu par semis de plantes de Louisiane ; arbre de forme pyramidale. Ce cultivar a des exigences limitées en froid hivernal et est donc adapté à des climats relativement chauds.

• Asimina triloba "Duckworth B". Cultivar pour climat chaud, sélectionné à San Mateo, Floride par Eric Duckworth ; obtenu par semis de plantes de Louisiane ; dimensions d’un gros buisson. Ce cultivar a des exigences limitées en froid hivernal et est donc adapté à des climats relativement chauds.

• Asimina triloba "Estil". Sélectionné par Nettie Estil à Frankfort, Kentuky. Grands fruits avec une pulpe pâteuse.

• Asimina triloba "Ford Amend". Sélection à partir d’une plante sauvage, à Ford Amend, aux alentours de 1950. Introduite depuis Portland, Orégon. Fruits de taille moyenne. Maturation plus précoce que Sunflower, peau vert-jaunâtre, pulpe jaune.

• Asimina triloba "G-2". Sélection depuis des semis de G.A. Zimmerman par John W. McKay, College Park, Maryland, en 1942.

• Asimina triloba "georgia". Découvert dans la région de Turin, c’est un arboriculteur qui l’a trouvé dans le jardin d’un ambassadeur américain. Autofertile, fruits de très gros calibre pouvant peser jusqu’à 400g, peu de graines.

• Asimina triloba "Georgia". Variété autofertile à la production régulière, aux gros fruits avec pulpe couleur crème et peu de graines.

• Asimina triloba "Georgia". autofertile, gros fruit bien parfumé ayant peu de graines.

• Asimina triloba "Georgia". Obtenu par la pépinière italienne Azienda Agricola Bella, à Rivoli (environ 20 km de Turin) ; donné pour autofertile ; production régulière de fruits de mi-saison à pulpe blanc-jaunâtre et d'un poids variant entre 200 et 400 grammes.

• Asimina triloba "Glaser". Sélection par P. Glaser de Evansville, Indiana. Fruits de dimension moyenne.

• Asimina triloba "Green river belle". Arbre vigoureux avec des fruits de bonne taille, assez productif. Maturité : mi-septembre.

• Asimina triloba "Halvin". Fort développement, produit de gros fruits à la saveur douce. Maturité : Fin août.

• Asimina triloba "Halvin". Variété précoce provenant des forets de l’Iowa, la production s’étale sur 2 semaines environ. Fruits de bon calibre avec une chair très sucrée aux notes d’ananas.

• Asimina triloba "ithaca". Sélection italienne. Fruits de calibre moyen. Bonne qualité gustative, très productif.

• Asimina triloba "Ithaca". Fruits de calibre moyen. Bonne qualité gustative, très productif.

• Asimina triloba "Itacha". fruit de grosseur moyenne, Asminier productif.

• Asimina triloba "IXL". issue d'un croisement entre Davis et Overleese, gros fruit.

• Asimina triloba "ixl. Hybride de Davis et Overleese. Fruits de gros calibre à la pulpe jaune.

• Asimina triloba "IXL". Hybride de Overleese et Davis. Grands fruits à pulpe jaune.

• Asimina triloba "Jack's Jumbo". Sélectionné en Californie par semis de Corwin Davis. Grands fruits.

• Asimina triloba "Kirsten". Hybride de Taytwo x Overleese ; sélectionné par Tom Mansell, Aliquippa, Pennsylvanie.

• Asimina triloba "Kurle". Assez vigoureux ; moyennement productif ; fruits moyens à petits ; peau jaunâtre ; pulpe jaune ; très bonne qualité.

• Asimina triloba "Lady D". gros fruit.

• Asimina triloba "LA Native". Fleurit tardivement, petits fruits. Semble être plus résistant au froid que beaucoup de cultivars.

• Asimina triloba "Little Rosie". Sélectionné par P. Glaser de Evansville, Indiana. Petits fruits ; semble être un excellent pollinisateur.

• Asimina triloba "Lynn’s Favorite". Sélectionné dans les vergers de Corwin Davis ; grands fruits, pulpe jaune.

• Asimina triloba "mango". Croissance très vigoureuse. Gros fruits à pulpe de couleur jaune orangé.

• Asimina triloba "Mango". Sélection à partir d’une plante sauvage à Tifton, Géorgie, par Major C. Collins en 1970. Croissance très vigoureuse. Gros fruits à pulpe de couleur jaune orangé.

• Asimina triloba "Mango". Très vigoureux. Gros fruit à chair jaune orangé, la peau est fine. Récolte octobre.

• Asimina triloba "Mango". gros fruit, chair jaune orangé, asiminier vigoureux.

• Asimina triloba "Mango". Chair jaune orange, gros calibre très bon, un des plus vigoureux.

• Asimina triloba "Maria's joy". Variété précoce aux fruits de belle taille pouvant aller jusqu'à 400g. Chair jaune de très bonne qualité. Maturité fin août.

• Asimina triloba "Maria's joy". Variété précoce avec une mise à fruits rapide. Sélection de Jerry Lehman en hybridant Davis et Prolific. Fruits de calibre moyen, chair jaune, peu de graines avec une excellente qualité gustative. Vainqueur du concours de la meilleure asimine en 2012.

• Asimina triloba "Mary Foos Johnson". Gros fruits de 5 à 13 cm, peau jaune, chair couleur crème, Maturité, fin d’été.

• Asimina triloba "Mary Foos Johnson". Sélection à partir d’une plante sauvage au Kansas par Milo Gibson. Les jeunes plantes ont été données ultérieurement au North Willamette Experimental Station, Aurora, Orégon, par Mary Foos Johnson. Fruits larges, peau jaune, pulpe couleur crème, peu de graines.

• Asimina triloba "Mason/WLW" ("Mason" ou "WLW" ?). Sélection à partir d’une plante sauvage à Mason, Ohio, par Ernest J. Downing en 1938.

• Asimina triloba "Middletown". Sélection à partir d’une plante sauvage à Middletown, Ohio, par Ernest J. Downing en 1915. Petit fruit.

• Asimina triloba "Mitchell". Sélection à partir d’une plante sauvage à Jefferson, Colorado, Illinois, par Joseph W. Hickman en 1979. Fruits moyens, peau jaune pâle, pulpe jaune, peu de graines.

• Asimina triloba "M-1". Sélection par un semis du cultivar G-2 par John W. McKay, College Park, Maryland, en 1948.

• Asimina triloba "NC1". Excellent fruit d'environ 350g, peu de graines. La peau devient jaune à maturité. Récolte début septembre.

• Asimina triloba "NC-1". Hybride de Davis x Overleese ; sélectionné par R. Douglas Campbell, Ontario, Canada, en 1976. Vigueur moyenne. Productif. Grands fruits ; peu de graines ; peau fine et jaune, pulpe jaune. Maturité précoce.

• Asimina triloba "Naomi's delicious". Très productif, chair jaune, la peau vire au jaune à maturité.

• Asimina triloba "nyomi's delicious". Variété originaire du Kentucky. La productivité de cette variété est remarquable avec régulièrement des grappes de 4 à 5 fruits de 250 grammes. Sa saveur est douce.

• Asimina triloba "Overleese". Il produit de gros fruits groupés par trois ou cinq et renfermant peu de graines. Ils arrivent à maturité début octobre.

• Asimina triloba "Overleese". Chair jaune orange, peu de graine, fruit d’excellente qualité gustative, pouvant peser jusqu’à 300 grammes.

• Asimina triloba "Overleese". Sélection à partir d’une plante sauvage à Rushville, Indiana, par W.B. Ward en 1950. Grands fruits, peu de graines ; production par groupes de trois ou cinq fruits, chacun pesant jusqu’à 300-350 g. Maturité début octobre.

• Asimina triloba "Overleese". Grappe de 3 à 5 gros fruits à chair orangée-jaune, contenant peu de graine.

• Asimina triloba "overleese". Fruits ovales à chair jaune-orangée, se présentant par grappes de 3 à 5, ils ont peu de graines, ils peuvent peser jusqu’à 300g. Excellente qualité gustative. Sélection à partir d’une plante sauvage.

• Asimina triloba "SAA-Overleese". Sélection d’Overleese par semis de John Gordon, Amherst, New York, en 1982. Grands fruits, forme ronde, peau verte et pulpe jaune.

• Asimina triloba "SAA Overleese". Gros fruit, crémeux jaune orange, peu de graines, maturité fin septembre.

• Asimina triloba "PA-Golden 1". Sélection par semis de la collection George Slate par John Gordon, Amherst, New York. Fruits moyens, peau jaune, pulpe jaune.

• Asimina triloba "PA-Golden 2". Sélection par semis de la collection George Slate par John Gordon, Amherst, New York. Fruits moyens, peau jaune, pulpe jaune.

• Asimina triloba "PA-Golden 3". Sélection par semis de la collection George Slate par John Gordon, Amherst, New York. Fruits moyens, peau jaune, pulpe jaune.

• Asimina triloba "Pa golden 3". Fruit de taille moyenne à peau jaune, très productif. Récolte mi-septembre. Chair orangée. Le fruits reste bien accroché sur l'arbre, bien après la chute des feuilles.

• Asimina triloba "PA-Golden 4". Sélection par semis de la collection George Slate par John Gordon, Amherst, New York. Fruits moyens, peau jaune, pulpe jaune.

• Asimina triloba "Pensylvania".

• Asimina triloba "pennsylvania golden" ou "PA golden". Fruit de taille moyenne à grosse, peau et pulpe jaune.

• Asimina triloba "Prima". Autofertile, vigoureux, productif.

• Asimina triloba "Prima". Cette variété d'origine italienne est très prolifique. Les fruits à chair jaune arrivent à maturité à mi-saison, et ont une excellente saveur.

• Asimina triloba "Prima". Variété auto-fertile à la croissance vigoureuse. Excellente qualité gustative et pas trop de graines.

• Asimina triloba "prima". Variété très prisée des collectionneurs et amateurs de fruitiers rares, autofertile (la fructification est cependant plus abondante en présence d’autres asiminiers), excellente qualité gustative, son fruit exceptionnel présente le meilleur rapport chair-graines. Croissance vigoureuse.

• Asimina triloba "Prima". Autofertile, gros fruit, peu de graines. Récolte : début octobre.

• Asimina triloba "Prima 1216". Obtenu par la pépinière italienne Azienda Agricola Montanari Domenico à Faenza (environ 60 km au sud-est de Bologne) ; donné pour autofertile ; très prolifique ; gros fruits de mi-saison à pulpe jaune d'environ 200 grammes ; bonne saveur.

• Asimina triloba "Prima 1216". Sélection italienne considérée autofertile, de très grande qualité, avec peu de graines.

• Asimina triloba "Prolific". Sélection de Corwin Davis, Bellevue, Michigan, en 1980-90. Très productif. Grands fruits, pulpe jaune.

• Asimina triloba "Prolific". calibre moyen, chair et peau jaune, parfumé, maturité précoce, variété recente : 1980.

• Asimina triloba "Prolific". Variété tardive. Mise a fruit rapide et production abondante. Maturité octobre.

• Asimina triloba "prolific". Cultivar précoce. Découvert dans les années 80-90 dans le Michigan par Corwin Davis. Variété très productive. Fruits de taille moyenne (200 à 225g) à la chair jaune. Croissance vigoureuse.

• Asimina triloba "Rebecca's gold". Calibre de taille moyenne, pulpe jaune.

• Asimina triloba "Rebecca's gold". Fruit à chair jaune de très bonne qualité gustative.

• Asimina triloba "Rebecca's Gold". Sélection par semis de graines de Corwin Davis, Bellevue, Michigan, par J.M. Riley en 1974. Fruits moyens, pulpe jaune.

• Asimina triloba "Ruby Keenan". Fruit moyen, excellente saveur.

• Asimina triloba "Sibley". Très gros fruit à chair jaune. Maturité septembre.

• Asimina triloba "Sibley". Originaire du Michigan, très productif, gros fruits, ils pèsent environ 400g, pulpe jaune. Très bonne qualité gustative.

• Asimina triloba "Sue". Sélectionné dans le sud de l’Indiana. Fruits moyens, peau jaune, pulpe jaune.

• Asimina triloba "summer delight". Variété la plus précoce de toutes celles de notre gamme (maturité fin juillet début,mi-août selon la région). Fruits de beau calibre à la chair douce, peu de graines. Bonne conservation. Excellente qualité gustative.

• Asimina triloba "Summer delight". Variété très précoce, début août dans le sud de la France. Fruits de bonnes taille se conservant bien, bonne qualité gustative.

• Asimina triloba "Sunflower". Sélection à partir d’une plante sauvage à Chanute, Kansas, par Milo Gibson en 1970. Prétendu autofertile. Grands fruits par groupes de trois à cinq, pulpe jaune crème, peu de graines. Excellente saveur.

• Asimina triloba "Sunflower". Asiminier autofertile aux gros fruits groupés, à la chair jaune crème avec peu de pépins. Bonne qualité gustative.

• Asimina triloba "Sunflower". Variété produisant des fruits groupés par trois ou cinq, à la chair pâle d'une excellente saveur. Les fruits ont peu de graines.

• Asimina triloba "sunflower". Autofertile (la fructification est cependant plus abondante en présence d’autres asiminiers), mi-tardif, beaux fruits pouvant peser jusqu’à 200g. Sa chair et sa peau sont jaune pâle et il a peu de graines. Très bonne qualité gustative.

• Asimina triloba "Sunflower". Peut craindre les grands froids resiste jusqu'a -20/-25°, hauteur jusqu'a 4-5m, autofertile, gros fruit à peau jaune, chair jaune, ne contient pas trop de graine, maturité de saison à tardif.

• Asimina triloba "Sunflower". Une des variétés les plus populaires et constantes, grosse production de délicieux fruits. Sunflower a remporté en 2010 le premier prix du Ohio Pawpaw festival.

• Asimina triloba "Sunglo". Grand fruit, peau jaune, pulpe jaune, doux et aromatique.

• Asimina triloba "Sunglo". Originaire du Michigan, elle produit de gros fruits, peau et chair jaune.

• Asimina triloba "Sweet Alice". Gros fruits, selection sauvage américaine de 1934 à port compact, productif.

• Asimina triloba "Sweet Alice". Sélection à partir d’une plante sauvage de Virginie Occidentale par Homer Jacobs, de l’Holden Arboretum, Mentor, Ohio, en 1934. Vigueur modérée. Port naturellement compact. Productif. Gros fruits de bonne qualité.

• Asimina triloba "sweet Alice". Sélection à partir d’une plante sauvage de Virginie Occidentale par Homer Jacobs, de l’Holden Arboretum, Mentor, Ohio, en 1934. Vigueur modérée. Port naturellement compact. Productif. Gros fruits de bonne qualité.

• Asimina triloba "Silver Creek". Sélection à partir d’une plante sauvage à Millstedt, Illinois, par K. Schubert. Fruits de dimension moyenne.

• Asimina triloba "Taylor". Variété productive à maturité précoce (mi-septembre), aux petits fruits groupés à peau verte. Excellente saveur.

• Asimina triloba "Taylor". Variété précoce et très productive, nombreux fruits de petit calibre et d’excellente saveur. Sélection de Corwin Davis en 1968 à partir d’une plante sauvage dans le Michigan.

• Asimina triloba "Taylor". Productif et précoce, Taylor vous donnera des récoltes abondantes avec de délicieux fruit a la chair jaune pâle. Il n’est pas rare de voir des grappes de 7 fruits.

• Asimina triloba "Taylor (Taylor N° 1)". Sélection à partir d’une plante sauvage à Eaton Rapids, Michigan, par Corwin Davis en 1968. Très productif. Maturité précoce. Fruits petits, en groupes jusqu’à sept, peau verte, pulpe jaune. Très bonne qualité.

• Asimina triloba "Taytwo (Taylor N° 2)". Sélection à partir d’une plante sauvage à Eaton Rapids, Michigan, par Corwin Davis en 1968. Fruits petits, peau vert clair, pulpe jaune.

• Asimina triloba "Taytoo".

• Asimina triloba "taytwo ou taylor n°2". Cultivar précoce, nombreux fruits de petit calibre, chair jaune, peau vert clair, très bonne qualité gustative.

• Asimina triloba "Tollgate". Grands fruits, pulpe jaune.

• Asimina triloba "Tollgate". Fruits de gros calibre (450g), pulpe jaune, excellente saveur.

• Asimina triloba "tropical treat". Variété mi-tardive issue d’un semis d’un arbre provenant de Beattyville dans le Kentucky. Fruits de calibre moyen, (180 à 300 grammes), chair jaune à la saveur très fruitée, peau jaune à maturité, très bonne conservation. Arbre vigoureux avec une fructification sur une courte période. Une des variétés les plus savoureuse sans être trop sucrée.

• Asimina triloba "Tropical treat". Fruit au goût de mangue avec des notes d'ananas. Maturité août.

• Asimina triloba "WelIs" (Wells ?). Sélection à partir d’une plante sauvage à Salem, Indiana, par David Wells en 1990. Fruits petits, peau verte, pulpe jaune-orange.

• Asimina triloba "Wells". Sélection sauvage de David Well en 1990, peau verte et chair orange. Fruit allant de petit jusqu’à très gros (400 g).

• Asimina triloba "Wells delight". Variété aux gros fruits à peau verte et chair orange.

• Asimina triloba "wells delight". Variété issue de la collection de Davis Wells à Salem en Indiana (1990). Fruits à la peau verte et chair orange. Gros fruits. Très bonne variété.

• Asimina triloba "White". Sélectionné dans le Kentuky par Johnny Johnson ; pulpe blanche.

• Asimina triloba "Wilson". Sélection à partir d’une plante sauvage sur la Black Mountain, Harlan Colorado, Kentuky, par John V. Creech en 1985. Fruit petit, peau jaune, pulpe jaune.

• Asimina triloba "Zimmerman". Sélectionné dans l'état New York à partir de graines de G.A. Zimmerman par George Slate.

• Asimina triloba "Zimmermann".

• Asimina triloba "SAA-Zimmerman". Sélection par semis de G.A. Zimmermann, de John Gordon, Amherst, New York en 1982. Gros fruits, peau et pulpe jaune, peu de graines.

• Asimina triloba "saa Zimmerman". Sélection de John Gordon datant de 1982 dans l’état de New-York à partir de la collection de G.A Zimmerman. Fruits de gros calibre, peau et chair jaune, peu de graines.

Semis

Semis

Semis en hiver pour germination au printemps.

Semer au chaud, à au moins 20°C sans descendre en dessous, à 2 ou 3 cm de profondeur dans un pot de taille moyenne de 3 à 5 litres. On peut couvrir en partie le pot d'un couvercle transparent jusqu'à la germination pour conserver chaleur et humidité. Repiquer en place quand les plants sont bien racinés, en espaçant chaque plant de 5 à 6 m.

Semer dans un substrat de qualité. Placer à la lumière. Le sol doit rester humide mais pas détrempé. Le semis est long et peut prendre plusieurs années.

Il ne faut pas sécher les graines d’asiminier car elles risqueraient de ne jamais germer. Elles tolèrent une période de dormance lorsqu'elles sont stratifiées pendant 3 à 4 mois. Germination en 2 à 3 semaines. La méthode la plus simple, qui est aussi la meilleure, est de planter le fruit entier [ce qui est probablement la meilleure méthode pour toutes les plantes faisant des fruits...].

Stratification froide pendant 3 à 4 mois. Semis en terre ou en pot profond au printemps. Attention à ne pas endommager la motte au repiquage car les racines sont fragiles.

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Aspérule odorante.

Photo du domaine public.

EMPLACEMENT : au pied des petits fruitiers, des haies, des arbustes et des arbres.

Famille des rubiacées.

Au pied des arbres, des arbustes et des petits fruitiers. Souvent dans les forêts de hêtres.

Aromatique (goût de vanille, foin, miel).

Comestible (boisson alcoolisée comme le maitrank,, tisane, arôme).

Médicinale (entre autres : stimule la lactation).

Fait fuir les mites.

Parfume le linge dans les armoires.

Aime l'ombre ou la mi-ombre.

Hauteur : 10 à 40 cm.

Mellifère.

Floraison : d'avril à juillet selon les régions.

Parfois utilisée en substitut de tabac.

Plante rhizomateuse.

Si l'aspérule est mal séchée, elle pourrit, et la coumarine (qui lui donne son parfum) se transforme en dicoumarol, une antivitamine K qui provoque de fortes hémorragies, il s'agit d'un anticoagulant mieux connu sous le nom de « mort-aux-rats ».

Colorant rouge (racines).

Peut devenir envahissante.

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Asphodèle blanc.

Photo de Miguel Angel Masegosa Martínez (Flickr) (CC BY 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Jardin sauvage, et accepte un sol argileux mais bien drainé.

Ou bâton blanc, bâton royal, poireau de chien.

EMPLACEMENT : jardin, jardin sauvage.

Famille des liliacées ou des asphodélacées.

Hauteur : 30 cm à 1,50 m, avec une petite moyenne un peu plus souvent indiquée de 70 cm à 1 m.

Habitat naturel : sols calcaires ; sols acides !... lisières forestières, prairie, pelouses, landes, sols dégradés par le surpâturage, le piétinement, le soleil brulant ou les incendies répétés.

Altitude : jusqu'à 600 m ; jusqu'à 1300 m ; jusqu'à 1700 m ; jusqu'à 2000 m...

Sol bien drainé, riche, sec, neutre ou acide.

Accepte un sol argileux ou argilo-calcaire.

Supporte la sécheresse.

Ne tolère pas l'humidité.

Mellifère.

Floraison : blanche, parfumée, avril à septembre, avec une moyenne généralement indiquée de mai à juillet.

Fleurit un an sur deux.

Comestible : racines (considérées comme indigestes et diurétiques) ; autrefois recherché comme aliment pour sa racine qui contient beaucoup d'amidon ; on extrayait de la farine de sa racine ; on en faisait aussi de l'alcool. Jeunes pousses (1 source) (comme les asperges).

Vannerie : tige sèche (très solide et très légère, récoltée en fin d'été), qualités mécaniques remarquables..., petite vannerie (modèles réduits d'avions, corbeilles et paniers traditionnels).

Résiste aux incendies.

Racines très appréciées des sangliers.

Vivace.

Caduc.

Exposition : soleil.

Rusticité : –21 à –25°C.

Multiplication : semis en mars (germination lente). Division de souche après la floraison.

Se ressème spontanément.

Médicinale : désinfectant (verrues, gale, brûlures, eczéma, plaies), affections cutanées et affections du cuir chevelu (calvitie, gale, ulcérations, verrues), diurétique.

Fourrage : tiges séchées.

Colle : racines (riches en amidon), pour brochure et reliure des livres.

Différentes espèces

• Asphodelis æstivus, asphodèle d’été. Floraison blanche, mai à juin. Sol calcaire ou acide. Hauteur 1 m.

• Asphodelus cerasiferus, asphodèle cerise. Floraison blanche, mai à juin. Sol calcaire. Hauteur 1 m ; 1 m et 1,20 m. Se reconnaît à sa hampe faiblement ramifiée et à ses fruits globuleux. Feuilles lancéolées. Fruits sous forme de grosses cerises beige-fauve à gris-jaunâtre.

• Asphodelus fistulosus, asphodèle fistuleux. Floraison blanche, avril à mai. Sol calcaire. Hauteur 80 cm. Se reconnaît à sa tige creuse et à ses fleurs très espacées. Feuilles étroites, demi-cylindriques et un peu creuses. Fruits petits brun-rouge.

• Asphodelus microcarpus, asphodèle à petits fruits. Floraison blanche, mai à juin. Sol calcaire ou acide. Hauteur 70 cm à 1 m. Presque aucune source sur l'internet.

• asphodelus ramosus, asphodèle rameux. Sol calcaire. Se reconnaît à sa hampe florale plus ramifiée à la base, et à ses petits fruits.

Haut. Page ou article précédent. M Asphodéline, asphodèle jaune, bâton de Jacob (asphodeline lutea)

Asphodéline.

Photo de Krzysztof Ziarnek, Kenraiz (CC BY-SA 4.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Semble comestible comme les asphodèles.

Ou asphodelus luteus.

Ou asphodéline jaune.

EMPLACEMENT : rocaille, zones rocheuses ou pierreuses ou sableuses, gravier...

Famille des liliacées ou des asphodélacées...

Vivace.

Plante rhizomateuse.

Racines tubéreuses.

Caduc (semble-t-il dès l'été après la floraison et la fructification...).

Mellifère.

Floraison : jaune, hampe florale rigide, mai à juin, voire avril-mai à juin-juillet.

Fructification : gros fruits noirs.

Habitat naturel : montagnes de Crète, pourtour méditerranéen, prairies ensoleillées calcaires pauvres et caillouteuses.

Rusticité : de –15 à –16°C jusqu'à –28°C.

Hauteur du feuillage : 20-30 cm à 45 cm.

Hauteur en fleurs : 60 cm à 1,20 m, voire 1,50 m.

Exposition : soleil.

Aime la chaleur.

Sol : pH indifférent, très drainant, sec, caillouteux ou filtrant, sablonneux, pauvre, riche (2 sources)..., humifère, frais, léger.

Sol plutôt calcaire.

Accepte le calcaire.

Résiste très bien à la sécheresse.

Ne supporte pas l'humidité stagnante, ni un sol gorgé d'eau en hiver, ce qui défavorise sa résistance au froid.

Résiste aux embruns.

Supprimer les fleurs fanées pour prolonger la floraison et éviter la formation de graines qui peut épuiser ou éliminer la plante, ça permet aussi aux bulbilles d'engranger des réserves nutritives.

Se ressème facilement, surtout en sol caillouteux.

Peut devenir envahissante si elle se sent à l'étroit.

N'aime pas la concurrence des racines.

Maladies et parasites : escargots, limaces, pucerons.

Plante compagne : bon compagnon, pas d'incompatibilité avérée.

Croissance lente...

Comestible : jeunes tiges tendres, tubercules (longue ébullition, goût peu agréable, chair ferme et collante), jeunes hampes avec boutons floraux, graines, fleurs (un véritable délice, délicieuses seules ou en salade.).

Médicinale : maladies de peau (usage externe) : dermites, mycoses, eczémas.

Multiplication : division principalement, semis.

Colle : avec les tubercules, on faisait de la colle servant à la maroquinerie et à la reliure.

Autre espèce

Asphodeline liburnica, au feuillage plus fin et aux fleurs jaune pâle de mai à juin. Sol calcaire. Hauteur 80 cm.

Multiplication

Division

1

La division est la méthode de multiplication la plus simple.

2

Asphodeline lutea peut être facilement divisée, au printemps, quand les nouvelles pousses aparaissent. Chaque division doit avoir des racines saines et au moin un bourgeon en cours de démarrage. Arroser jusqu'à l'automne.

3

Division de souche sur les pieds de 3 ans, en mars-avril, quand les nouvelles pousses apparaissent.

4

Diviser les grosses touffes en automne. Une division est recommandée tous les 3 ans. Le bulbe doit être recouvert du double de sa hauteur de terre.

Semis

1

La levée est très lente et les semis sont souvent assez difficiles à réussir. Semis sous abri en mars. Recouvrir les graines avec 1 cm de terre affinée.

2

Semis de préférence en automne. Les semis de printemps lèvent bien, mais les plantules peuvent mourir lorsqu'elles perdent rapidement leur premières feuilles en début d'été.

3

Les graines germent mieux semées dès leur maturité (donc en fin d'été ou en automne). Elles germent en 3 mois environ à 20°C enterrées sous 2 cm de terre. Certaines germent dès le premier été, d’autres attendent le printemps parce qu’elles ont besoin du froid de l’hiver pour pouvoir germer.

4

Faculté germinative des graines : 3 ans.

Semis spontanés

Quelques semis spontanés peuvent apparaitre autour du pied mère. On peut les repiquer au printemps suivant, en prélèvement suffisamment de terre autour des racines pour ne pas les perturber.

Haut. Page ou article précédent. Aspidistra zongbayi (aspidistra zongbayi) : à voir...

Plante increvable qui n'a jamais soif, même en pot. Ne redoute ni l'ombre la plus dense ni les sols ingrats. Très résistante au sec. Persistant. Floraison pourpre à cœur blanc qui tapisse le sol au pied de la plante. Rusticité –15°C environ. Culture en pot très facile. Espèce la plus connue : aspidistra elatior [oui : elatior et non pas eliator].

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Mellifère. N'aime pas l'eau stagnante en hiver.

Les asters d’été : ce sont des vivaces assez variées mesurant entre 30 cm et 1,20 m de haut qui peuvent convenir aux terrains secs et calcaires, comme l’Aster amellus et ses hybrides les Aster x frikartii réputés pour leurs touffes vigoureuses très florifères.

• Aster alpinus : fleurit de juin à juillet.

• Aster cordifolius "Ideal" : petites fleurs bleues. Hauteur 1 m.

• Aster divaricatus : peut devenir envahissant (traçant) au soleilf ! Tiges pourpre et fleurs blanches.

• Aster ericoides "Pink Cloud" : floraison rose à cÅ“ur jaune octobre à novembre. Rusticité –22°C. Hauteur 1 m.

• Aster linosyris : floraison en été. Fleurs en petits pompons jaunes.

• Aster novæ-angliæ : résistants à l'oïdium. Aime des sols humides. Il y a sans doute de nombreux autres cultivars que les 6 ci-dessous. Et j'ai mis les couleurs qui me plaisent le plus...

• Aster novæ-angliæ "Alma Pötschke" : floraison rose vif. Hauteur 1 m.

• Aster novæ-angliæ "Guido en Gezelle" : floraison bleu violacé, août à novembre. Rusticité –15°C. Sol riche et frais, même calcaire. Hauteur 1,50 m, largeur 60 cm. Caduc.

• Aster novæ-angliæ "Herbstschnee" : floraison blanche à cÅ“ur jaune, août à novembre. Rusticité –15°C. Sol riche et frais, même calcaire. Hauteur 1,20 m, largeur 60 cm. Feuillage vert foncé. Caduc.

• Aster novæ-angliæ "Rosanna" : floraison rose mauve. Hauteur 1,40 m.

• Aster novæ-angliæ "Septemberrubin" ou "September Ruby" : floraison rouge. Hauteur 1,20 m.

• Aster novæ-angliæ "Violetta" : floraison mauve [violette à gros cÅ“ur doré sur la photo], septembre à octobre. Hauteur 1 m à 1,20 m.

• Aster novi-belgii : NON : sensibles à l’oïdium. Souche à renouveler tous les 2 à 3 ans.

• Aster tongolensis : floraison de grandes fleurs bleu violacé, mai à juin ; juin à juillet. Hauteur 30 à 40 cm.

• Aster lateriflorus "Lady in Black" : feuillage pourpre tout le temps. Hauteur jusqu’à 1,20 m. Floraison blanc rosé. Non traçant.

Haut. Page ou article précédent. M Aster des Alpes (aster alpinus)

Aster des Alpes.

EMPLACEMENT : murs de pierre, rocailles, jardin.

Famille des astéracées.

Mellifère.

Floraison : d'avril-mai à juillet-août-septembre.

Aime vivre dans les murets, les rocailles, le gravier.

Hauteur : 20 à 30 cm.

Tous les asters sont des plantes vivaces caduques.

Haut. Page ou article précédent. M Aster des Alpes rose (aster alpinus "happy end")

Aster des Alpes rose.

EMPLACEMENT : murs de pierre, rocailles, jardin.

Famille des astéracées.

Mellifère.

Floraison : d'avril à mai-juin, quelques sources indiquent de juin à juillet...

Aime vivre dans les murets, les rocailles, le gravier.

Hauteur : 25 à 30 cm.

Tous les asters sont des plantes vivaces caduques.

Haut. Page ou article précédent. Aster de Nouvelle-Angleterre (Symphyotrichum novæ-angliæ, anciennement aster novæ-angliæ) : à voir...

Les symphyotrichum novæ-angliæ (aster novæ-angliæ), aster de Nouvelle-Angleterre, sont des plantes solides aux tiges robustes qui n'ont pas besoin de tuteur. Certaines peuvent mesurer jusqu'à 1,50 m.

Tous les asters sont des plantes vivaces caduques.

Haut. Page ou article précédent. Aster de Virginie (Symphyotrichum novi-belgii, anciennement aster novi-belgii) : EN COURS...

EMPLACEMENT : partout...

Famille des astéracées.

Tous les asters sont des plantes vivaces caduques.

Hauteur 60 cm à 1,40 m ; 80 cm à 1,50 m.

Floraison : violette, très abondante, juin à août ; août à octobre...

Eviter de le déplacer une fois planté.

Vivace.

Rusticité : jusqu'à –20°C.

Caduc.

Sol frais, humifère, bien drainé.

Accepte un sol calcaire.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Semis : mai ou juin, en pépinière ou en godet, aux alentours de 15°C. Recouvrir les graines de 1 cm avec de la terre affinée.

Facultés germinatives des graines : 3 ans.

Eviter de mouiller le feuillage pour éviter les maladies, principalement le mildiou.

Désherber régulièrement à son pied car il n'aime pas trop la concurrence des mauvaises herbes.

Maladies et parasites : escargots, limaces, pucerons, tarsonèmes, fusariose, rouille.

Multiplication :

Bouturage : tiges herbacées au printemps.

Division des touffes : au printemps.

Plantation en automne ou au printemps.

Quelques variétés

• Aster de Virginie "Ada Ballard" : hauteur 1 m, fleurs semi-doubles bleu violacé.

• Aster de Virginie "Blue Radiance" : hauteur 60 cm, fleurs bleu clair.

• Aster de Virginie "Crimson Brocade" : hauteur 80 cm, fleurs violet assez clair.

• Aster de Virginie "Eventide" : hauteur 1 m, fleurs semi-doubles bleu foncé.

• Aster de Virginie "Flamengo" : hauteur 90 cm, fleurs semi-doubles rose tendre.

• Aster de Virginie "Lady Frances" : hauteur 1,20 m, fleurs rose intense.

• Aster de Virginie "Marie Ballard" : hauteur 1 m, fleurs doubles bleu vif.

• Aster de Virginie "Patricia Ballard" : hauteur 90 cm, fleurs semi-doubles roses.

• Aster de Virginie "Royal Ruby" : hauteur 90 cm, fleurs rouge rubis.

• Aster de Virginie "Sarah Ballard" : hauteur 90 cm, fleurs mauve très clair.

• Aster de Virginie "White ladies" hauteur 90 cm, fleurs blanches.

Haut. Page ou article précédent. Astilbe... (...) : à voir...

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Pas pour l'instant : mi-ombre ou ombre.

Famille des saxifragacées.

Aime une humidité constante au niveau des racines : bord de mare, bord de ruisseau, sous-bois, marécage...

Aime les sols argileux et humides.

Exposition : mi-ombre, ombre.

Attire les papillons.

Ne craint pas les limaces.

Orthographe des noms latins pas vérifiée

• Astilbe x arendsii "Amethyst" [ou "Améthyste" ?]. Floraison : grandes panicules rose violacé ou lilas clair, parfumées, en juillet-août. Hauteur : 80 cm. Feuillage vert foncé, découpé.

• Astilbe arendsii "Anita Pfeiffer" : 1 m, rose soutenu, puis rose clair. Hauteur : 60 cm à 1,20 m. Floraison : juin à août.

• Astilbe arendsii "Beauty of Ernst". Hauteur de 50 cm et port érigé. Floraison rose de juillet à août. Port très compact avec un feuillage rougissant en automne.

• Astilbe x arendsii "Bergkristall" avec des fleurs blanches.

• Astilbe x arendsii "Bressingham Beauty". Port érigé, fleurit en juin et juillet avec des fleurs plumeuses, légères, rose pâle ou rose saumoné. Hauteur : 80 à 90 cm. Largeur : 40 à 50 cm.

• Astilbe x arendsii "Brautschleier". Grandes fleurs plumeuses blanches en juillet et août. Hauteur : 75 cm. Largeur : 60 cm.

• Astilbe arendsii "Bressingham Beauty". Hauteur : 60 cm à 1,20 m. Floraison : rose saumoné, juin à août.

• Astilbe x arendsii "Catherine De Neuve" [est-ce "Catherine Deneuve" ? Ils en sont capables !...]' ou Astilbe "Federsee". Hauteur : 60 cm. Largeur : 50 cm. Floraison rose franc, juillet à août.

• Astilbe x arendsii "Cattleya". Touffe dressée et buissonante. Floraison de juillet à août avec des panicules plumeuses rose pâle à rose soustenu. Hauteur : 1 m. Largeur : 70 à 80 cm.

• Astilbe x arendsii "Cologne" à fleurs saumon.

• Astilbe x arendsii "Diamant". Fleurs plumeuses blanc crème et feuillage dense vert lustré. Floraison : juillet à août. Hauteur : 80 à 90 cm. Largeur : 50 cm. Très rustique.

• Astilbe x arendsii 'Elizabeth Bloom', Astilbe d'Arends , plante vivace de taille moyenne, fleurit en Juin et Juillet avec des epis légers rose doux, rose pâle. Hauteur : 6 à 70 cm. Largeur : 4 à 50 cm.

• Astilbe arendsii "Erika". Floraison juillet à août. Hauteur : 80 cm. Magnifique vivace aux panicules plumeuses rose pâle, une merveille pour la mi-ombre fraîche.

• Astilbe arendsii "Etna". Hauteur de 60 cm et port dressé. Floraison très nombreuses fleurs rouge intense très lumineux de juin à août. Le feuillage est divisé et vert sombre ou vert vif brillant.

• Astilbe arendsii "Fanal". Plante compacte, érigée, fleurit en juin à juillet ou juillet à août avec des panicules plumeuses rouge profond, rouge foncé. Hauteur : 60 cm à 1 m. Largeur : 50 cm.

• Astilbe arendsii "Gertrud Brix". Hauteur : 60 cm à 1,20 m. Floraison : rouge carminé, juin à août.

Astelbi x arendsii "Gloria Pupurea". Plante rhizomateuse. Fleurs plumeuses rose vif, floraison en juillet et août. Hauteur : 50 à 60 cm. Largeur : 50 à 60 cm.

• Astilbe x arendsii "Glut". Fleurit de fin juillet à septembre avec des panicules plumeuses rouge écarlate, rouge rubis. Hauteur: 80 cm. Largeur : 40 à 50 cm.

• Astilbe x arendsii "Grete Pungel". Port érigé avec un feuillage bronze et des jolies panicules plumeuses rose et plus tard rose pâle. Hauteur : 80 à 90 cm. Largeur : 4 à 50 cm.

• Astilbe x arendsii "Irrlicht". Plante compacte, buissonante, basse. Fleurit de juillet à août avec des fleurs plumeuses blanches. Feuillage vert foncé.

• Astilbe arendsii "Mont-Blanc". Hauteur : 60 cm à 1,20 m. Floraison : blanche, juin à août.

• Astilbe x arendsii "Rotlicht" ou "Spartan". Fleurit de juin à août avec des fleurs plumeuses rouge lumineux. Hauteur : 60 à 70 cm. Largeur : 60 à 70 cm.

• Astilbe x arendsii "Spinell". Port érigé. Fleurit en juin et juillet avec des fleurs plumeuses rouge-rose. Hauteur : 80 à 90 cm. Largeur : 50 à 60 cm.

• Astilbe x arendsii "Weisse Gloria"'. Floraison : nombreux plumeaux denses et pyramidaux de fleurs blanc crème brillant entre juin et août. Hauteur : 80 cm. Feuillage vert foncé luisant qui contraste bien avec les fleurs. Une des meilleures astilbes pour la qualité de sa floraison.

• Astilbe x arendsii "Venus". Plante vigoureuse qui fleurit de juin à juillet ou de juillet à août avec des gros plumeaux, légers, rose tendre ou rose lilacé. Hauteur : 90 cm à 1,20 m. Largeur : 50 à 70 cm.

• Astilbe x arendsii "White Gloria" à fleurs blanches.

• Astilbe chinensis var. davidii. Floraison : longs épis grêles rose lilas vif en juillet-août. Hauteur : 1 m à 1,50 m. Plante vigoureuse. Feuillage vert moyen teinté de bronze.

• Astilbe chinensis "Intermezzo". Plante compacte, buissonante, basse. Fleurit de juillet à septembre avec des fleurs plumeuses rose-saumoné.

• Astilbe chinensis "Pumila". L'une des plus citées. Floraison : panicules ramifiées, compactes, rose ou rose violacé ou rose lilas ou lilas vif, juin à septembre ou fin juin à septembre ou juillet à août ou juillet à septembre. Hauteur : 30 cm. Variété naine et tapissante qui forme un bon couvre-sol florifère. Feuillage teinté de rouge ou pourpré. Supporte des terrains plus secs que les autres astilbes.

• Astilbe chinensis "Purpurlanze" [ou astilbe chinensis var. taquetii "Purpurlanze" ?]. Floraison : grands plumets carmin-pourpre en août-septembre. Hauteur : 1,20 m. Végétation vigoureuse et spectaculaire. Feuillage profondément denté et velu. Tolère la sécheresse mieux que la plupart des variétés.

• Astilbe chinensis "Spotlight". Plante vivace vigoureuse au port érigé. Fleurit de juillet à août avec des fleurs rose pâle. Hauteur : 50 cm. Largeur : 50 cm.

• Astilbe chinensis "Veronica Klose". Floraison : rose magenta, août à septembre. Hauteur : 40 cm.

• Astilbe chinensis var. taquetii "Superba". Port évasée, touffe dressée, fleurit de juillet à août avec des fleurs plumeuses rose-pourpre. Hauteur : 1 m à 1,20 m. Largeur : 60 cm.

• Astilbe x crispa "Perkeo". Plante naine à croissance lente. Feuillage découpée et crispé. Fleurit de juillet à août avec des panicules de fleurs roses ou rose-lilas ou rose foncé. Hauteur : 20 cm. Largeur : 20 cm. Jeunes feuilles joliment bronzées.

• Astilbe davidii. Espèce haute (1,50 m) à fleurs lilas vif.

• Astilbe x davidii "Jo Ophorst". Fleurit d'août à septembre avec des épis larges de fleurs rose-rouge ou rose foncé. Hauteur : 70 à 80 cm. Largeur : 40 à 50 cm.

• Astilbe grandis. La plus haute de toutes (jusqqu'à 2 m), à fleurs brun-rouge.

• Astilbe japonica "Alexandra". Hauteur : 50 à 60 cm, ou 1 m. Floraison : rose carminé, juin.

• Astilbe japonica "Cérès" rouge carmin.

• Astilbe japonica "Deutschland". Floraison : juin à juillet. Hauteur : 50 cm. Le feuillage prend de jolies teintes en automne.

• Astilbe japonica "Gladstone". Hauteur : 50 à 60 cm. Floraison : petits plumeaux très aérés de fleurs blanc perle, juin à juillet.

• Astilbe japonica "Mainz". Fleurit de juin à juillet avec des fleurs plumeuses rose lilas foncé. Hauteur : 50 à 60 cm. Largeur : 30 cm.

• Astilbe japonica "Montgomery". Fleurs rouge carminé foncé de juin à juillet ou juillet à août. Hauteur : 50 à 60 cm. Largeur : 30 à 40 cm. Feuillage vert pourpre au printemps, nervures et tiges pourpres, devenant vert foncé luisant ensuite.

• Astilbe japonica "Peach Blossom". Floraison : courtes panicules plumeuses rose clair et blanc en dégradé, juin, ou plutôt juillet à août. Hauteur : 50 à 70 cm.

• Astilbe japonica "Red Sentinel". Port dense et touffu. Fleurit de juin à juillet avec des fleurs plumeuses rouge sombre, ou rouge clair !... Feuillage vert foncé avec des tiges rouges. Hauteur : 6 à 70 cm. Largeur : 30 à 60 cm.

• Astilbe japonica "Rheinland" (ou astilbe arendsii "Rheinland"). Feuillage dense et luisant. Fleurit de juin à juillet avec des fleurs rose lumineux en panicules courtes. Hauteur : 50 à 60 cm. Largeur : 40 à 50 cm.

• Astilbe microphylla. Astilbe sauvage. Fleurit de juin à juillet avec des longs et fins épis dressés avec des petites fleurs blanches ou rose pâle. Hauteur : 40 à 60 cm.

• Astilbe rivularis "Grandiflora". Floraison de juillet à août. Hauteur : 1,70 m. Spectaculaire par sa taille.

• Astilbe simplicifolia. Hauteur : 40 cm. Port érigé. Floraison : blanche à rose d’août à septembre.

• Astilbe simplicifolia "Aphrodite". Floraison : panicules plumeuses, rouges en bouton, rose foncé, en juillet-août. Hauteur 40 cm. Port buissonnant, feuillage vert bronzé, découpé et lustré.

• Astilbe simplicifolia "Bronce Elegans". Fleurs légères rose saumoné en juillet-août. Hauteur : 40 cm. Feuillage vert à reflets bronze, lustré et finement découpé.

• Astilbe simplicifolia "Darwins Snowsprite". Variété naine avec un feuillage vert foncé, fin, luisant. Fleurit de fin juillet à août avec des fleurs plumeuses blanches. Hauteur : 40 cm. Largeur : 40 cm.

• Astilbe simplicifolia "Sheila Haxton". Fleurit de juillet à août avec des fleurs roses. Hauteur : 40 cm. Largeur : 40 à 60 cm.

• Astilbe simplicifolia "Sprite". Feuillage composé d'étroites folioles. Fleurit d'août à septembre avec des épis plumeux de petites fleurs rose clair. Hauteur : 30 à 40 cm. Largeur : 60 à 70 cm.

• Astilbe thunbergii "Besty Cuperus". Hauteur : 1 m. Floraison rose clair.

• Astilbe thunbergii "Chocolate Shogun". Floraison : inflorescences rose pâle en juin-juillet. Hauteur : 50 cm. Feuillage chocolat, presque noir.

• Astilbe thunbergii "Prof. van der Wielen". Hauteur : 1,20 m. Floraison blanche.

• Astilbe thumbegii "Straussenfeder" ("Ostrich Plume"). L'une des plus citées. Hauteur : 1 m à 1,20 m. Floraison : rose saumoné ou rose corail brillant, juillet à août. Feuillage ample. Se distingue par son port souple et retombant. Jeune feuillage bronze.

Haut. Page ou article précédent. Astragale (...) : à voir

• Astragalus alopecurus, astragale queue-de-renard. Hauteur 50 cm à 1 m. Racine profonde. Floraison spectaculaire jaune en été. Soleil, sol calcaire sec.

• Astragalus cicer, astragale pois-chiche. Plante à rhizomes. Hauteur 30 à 90 cm. Floraison jaune pâle ou blanches de juin à juillet. Plante fourragère.

• Astragalus gummifer ou astracantha gummifera. On en extrait la sève (il suffit de piquer la tige pour l’extraire) pour obtenir une gomme adragante ayant des vertus médicinales et de nombreuses applications industrielles : imperméabilisante, collante, gélifiante, épaississante... Hauteur 30 cm. Largeur 50 cm à 1 m. Epineuse. Persistant. Floraison jaune pâle. Fructification : gousses contenant 1 graine. Rusticité –10°C.

• Astragalus monspessulanus, astragale de Montpellier, esparcette bâtarde. Hauteur 10 à 20 cm. Floraison violacée d'avril à juin. Mellifère. Sol calcaire. Médicinale : diurétique, anti-rhumatismale, goutte. Anciennement employée comme plante ornementale;

• Astragalus onobrychis, astragale esparcette, fausse esparcette, astragale faux sainfoin. Vivace. Floraison juin à août. Habitat naturel : pelouses sèches alpines, zones peu végétalisées des Alpes, d'Ardèche et de Lozère. Bonne valeur fourragère. Médicinale : rhumatismes, goutte.

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Astragale.

Photo de I, Doronenko (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Alsagarden en vend...

EMPLACEMENT : zone des médicinales, jardin...

Très peu de sources : comme toujours, dès qu'il s'agit d'une plante principalement médicinale, les sources décrivent en long, en large et en travers les caractéristiques médicinales de la plante, mais très peu la plante elle-même !

Ou réglisse sauvage, fausse-réglisse.

Famille des fabacées (anciennement légumineuses).

Médicinale : racine et ses radicelles. Quand la plante atteint 4 ou 5 ans, les racines secondaires sont récoltées et séchées. Stimulante et fortifiante ; anti-fatigue ; renforce le système immunitaire ; fortifie et réchauffe l'organisme ; accroît les résistances mentale, physique et musculaire. Fatigue ; aide les personnes âgées à lutter contre les périodes de froid ; prévient l'affaiblissement ; limite infections et inflammations. Tonifie le système nerveux, calme l’anxiété, protège du stress. Protège le foie et les reins ; affections respiratoires ; asthme ; anti-cancer (lutte contre la prolifération de certaines cellules cancéreuses), diabète ; cardiovasculaire ; antimicrobiennes ; « anti-âge Â» (limite le vieillissement cellulaire) ; cholestérol ; maladie de Parkinson. En tisane, en poudre, en teinture-mère, ou coupée en tranches dans la soupe (à ôter à la consommation car elles sont trop dures). Récolte des racines : à partir de la 4e année, au printemps (1 source) ou en automne (2 sources), récolter avec une fourche-bêche car la racine peut s'enfoncer assez profondément. Laver la racines et la mettre à sécher avant consommation. Un plant produit environ 350 g de racine.

Vivace.

Caduc.

Hauteur : environ 40 cm, voire jusqu’à 1,20 m !...

Floraison : blanc jaunâtre ou jaune, juin à juillet...

Fructification : gousses (la 2e ou 3e année).

Exposition : soleil.

Rusticité : –17°C en sol bien drainé et même sableux ; –17°C.

Craint les hivers humides...

Semis

Semis

1

Une stratification à froid pendant 3 à 4 semaines est utile pour favoriser la levée des graines. On peut aussi se contenter d'un trempage dans l'eau pendant 24 h.

Semer en mars à l'intérieur et au chaud (18 à 20°C) en terrine ou en godets remplis de terreau pour semis.

On peut aussi semer en mai en pleine terre.

En mai, repiquer en pleine terre les plants semés en godet, en les espaçant de 1 m. Arroser régulièrement pendant les premières semaines qui suivent.

2

Il est utile de faire une stratification à froid de 3 à 4 semaines pour accélérer la germination, cela permet aussi d'augmenter le taux de germination. Semer « vers le mois de mai Â» dans un sol bien drainé, au soleil ou à mi-ombre.

Haut. Page ou article précédent. Grande astrance (astrantia major) : à voir...

• Astrantia major "rubra". Floraison claire [c'est vague !] aux bractées rose foncé.

• Astrantia major "ruby wedding". Hauteur : 60 cm. Floraison : rose foncé ; rouge à bractées rouge sombre, juin à septembre.

• Astrantia major "super star". Floraison blanche.

• Astrantia major "Venice". Floraison rouge.

Voir aussi l'astrance.

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LA PLANTATION DE L’AUBÉPINE (CRATAEGUS MONOGYNA OU CRATAEGUS OXYCANTHOIDES) EST INTERDITE EN FRANCE (ARTICLE 352 DU CODE RURAL) CAR IL EST VECTEUR DE MALADIES POUR LES ARBRES FRUITIERS).

L'Aubépine est l'une des meilleures espèces d'arbres fruitiers pour les régions tempérées. Il existe de nombreuses variétés dont les fruits sont délicieux et nous vous recommandons particulièrement les suivantes. En général, le fruit a la taille d'une cerise et mûrit à la fin de l'été.

• Cratægus arnoldiana. Un arbre qui mesure 7 mètres de haut et dont le fruit est juteux et sucré.

Floraison abondante et parfumée en avril ou mai. Fructification au bout de 5 à 8 ans (3 ans si greffé), août à septembre. Fruit d'environ 2 cm. Hauteur 4 m.

• Cratægus ellwangeriana. Jusqu'à 6 mètres de haut, avec des fruits très similaires à ceux de Cratægus arnoldiana.

Grand arbuste ou petit arbre à fruits rouges comestibles. Grandes épines. Proche de cratægus pedicellata. Hauteur 6 m. Floraison rose, mai.

• Cratægus ellwangeriana "Fire Ball". Grand arbuste de 3 à 4 m sans épines. Fleurs blanches suivis de gros fruits vermillon groupés en boule. Une très bonne aubépine à fruits doux et sucrés.

• Cratægus pinnatifida. Arbre pouvant atteindre les 7 mètres de haut. Fruit de 2 à 3 cm de diamètre. Saveur agréable, parfumé. Cru ou cuit. Floraison en mai.

Ou aubépine chinoise. Le fruit pourrait mesurer jusqu'à 4 cm de diamètre.

• Cratægus pinnatifida "Big Ball". Comme cratægus pinnatifida "Big Golden Star", cette sélection produit de gros fruits. Sans épine. Petit arbre de 3 à 4 m. Fructification abondante de 2 cm.

• Cratægus schraderiana. Un arbre de 6 mètres de haut. Gros fruits rouge bordeaux de 1,5 à 2 cm de diamètre, goût de pomme. Quand les fruits sont bien mûrs, ils fondent dans la bouche. Chair fondante et sucrée, légèrement acidulée. Résiste à –18°C. Petit arbre de 2,50 m à 3,50 m, peu ou pas épineux.

• Cratægus tanacetifolia. Pouvant atteindre jusqu'à 10 mètres de haut, les fruits sont jaunes et ont un goût de pomme. Abondante fructification jaune orangé en septembre. Ses fruits, comestibles crus ou cuits, ont un agréable goût de miel et de coin acidulé.

Haut. Page ou article précédent. Aubépine, épine blanche (cratægus monogyna) [existe d'origine chez moi] : A FAIRE

Rustique, médicinale, comestible, bois utilisé, bois de chauffage, abrite les oiseaux, épineux, caduc, haie défensive.

Il existe des espèces à très gros fruits comestibles, les fruits les plus gros sont sur cratægus pinnatifida "big golden star" (ou plutôt, semble-t-il, cratægus pinnatifida var. major "big golden star") : fruits de 2,5 cm. Arbuste sans épines, rustique, à fructification abondante en grosses grappes de cenelles rouge brique, qui se prêtent à toutes les recettes : boissons, sirop, gelées, pâtisseries, et se sèchent facilement pour être conservée. C'est également une plante médicinale (fruits). S'achète en tout cas chez : pépinière Jardins en Marche, 5 le Montabarot, 23400 Saint-Dizier-Leyrenne. La page de leur site.

Il existe aussi (en vente aussi chez eux) cratægus pinnatifida "big ball" aux gros fruits de 2 cm, et sans doute d'autres encore...

Haut. Page ou article précédent. Aubépine ergot de coq, aubépine de Virginie (cratægus crus-galli)

Aubépine ergot-de-coq.

Photo de Plant Image Library (Flickr) (CC BY-SA 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Haie défensive.

EMPLACEMENT : haie défensive.

Excellent en haie défensive.

Famille des rosacées.

Caduc.

Presque aucune source pour la France (pousse prin­ci­palement en Amérique du Nord).

Les rares sources françaises que j'ai pu trouver (hors anal­pha­bètes, comme toujours !)

Sol frais et humide.

Floraison : blanc-crème, mai à juillet.

Epineux, très grandes et fortes épines recourbées de 5 à 7 cm.

Exposition : soleil, mi-ombre.

Rusticité : –10°C ; –15°C...

Ne supporte pas les vents forts.

Hauteur : 8 m. Largeur : 5 m.

Croissance moyenne.

Feuilles se teintant de rouge à l'automne.

Les sources québécoises

Grosse déception : il y a un grand nombre de sources qué­bé­coises, mais elles disent toutes la même chose et ne disent pas grand-chose !

Sol indifférent, frais, bien drainé.

Floraison : odeur désagréable ; parfumée !, blanche, mai à juin.

Branches très ramifiées, horizontales, portant de nombreuses épines très rigides jusqu'à 8 cm.

Exposition : soleil.

Rusticité : zone 2 ; zone 2a.

Zones 2 et 2a : de –40 à –45°C. Ma limite de –15°C se situe en zone 7 : de –12 à –18°C.

Hauteur : 4 à 6 m. Largeur : 6 m.

Croissance moyenne ; lente.

Feuilles jaune-orangé ou rouges en automne.

Fructificaiton : août (persistent jusqu'en janvier) ; septembre (les baies peuvent rester sur l'arbre plusieurs mois).

Comestible : baies (pulpe mince et farineuse).

Les baies attirent les oiseaux.

Racine profonde impliquant un sol également profond.

Résiste à la pollution.

Haut. Page ou article précédent. M Aubriète panachée (aubrieta x cultorum "argenteovariegata")

Aubriète panachée.

EMPLACEMENT : murs de pierres côté sud, rocailles, jardin, au soleil.

Famille des brassicacées.

Mellifère.

Floraison : de mars-avril à mai.

Hauteur : de 10 à 20 cm.

Largeur : de 10 à 20 cm, jusqu'à 40 cm.

Aime les zones rocheuses et ensoleillées.

Haut. Page ou article précédent. Aucuba du Japon "Rozannie" (aucuba japonica "Rozannie")

Aucuba du Japon "Rozannie".

Photo de Leonora (Ellie) Enking (CC BY-SA 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

A éviter : toxique.

Pas beaucoup de sources.

EMPLACEMENT : haie basse, isolé.

Famille des cornacées.

Persistant.

Floraison : blanche ou rouge ?..., mars-avril ; mai à juin...

Fructification : très nombreuses grosses baies rouges, automne, baies décoratives tout l'hiver.

Feuillage : vert foncé brillant.

Baies très apprécié des petits oiseaux.

Plante probablement toxique...

Hauteur : 50 cm à 3 m !, avec une moyenne généralement indiquée de 1 m.

Largeur égale à la hauteur.

Exposition : mi-ombre ou ombre, tolère le soleil.

Sol : indifférent, drainant, frais.

Accepte un sol sec.

Accepte un sol calcaire ; un peu calcaire...

Croissance lente à moyenne.

Rusticité : –15 à –20°C.

Abriter des vents forts.

Plante autofertile (fleurs mâles et femelles sur le même plant). Elle s'autopollinise et pollinise aussi les autres aucuba femelles. La présence d'un autre mâle augmente la fructification.

Maladies et parasites : résistant.

Peut se cultiver en bac.

Haut. Page ou article précédent. M Aulne, verne (alnus glutinosa)

Aulne.

Photo de Nikanos (CC BY-SA 2.5).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Arbre ayant beaucoup d'utilités : forêt comestible et autres forêts ou bois, par exemple en haut (pour éviter trop de fatigue en ramenant les différentes récoltes) des 4 ha boisés.

Ou aune, aulne glutineux, aulne poisseux, aulne noir, vergne, verne.

EMPLACEMENT : forêt comestible, autre forêt ou bois.

Famille des bétulacées.

Il paraît que les arbres de zones humides se plaisent en terrain argileux.

Mellifère : ne produit pas de nectar, mais c'est l’une des premières sources de pollen pour les abeilles en fin d’hivernage.

Floraison : pourpre (fleur femelle) et jaune (fleur mâle), février-mars à avril (dès fin janvier dans les régions au climat doux).

Caduc.

Hauteur : 8 à 30 m, avec une moyenne se regroupant autour de 18 à 25 m...

Rejette facilement de souche (semble-t-il après recépage).

Peut être recépé.

Comment le reconnaître : les bourgeons sont très caractéristiques : de forme oblongue, ils sont pédicellés, et enveloppés d’écailles de couleur violacée. Ces caractères permettent d’identifier l’aulne au premier coup d’œil, même en plein hiver.

Plante monoïque (fleurs mâles et femelles sur le même plant).

Habitat naturel : zones humides ; bords des mares, étangs, cours d’eau. Aime vivre avec le peuplier et le saule.

Altitude : 0 à 1200 m.

Sol profond, riche, frais à humide voire détrempé, légèrement acide.

Supporte bien l'asphyxie par inondation.

Accepte des sols très pauvres.

Tolère un sol lourd.

N'aime pas le calcaire.

Bon bois de chauffage : flamme vive, presque sans fumée. Combustible apprécié des verriers, des chaufourniers et surtout des boulangers.

Fumage : excellent pour fumer le poisson et la viande.

Ses cendres fournissent de la potasse [c'est le cas, que je sache, de tous les bois...].

Charbon de bois fournissant plus de chaleur que toute autre espèce ; et qui entrait aussi dans la composition de la poudre.

Bois utilisé : assez léger, homogène, tendre, a tendance à se fendre (fragile et cassant), caisserie, tournerie, ébénisterie, placage, sabots, bobines, fuseaux, jouets, cageots, brosses, sifflets, bois de mine, pâte à papier, modelage, manches d’outils, montants d’échelles, instruments de musique (pièce de lutherie), baguettes d’encadrement, ameublement, embauchoir de chaussure, bardage (de maisons d’habitation, mais aussi de hangars agricoles et de granges car son bois résiste bien aux vapeurs d’ammoniaque dégagées par la litière des animaux)...

Son utilisation (guitare, flûte et sifflets, sabot, sculpture, ustensiles de table, échelle) fut abandonnée car il est considéré comme de peu de valeur et sa conservation nécessite un apprêt (enfumage, encirage, engraissage).

Bois imputrescible qui durcit dans l'eau. Utilisé pour les constructions immergées, pieux, pontons, pilotis, bordages de puits, ponts, roues de moulins, tuyaux, drains, et autres travaux d'hydraulique (mais exposé à l’extérieur, en contact avec le sol et non traité, il est altéré en moins de 4 ans).

Le bois pourrit vite à l'air libre [ce qui peut être intéressant pour faire un excellent humus].

Le bois prend une teinte rouge-orangé après la coupe.

Le bois se polit et se teint facilement pour imiter des bois précieux.

Densité du bois : 0,45 à 0,65.

Bonnes propriétés d’isolant.

Son système racinaire développé et profond lui permet de stabiliser les berges.

Ses racines ont la capacité de fixer l'azote de l'air dans le sol.

Racines et feuilles servent souvent de refuge à la faune sauvage.

Rusticité : –28°C.

Exposition : soleil, tolère la mi-ombre.

Supporte mal la concurrence [l'ombre] de plus grands arbres.

Vivace.

Croissance très rapide dans sa jeunesse [très intéressant pour avoir beaucoup de bois rapidement], puis sa croissance ralentit fortement.

Se ressème en terrain humide.

Autrefois, on utilisait ses feuilles pour attirer toutes sortes de bêtes indésirables dans la maison, et il était ainsi plus facile de s’en débarrasser [sans doute grâce à leur surface visqueuse qui piège les insectes (une source)].

Son feuillage donne, en quelques années, un humus de bonne qualité.

Médicinale : jeunes feuilles visqueuses, écorce des jeunes branches (catarrhe intestinal, diarrhée persistante, hémorragie interne, refroi­dis­sement, fièvre, en tisane). Stomatite, amygdalite (en gar­ga­risme). Feuilles fraîches broyées (gerçure du sein, furonculose (appli­ca­tion externe). Ecorce, feuille (anti-inflammatoire, astringente, diuré­tique, fébri­fuge, sudorifique). Angine, pharyngite. Autrefois appelé quin­quina indi­geÌ€ne, on l'employait contre la fieÌ€vre et comme tonique.

Tinctoriale : noire (écorce + limaille de fer). L'écorce fournit une belle teinture grise ou rouge.

Encre bleue avec ses strobile (petites pommes de pins).

Tannerie : écorce (contient du tanin et des sels de fer et fut longtemps utilisée en chapellerie et en tannerie dans la composition des teintures). En laissant macérer l'écorce avec des sels ferreux, les chapeliers médiévaux obtenaient une couleur noire pour teindre leur feutre.

Les feuilles attirent les puces et les tuent : une branche d'aulne placée dans un poulailler débarrasse celui-ci de ses parasites.

Les feuilles sèches peuvent servir de nourriture aux chevaux en hiver.

Jadis, chez les Lapons, les racines étaient mâchées et la salive était ensuite étalée sur les peaux pour les tanner et les teindre en rouge.

Multiplication facile : bouture [la description de la source correspond à un marcottage (enterrer une branche dans le sol) !].

Différencier aulne glutineux et aulne blanc (alnus incana).

• L'aulne glutineux se trouve dans toute la France. Les chatons femelles ont un très long pédoncule. Ses feuilles sont arrondies et un peu tronquée au sommet.

• L'aulne blanc ne se rencontre que dans les Alpes, le Jura et l'Alsace. Les chatons femelles ont un très court pédoncule. Les feuilles sont plus longues que larges.

Quelques cultivars

• Alnus glutinosa "aurea" : débourre en jaune orangé au printemps puis devient vert doré en été.

• Alnus glutinosa "imperialis" : est une majestueuse variété aux feuilles profondément découpées.

• Alnus glutinosa "laciniata" : montre des feuilles découpées un peu comme le chêne rouge d’Amérique.

Haut. Page ou article précédent. Aurone (artemisia abrotanum)  à voir...

Haut. Page ou article précédent. Avoine bleue (helictotrichon sempervirens, avena sempervirens) : à voir...

Floraison : juin à août. Hauteur : 40 cm (plus de 1 m en fleurs). Largeur : 50 cm. Feuillage gris bleuté. Graphique. Supporte le sec et le froid (jusqu'à –20°C).

helictotrichon sempervirens "saphirsprüdel" : coloris bleu très intense.

Haut. Page ou article précédent. Avoine sauvage, chasmanthium latifolium (chasmanthium latifolium ou uniola latifolia)

Chasmanthium latifolium.

Photo de David J. Stang (CC BY-SA 4.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Vu sa taille et sa relative beauté tout l'hiver, on peut la mettre en plate-bande au jardin. Ou aussi en isolé ou en bosquets autour du jardin et devant la maison.

EMPLACEMENT : jardin, devant la maison...

Famille des poacées.

Floraison : verte puis brune (épis très aplatis et retombants), juillet-août à octobre, les épis restent sur la plante tout l'hiver jusqu'en mars.

Feuillage comme le bambou, arqué, jaune ou cuivré en hiver (selon empla­cement).

Caduc (semble le plus logique en tant que graminée...). Semi-persistant. Persistant...

Hauteur généralement indiquée : 80 cm (jusqu'à 1,30 m en fleurs).

Largeur : 50 cm.

Rusticité : –15 à –30°C.

Exposition : soleil ou mi-ombre, tolère l'ombre.

Port dressé au soleil, retombant à l'ombre.

Sol riche, meuble, très bien drainé, frais, acide ou neutre.

Supporte un sol pauvre.

Supporte peu la sécheresse.

Accepte la concurrence des racines « pas trop méchantes ».

Ne supporte pas l'eau stagnante à son pied.

Plante rhizomateuse.

Tailler drastiquement en fin d'hiver pour laisser la place aux nouvelles feuilles.

Résistant aux maladies et aux parasites.

Multiplication : division des touffes. Semis possible.

Semble se ressemer facilement.

Peut être utilisé en bouquets secs.

Peut se cultiver en pot.

Haut. Page ou article précédent. M Azara à petites feuilles, mimosa du Chili (azara microphylla)

Azara à petites feuilles.

Photo de Ashley Basil (Flickr) (CC BY 2.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Persistant jusqu'à environ –10°C, mais il ne fleurira peut-être même pas !...

Ou chinchin.

EMPLACEMENT : haie haute, isolé...

Presque aucune source.

Le plus rustique des azaras.

Famille des flacourtiacées ou des salicacées.

Vivace.

Persistant (peut devenir caduc si les hivers sont froids).

Mellifère (nectar).

Floraison : jaune, très parfumée (vanille), février à mars, voire mars à avril (au nord de la Loire).

S’il est capable de survivre dans presque toutes nos régions épargnées par les fortes gelées, il ne fleurira que là où les hivers sont très doux, dans le Midi, le long du littoral atlantique et même... dans Paris.

Feuillage : petites feuilles coriaces et luisantes.

Exposition : soleil, mi-ombre, voire ombre.

Sol : tout sol, frais, drainant, voire humifère.

Rusticité : –10 à –13°C (en situation abritée) (3 sources).

Hauteur : 2 à 6 m. Largeur : 1,50 m pour une hauteur de 2 m, 2,50 m pour une hauteur de 4 m (4 sources) (jusqu'à 12 m dans son habitat d'origine).

Supporte parfaitement la taille, même sévère.

Haut. Page ou article précédent. Azérolier (cratægus azarolus) : A FAIRE

EMPLACEMENT : forêt comestible, haie défensive...

Famille des rosacées.

Il y a plusieurs confusions entre les azéroliers et d'autres cratægus qui leur ressemblent comme deux gouttes d'eau, même les pépiniéristes se trompent, et je sens que ça va encore être difficile de les différencier...

Il y en a à fruits jaunes et à fruits rouges.

Arbre rustique qui supporte tous les sols mêmes calcaires. Il produit des fruits comestibles de 2 à 4 cm à saveur acidulée. Les azéroles sont très riches en vitamines A et C, elles sont délicieuses crues, en gelées ou en confitures et même en jus. Maturité septembre. Les fruits, 2 cm de long, rouge vermillon, plus gros sur certains cultivars, sont plus goûteux [que ceux des aubépines classiques].

Sous un climat méditerranéen, il donne des fruits comestibles de couleur jaune ou rouge à maturité. Ces baies mesurent jusqu’à 4 cm de diamètre, leur goût varie selon les cultivars. Il ne peut fructifier qu’en climat méditerranéen.

Haut. Page ou article précédent. M Azorelle, coussin des Andes (azorella trifurcata)

Azorelle.

Photo de Christian Hummert (Ixitixel) (CC BY-SA 3.0).

Notes personnelles

Notes personnelles : plantation et culture chez moi

Même pas piétinable, mais assez performante comme couvre-sol.

EMPLACEMENT : parterre, rocaille...

Pas beaucoup de sources.

Famille des apiacées (ombellifères).

Vivace.

Plante couvre-sol au fort pouvoir couvrant.

S'étale lentement mais sûrement.

Ne supporte pas le piétinnement.

Feuillage aromatique.

Persistant.

Hauteur : 5 à 10 cm. Largeur : 30 cm à 1 m...

Mellifère.

Floraison : jaune ou jaune verdâtre, mai à juin, voire août à septembre !...

Croissance moyenne à lente.

Exposition : soleil.

Sol très drainant, pauvre, de gravier ou caillouteux, sec, léger.

N'aime pas le calcaire.

Ne supporte pas l'humidité en hiver, ni un sol humide, ni l'eau stagnante en hiver.

Multiplication : semis, bouture, division de touffe.

Rusticité : –10°C ; –20°C ; –25°C ; –26°C...

Habitat naturel : gravières, amas rocheux, pentes rocheuses.

Peut se cultiver en pot.

Les coussinets de l’azorelle créent un milieu favorable pour la germination d’autres plantes.

Maladies et parasites : botrytis en situation humide.

Médicinale (médecine traditionnelle en Amérique du Sud...).

Grâce à son fort pouvoir calorifique, elle servait autrefois de combustible, comme la tourbe [mais alors séchée, je suppose...].

Ne pas confondre avec l'azérole, fruit de l'azérolier, sorte d'aubépine.

Multiplication

Multiplication

Semer dès la récolte, sous châssis froid, dans un mélange sablonneux. Germination au printemps suivant.

Boutures de rosette au printemps, à placer en milieu frais.

Division des touffes, au printemps.

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